La fondation de la ville est attribuée au roi Idriss Ier, un descendant du prophète, qui vers 791, décida d'installer sa capitale sur la rive droite de la rivière de Fès, qui donne son nom à la ville, dans l'actuel quartier andalou.
Fondée au IXe siècle, Fès a connu sa période faste aux XIIIe et XIVe siècles, sous la dynastie mérinide, quand elle supplanta Marrakech comme capitale du royaume.
Selon de nombreux historiens, cependant, Fès viendrait du berbère saf, abréviation de isaffen, qui signifie les rivières. La présence de cours d'eau fut en effet déterminante dans le choix du site de cette ville, construite au pied des montagnes du Moyen-Atlas.
La ville « Médina Fès » a été fondée par le chérif alide Idris Ier en 789 à l'emplacement de l'actuel quartier des Andalous. En 808, le régent Rashid Ben Morshid fonde « al-Aliya » sur l'autre rive de l'oued de Fès.
La ville est particulièrement réputée pour sa médina, la partie ancienne de la ville, classée au patrimoine mondial de l'UNESCO. Fes el-Bali constitue le cœur de la médina. Fondé durant le haut Moyen-Âge (VIIIe siècle), ce quartier entièrement piéton abrite notamment la mosquée des Andalous et la mosquée Quaraouiyin.
Fès, capitale spirituelle et scientifique du Royaume, doit essentiellement cette réputation au fait qu'elle abrite l'une des plus anciennes, sinon la première université née dans le monde arabo-musulman, mais pas seulement. La cité regorge de médersas tout aussi anciennes et aussi symboliques…
Calotte tronconique en laine, généralement rouge, qui fut la coiffure traditionnelle des Turcs.
Au Maroc cependant, le Fez est un symbole de nationalisme et est historiquement connu comme ayant été porté en tant que symbole de protestation pendant l'occupation Française.
La médina de Fès est inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO car elle abrite, en vérité, la plus vieille université du monde musulman. Les principaux sites de la médina à visiter datent du 13e et 15e siècle et ce sont la médersa, le palais, les mosquées et les fontaines.
Conclu le 30 mars 1912 entre la France et le Maroc, le traité de Fès* établit « l'organisation du protectorat français dans l'empire chérifien ». En le signant, le sultan marocain Moulay Abd el-Hafid (1908-1912) acceptait le protectorat de la France (1) sur ses États.
Elle portait le nom de « Pieds-Noirs ». Leur bande adopta ce nom pour sigle par esprit de dérision et ses membres s'identifièrent au destin de cette tribu privée d'avenir. Qu'elle soit véridique ou fantasmée, cette histoire traduit bien l'inconscient d'une portion de la deuxième génération des Français nés au Maroc.
Dans une oasis au pied du Haut Atlas, le chef des Almoravides fonde Marrakech, deuxième ville impériale du Maroc, qui donnera son nom au pays.
Définition de fez nom masculin
➙ chéchia.
C'est à partir de la fondation de Carthage en Tunisie que la région commence à être réellement mise en valeur et explorée par de grands navigateurs comme Hannon. L'influence de la civilisation carthaginoise se fera sentir près de mille ans sur le territoire du Maroc actuel : en effet à partir du VI e siècle av. J.
La dynastie des Alaouites descendrait de Muhammad al-Nafs al-Zakiya, lui-même descendant de Abdallah El-Kamil, fils de Hassan al-Mouthanna, fils de Hassan as-Sibt, fils aîné d'Ali Ibn Abi Talib et de Fatima Zahra, fille du prophète de l'islam Mahomet.
La dynastie Idrisside, dont le fondateur était Idriss 1er qui a fait de Volubilis (Walili) sa capitale, a été la première à conquérir le Maroc pour plus d'un siècle. De 789 à 978, la dynastie Idrisside a dominé une bonne partie du Maghreb, dont l'Afrique du Nord du Maroc actuel.
Aïn Soltane, principale source d'eau de la ville, gratifie, elle, le visiteur d'un cadre agréable et d'une eau minérale en très faible teneur Sodium. Une partie des eaux de cette source est même mise en bouteille et commercialisée partout dans le pays.
A deux pas de la porte Nord de la médina (Bab Boujloud), entrez dans l'un des jardins publics les plus beaux de la ville : le jardin Jnane sbil. Cet espace vert est le plus ancien jardin public de la ville. Il est très agréable de se balader dans le jardin Jnane sbil surtout autour du lac et des fontaines.
Le terme « couvre-chef » est apparu dans la langue française au cours du XIIIe siècle. Il désignait la partie d'un vêtement qui couvre la tête. Le télescopage sémantique fait que ce terme signifie également le couvre-chef du chef.
Le mortier fait partie aussi, avec la toge, de la tenue des diplômés lors de la cérémonie de la remise de leurs diplômes. Le mortarboard anglo-saxon est une toque de forme carrée, ornée d'un tassel, le pompon long, agrémenté ou non d'un petit pendentif doré indiquant l'année.
Les femmes avaient plutôt l'habitude de travailler leur coiffure en y ajoutant des accessoires. Le bonnet était plus adapté. Le XXème siècle montrera le chapeau comme un moyen de mettre en avant sa classe sociale et sera un signe de respect. ne pas en porter était inconcevable.
Selon Cyriel, ce mot est utilisé pour faire comprendre à une personne qu'elle n'a que ce qu'elle mérite, que ce qui lui arrive est bien fait.
(Argot) Vent spécialement violent.
Étymologie. Pour la pâtisserie : Du francique lorrain et de l'alémanique alsacien schneck (« escargot »). À comparer à l'allemand Schnecke (« escargot », « limace »).