Parcours de Robespierre vers la place de la Révolution Robespierre mené au supplice par Pierre-Antoine Demachy, 1794. Robespierre avait reçu, ou s'était tiré, une balle dans la mâchoire, Couthon avait eu la tête fracassée et Augustin Robespierre s'était gravement blessé en sautant par la fenêtre de l'hôtel de ville.
Maximilien de Robespierre, ou Maximilien Robespierre, est un avocat et homme politique français né le 6 mai 1758 à Arras (Artois, aujourd'hui Pas-de-Calais) et mort guillotiné le 10 thermidor an II ( 28 juillet 1794 ) à Paris, place de la Révolution (actuelle place de la Concorde).
Le lendemain, Robespierre tente de revenir à l'Assemblée mais on l'empêche de parler et un décret d'arrestation est voté. Il est alors arrêté avec ses partisans, Saint-Just, Couthon, Lebas et Robespierre le jeune ; ils sont exécutés le 28 juillet 1794. M.
Augustin Bon Joseph de Robespierre, communément nommé Augustin Robespierre, ou Robespierre le Jeune, est un avocat et un homme politique français, député de Paris à la Convention nationale en compagnie de son frère aîné Maximilien, né à Arras le 21 janvier 1763 et mort guillotiné à Paris le 28 juillet 1794 .
Pour l'Histoire, Robespierre est resté le visage de la Terreur. "Au sein du comité de Salut public où il entre le 27 juillet 1793, Robespierre est plus puissant que jamais et s'impose incontestablement comme le premier des onze, en notoriété et en autorité.
Après la chute des Girondins, sous la domination des Montagnards, la Terreur vise à assurer la défense de la nation contre les ennemis de l'extérieur (→ première coalition) et intérieurs (→ guerre de Vendée, insurrections fédéralistes et royalistes).
Au nom de la guerre et du « salut public », une politique de répression est instaurée par le gouvernement révolutionnaire, sous la pression d'événements menaçant la sûreté de l'État. C'est l'application outrancière de ces sévérités nécessaires qui forme ce que l'on a appelé la terreur.
Celui qui avait osé défier le Comité de Salut Public en exigeant la fin de la Terreur sera condamné à mort à la suite d'un simulacre de procès et exécuté le 5 avril 1794.
Robespierre devient alors une grande figure démocrate, fervent révolutionnaire défendant notamment l'abolition de l'esclavage, le droit de vote pour un plus grand nombre de personnes, la fin de la monarchie et surtout l'égalité des droits. On lui prête rapidement le surnom d' « Incorruptible ».
La Terreur prend fin avec la mort des principaux députés Montagnards dont Robespierre, figure de proue du gouvernement révolutionnaire, guillotiné le 28 juillet 1794.
Un temps, la Révolution lui donnera raison. Robespierre tentera lui-même de dissocier la société future (à construire) d'où la mort-peine sera exclue définitivement parce que non nécessaire, de la société en plein travail révolutionnaire et en laquelle la peine de mort sera plus que jamais nécessaire.
Le 21 janvier 1793, le roi Louis XVI, rebaptisé Louis Capet dans l'acte d'accusation de son procès, est guillotiné en public sur la place de la Révolution, actuelle place de la Concorde, à Paris. Sa mort met un terme à près de 1 300 ans de monarchie en France, depuis le règne de Clovis à la fin du Ve siècle.
Le Comité de Salut Public exerce le pouvoir dans les domaines militaire, politique, diplomatique et économique. Il contrôle les ministres du gouvernement. Il est censé agir plus rapidement que l'Assemblée. Robespierre est élu au Comité de Salut Public de juillet 1793 à juillet 1794.
Un orateur passionné
Élu député du tiers état d'Arras, Robespierre témoigne d'emblée de son empathie pour le peuple en revendiquant un suffrage universel et non plus censitaire.
Après la chute de la monarchie, Robespierre est élu à la Convention nationale dans plusieurs départements, mais choisit d'être représentant de Paris. Il contribue à faire voter la condamnation à mort de Louis XVI.
Ces mots ont été prononcés par Georges Danton à son bourreau quelques secondes avant d'être guillotiné le 5 avril 1794.
Marat et Robespierre sont deux des trois membres du "triumvirat" dénoncé par les Girondins le 25 septembre 1792 à la Convention. Avec Danton, ils sont accusés de vouloir la dictature et d'avoir orchestré les massacres de Septembre.
À la tête du Comité de salut public. Robespierre est devenu le personnage le plus représentatif de la Révolution. Estimant que le salut public exige un pouvoir dictatorial, il préconise l'établissement d'un gouvernement révolutionnaire.
Période de la Révolution française (1793-1794) pendant laquelle des mesures exceptionnelles sont mises en place pour arrêter et punir les opposants aux Montagnards.
Les guerres de Vendée débutent en 1793
Mais c'est en 1793 que tout bascule, à cause de la conscription. Le pouvoir souhaite enrôler 300.000 hommes et les Vendéens refusent de se plier à cet ordre. Le 10 mars, une émeute meurtrière éclate à Machecoul quand les représentants de l'État viennent enrôler les paysans.
La chute de Robespierre est consécutive à une série d'événements qui se sont déroulés du 8 thermidor an II ( 26 juillet 1794 ) vers midi, au 10 thermidor ( 28 juillet ).
La Terreur est décidée le 5 septembre 1793 par la Convention (assemblée qui dirige la Première République). Elle se termine le 28 juillet 1794 avec l'arrestation des Jacobins et la mort de Robespierre.
Le dimanche 1er septembre 1715, à 8 h 15, après 72 ans de règne, Louis XIV meurt rongé par la gangrène. Le mal s'est déclaré le 10 août avec des douleurs dans la jambe.
Les dernières heures de Marie-Antoinette
Le procès de la reineLe peuple de Paris voit en Marie-Antoinette celle qui inspire au Roi ses tentatives de résistance au développement des mesures révolutionnaires. On la surnomme « Madame Veto » tou...