Le Portugal, surtout dans sa partie méridionale, a appartenu au monde musulman pendant cinq siècles et demi. C'est à partir de 711 que des maures d'Afrique du Nord, commandés par Taraq Ibn Ziyad, stratège militaire berbère de l'armée omeyyade, ont commencé à affluer vers le sud de la péninsule ibérique.
En 1381, le Portugal entra en conflit avec la Castille; le pays fut envahi par les Castillans avec le soutien d'une partie de la noblesse portugaise.
Au XVIème siècle, en 1580, le Portugal a été "annexé" par la couronne d'Espagne. Mais, le 1er décembre 1640, les partisans du duc Jean de Bragance s'emparèrent du palais royal de Lisbonne et déclenchèrent une insurrection qui a donner la couronne portugaise à Jean IV du Portugal (João IV de Portugal).
En l'an 711, un groupe de musulmans nord-africains dirigés par le général berbère Tariq ibn-Ziyad a mis main basse sur la péninsule ibérique (l'Espagne et le Portugal modernes).
A l'automne 1807, l'Empereur somma Junot de conquérir Lisbonne avant l'hiver. La France disposait alors d'une supériorité militaire lui assurant une campagne rapide et peu coûteuse, grâce à l'alliance franco-espagnole.
Le Portugal était en somme la « vache à lait » de l'Angleterre selon l'expression d'un patriote français et sa conquête provoquerait sa banqueroute. Il ne faut donc pas s'étonner que Napoléon tînt tant à avoir la mainmise sur cette partie de la péninsule.
La première invasion napoléonienne du Portugal s'inscrit dans la volonté de Napoléon Bonaparte d'imposer un blocus continental à l'Angleterre. Menée par le général Junot, elle débute le 20 novembre 1807 et se termine en novembre 1808 après la victoire anglo-portugaise et la signature de la Convention de Cintra.
Le Maroc portugais (portugais : Marrocos português) est le nom donné à la partie du Maroc occupée militairement par le Portugal depuis le 15 août 1415 , à la prise de Ceuta par Jean Ier, jusqu'au 11 mars 1769 , quand Dinis Melo e Castro (pt), dernier gouverneur et capitaine-général de Mazagan, rend au Maroc cette ...
C'est au cours de la Première Guerre mondiale qu'un nombre plus important de Portugais s'installe en France. La mobilisation militaire de millions d'hommes et les besoins d'une économie totalement tournée vers l'effort de guerre provoquent un important courant migratoire.
Non, ils ont été unifiés pendant soixante ans, de 1580 à 1640.
Cette petite région prend alors le nom de Terra portucallis, d'après Portus Calle, nom romain de Porto. En 1095, au plus fort de la Reconquista (dico), le roi de León et Castille Alphonse VI donne le comté de Portugal à son gendre Henri de Bourgogne.
Au V e siècle, le Portugal était nommé Terra Portucallis (de Portus Calle). Ce nom désigne deux villes à l'embouchure du Douro : Portus (l'actuelle de Porto) et Cale (l'actuelle de Vila Nova de Gaia). Dans Froissart, le Portugal est toujours appelé Portingal.
Le Portugal n'a pas colonisé de pays musulmans
Contrairement à la France ou à la Grande-Bretagne, il n'y a aucun lien avec les pays à majorité musulmane. Un marocain, lorsqu'il veut émigrer, pense d'abord à la France plutôt qu'au Portugal, malgré la proximité géographique. « C'est à cause de l'assistanat français ».
La croissance économique du Portugal est également handicapée par ses entreprises, souvent de taille modeste et positionnées dans des secteurs à faible valeur ajoutée et à faible valeur technologique. La qualification des Portugais est le dernier point noir.
En général, les français s'acclimatent très bien au Portugal. Malgré quelques différences culturelles, Ils se sentent rapidement chez eux.
Le 7 juin 1494, l'Espagne et le Portugal s'accordent pour fixer la limite entre leurs domaines respectifs au méridien passant à 370 lieues à l'ouest des îles du Cap-Vert.
Cerizay, plus de 20 % de personnes d'origine portugaise
Un moment spécial pas seulement pour Aldo, mais aussi pour de nombreux habitants de Cerizay, petite commune des Deux-Sèvres à quelques encablures de la Vendée. Cette bourgade est considérée comme la ville la plus portugaise de France.
Au cours des années soixante et jusqu'à la chute de la dictature et la fin de la guerre coloniale, de nombreux jeunes hommes (de plus de 18 ans, puis de plus de 16 ans) fuient le Portugal pour se soustraire à un service militaire qui durait 4 ans. L'armée portugaise évalue leur nombre à 150 000.
Pourquoi ces noms différents? Parce qu' "au Portugal, pendant longtemps, les parents ont donné plusieurs vocables au patronyme de leurs enfants" , décrypte la procureure, Elisabeth Decencière-Ferrandière. "Mes deux frères ont des noms de famille différents du mien" , confirme le prévenu.
Avant 1143, année durant laquelle Dom Afonso Henriques a déclaré, à Guimarães, l'indépendance des royaumes de Leão et Castela, et est devenu le premier roi du Portugal, beaucoup de peuples étaient passés par là : phéniciens, grecs, carthaginois, romains, huns, souabes, alains, vandales et les peuples d'Afrique du Nord.
Une Histoire agitée. Les Romains, qui ont soumis à leur loi tous les rivages de la Méditerranée, n'ont pas épargné le Maroc, que l'on appelait à l'époque Maurétanie tingitane (autrement dit le pays des Maures de la région de Tanger).
En 1530, le roi du Portugal, Jean III le Pieux, entreprit un programme de colonisation systématique du Brésil. Recourant à l'esclavage, les portugais assirent leur richesse sur la culture de la canne à sucre et l'extraction d'or et de diamants. La France, intéressée par ce nouveau territoire, tenta de s'en emparer.
Après son retour de l'île d'Elbe, Napoléon affronte une coalition anglo-prussienne entre les villages de Waterloo et Mont-Saint-Jean, en Belgique. Face aux troupes du duc de Wellington et du maréchal Blücher, son armée s'incline. Le 18 juin 1815 signe ainsi la fin de l'épopée napoléonienne.
Ces ouvrages inculpent sans ambiguïté Charles de Montholon de l'assassinat de Napoléon par empoisonnement chronique selon la méthode de la Brinvilliers. Les auteurs avancent comme mobile du crime l'hypothèse que Montholon était un agent royaliste et que le meurtre aurait été commandité par le comte d'Artois.
Bataille de Sedan : cette défaite française débouche sur la capture et la reddition de Napoléon III. La déchéance officielle de l'Empereur n'intervient que le 1er mars 1871 .