L'esprit qui animait le commandant Hirose représente exactement l'esprit Bushido de notre armée et de notre marine. « Tous nos hommes devant l'ennemi, nous en sommes sûrs, au cas d'une défaite, seraient unanimes dans leur refus d'accepter la liberté sous de telles conditions.
Les principes du bushido mettaient l'accent sur l'honneur, le courage, l'habileté dans les arts martiaux et la loyauté envers le maître du guerrier (daimyo) par-dessus tout. Il est quelque peu similaire aux idées de chevalerie que les chevaliers suivaient dans l'Europe féodale.
Art Martial. La voie du guerrier est indissociable de la vie du samouraï. Ce dernier doit se conduire selon un code nommé Bushido. Ce code d'honneur repose sur sept vertus essentielles : honnêteté, courage, bonté, respect, sincérité, honneur et loyauté.
Les valeurs des guerriers
On retrouve de manière exacerbée chez les samouraïs un certain nombre de valeurs : la loyauté, la fidélité, le courage physique, une forme de frugalité voire d'abnégation. Mais au-dessus de tout il y a le respect et en particulier le respect de l'honneur…
Rappelle-toi la devise du samouraï : L'honneur ou le déshonneur ne sont pas dans l'épée, mais dans la main qui l'empoigne.
Le code du Bushido est le code de conduite des samouraïs. C'est un ensemble de règles morales que les samouraïs s'efforçaient de suivre durant toute leur vie mais aussi leur mort, car la mort avait autant d'importance pour eux que la vie.
Kurusan Yasuke (son nom d'origine demeure incertain) aurait été un guerrier originaire de l'ethnie Makua du Mozambique. tip! Enlevé par des trafiquants d'esclaves à la fin du 16eme siècle, il est vendu à des négriers portugais qui vont l'emmener jusqu'en Inde, à Goa, alors colonie portugaise.
Les Samouraï n'ont pas disparu au cours du XIXe siècle en même temps que l'ère Edo. Ils existent toujours ! Et ils sont beaucoup plus présents qu'on ne le croît dans les Arts Martiaux, comme dans la vie quotidienne. Ils continuent de régir la pratique, voire même de reprendre la main sur celle-ci.
À partir du Xe siècle, le samouraï était un cultivateur ou un artisan qui servait un seigneur pendant la guerre (qui était très fréquente à l'époque entre les différents clans qui se partageaient le Japon). Pour ses services il recevait un salaire en riz. Déjà, il portait les deux sabres.
Quand un enfant destiné à devenir Samouraï avait atteint l'âge de 15 ans, il pouvait obtenir un wakizashi (petit sabre) et un nom d'adulte lors d'une cérémonie appelée genpuku (元服). Lors de cette cérémonie, il devenait samouraï et il obtenait aussi le droit à porter un katana.
Définition. Les samouraïs étaient une classe de guerriers apparue au 10e siècle au Japon qui fit partie de la force militaire jusqu'au 19e siècle. Soldats d'élite hautement entraînés, capables de manier l'arc et le sabre, les samouraïs étaient une composante essentielle des armées japonaises à l'époque médiévale.
Mais au fait, c'est quoi un samouraï ? Un samurai, un samourai,un 侍 (transposition du japonais bushi (武士) signifiant "homme d'armes", "guerrier gentillhomme") est une figure emblématique de la culture japonaise.
C'est à l'origine une méthode d'utilisation de cheveux pour tenir un casque de samouraï stable au sommet de la tête dans la bataille, puis elle devient un symbole de statut dans la société japonaise.
« héros-guerrier ou chevalier martial », Wade-Giles wu³-hsia²), est une expression chinoise formée de xiá (侠), « héros », « chevalier », « redresseur de torts » et wǔ (武), « militaire » ou « martial » ; on la traduit généralement par « chevalier errant », même si le terme consacré est plutôt youxia (chinois simplifié : ...
Ninja (忍者) est un terme japonais moderne ( XX e siècle) servant à désigner une certaine catégorie d'espions ou de mercenaires, actifs jusqu'à la période d'Edo ( XVII e siècle), traditionnellement appelés shinobi (忍び, littéralement « se faufiler »).
Japon : Kawagoe, le village de samouraïs.
Le 22 février 1877, jour qui marque la fin des samouraïs, ces guerriers japonais aux armures magnifiques et au sens de l'honneur implacable. Pourquoi disparaissent-ils ? Parce qu'ils sont d'un autre âge.
Le samouraï disposait de toute une panoplie d'armes blanches, dont le célèbre katana (long sabre qu'il était le seul à pouvoir porter), mais aussi le wakizashi, un petit sabre qui ne quittait jamais le guerrier, sans oublier le tanto, un poignard notamment utilisé pour la cérémonie du seppuku.
Entre le XIIe et le XVIe siècle, le Japon ressemble étrangement à notre Moyen Age occidental : des guerriers, les samouraïs, servant leur seigneur et exerçant leur pouvoir sur les paysans, des fiefs, des châteaux...
Du japonais 侍 , samurai (« samouraï »), littéralement « celui qui sert (son seigneur) ».
Dans le Japon moderne de l'ère Meiji, alors que la caste des samouraïs vit ses dernières heures, le plus respecté d'entre eux se soulève en 1877, dans une rébellion désespérée.
Katsumoto, gravement blessé par les tirs d'une mitrailleuse Gatling, demande à Algren de l'aider à pratiquer le seppuku. Algren survit, et remet le sabre de Katsumoto à l'empereur, qui trouve alors le courage de désavouer Omura ainsi que l'ambassadeur Swanbeck des États-Unis.