D'après, site lerarenfrance, le mot Moula viendrait de l'argot américain Moolah, qui signifie argent dans les années 30. En 1984, il est présent dans la chanson We need some money de Chuck Brown. Il est ensuite repris par le rap américain comme le fait le rappeur G" Len en 1995 dans son titre For the money.
Le mot moula est au départ un mot de slang (argot) états-unien, souvent orthographié moolah. Il est utilisé depuis la fin des années 1930 pour désigner l'argent.
(Argot) (Rare) Personne importante, influente, ponte. (Argot) Humiliation par la victoire, par le fait de surpasser quelqu'un. Je vais te mettre la moula.
Moula est un terme argotique que l'on emploie pour désigner l'argent (au sens financier), le fric, le flouze. Exemple : Passe-moi la moula, j'vais recompter pour être sûr que le compte y est. Moula est un terme argotique qui s'utilise pour désigner le cannabis.
Définition de "Je suis une Moula"
Dans le lexique de Heuss l'enfoiré, être en esprit veut dire être sous les effets de l'alcool, je suis en moula pourrait être interprété de deux façons : je suis sous les effets de l'alcool ou je vais tout défoncer.
Le mot kichta est un mot utilisé par les ados pour parler de l'argent. C'est un mot qui était utilisé par les dealeurs pour parler des liasses de billets. Jeanne a choisi de nous expliquer le mot kichta. Ce mot qui est aussi écrit quichta, est un mot issu de l'argot des dealeurs pour parler de la liasse de billets.
Que veut dire le mot kichta ? Le mot kichta , qu'on trouve aussi écrit quichta et qui s'abrège en kich , provient de l'argot des dealeurs. Il désigne une liasse de billets, un tas de billets. Ce mot s'emploie aussi ironiquement pour désigner quelques billets, une petite somme d'argent.
Fête, soirée qui se caractérise par l'importance de l'alcool qui y est consommé ; soirée de débauche, d'ivresse. Exemple : Ce soir c'est la grosse khapta chez Marco. Khapta signifie, par extension, un état d'ivresse, de cuite.
«Faible», «paix» et «pauvre type»
De l'arabe miskīn «pauvre», miskine est un terme qui a peu ou prou conservé son sens originel en passant dans notre vocabulaire. Ainsi l'entend-on souvent employé pour faire part de notre mépris et qualifier une personne pitoyable, voire pathétique.
À l'instar des termes “seum”, “smala” ou encore “toubib”, le mot “cheh” tire son origine de la langue arabe, plus particulièrement de l'arabe dialectal du Maghreb. En France, il existerait aujourd'hui plus de 400 mots français qui proviennent de l'arabe.
Car "wesh" est en fait un adverbe interrogatif qui nous vient de l'arabe algérien. On dit ainsi "Wesh kayn ?" pour dire "Qui y a-t-il ?" et "Wesh rak" pour dire "Comment vas-tu ?". C'est la culture hip hop française qui va l'utiliser à tout-va dans les années 1990.
Au début du XIXe siècle, le daron s'emploie en effet comme un sobriquet dans la bouche des ouvriers pour qualifier «leurs bourgeois». Il signifie alors, note le TLF, «vieillard fin et rusé».
Le mot bsahtek , qui s'écrit aussi bsartek et sartek , signifie « bravo, félicitations, bien joué ». On l'emploie pour féliciter quelqu'un qui a réussi quelque chose. Il sert aussi à complimenter quelqu'un qui a fait une bonne action, avec le sens de « c'est bien, respect pour ce que tu as fait ».
Le mot moulaga est lui aussi un mot d'argot qui désigne l'argent. Le nom féminin moula désigne aussi par extension le cannabis, mais ce sens ne semble pas se retrouver dans moulaga . Exemple : donnez-moi de la moulaga , phrase répétée par le rappeur Heuss l'Enfoiré dans une chanson de décembre 2019.
Depuis sa villa à Dubaï, Milla Jasmine s'est confiée sur son quotidien et la promotion de produits sur ses réseaux, plus particulièrement ceux de Moula Shop, dont elle a en fait la publicité par le passé. La boutique en ligne met en vente des produits aisément identifiables comme étant des contrefaçons.
Sa première vie, zebi l'a connue quand ce mot est entré dans l'argot français à la fin du XIXe siècle, probablement dans le contexte de la colonisation française au Maghreb. On le retrouve sous la forme zébi avec un accent dans l'expression argotique peau de zébi , qui signifie « rien du tout ».
Formé sur le mot «sahha» qui désigne la santé, bonne ou mauvaise, en arabe standard et dialectal, «bsahtek» est une locution communément utilisée aujourd'hui pour dire «bien joué !», «bravo !» ou encore «la classe !».
Le mot Slay vient de l'anglais qui se traduit par "Tuer quelqu'un". Aujourd'hui, la signification a évolué pour désigner quelqu'un ou quelque chose qui étonne, qui laisse sans voix.
Originaire de l'arabe algérien, « wech » – « wesh » en est une variante orthographique – est un adverbe interrogatif apparu aux alentours de 1983 et utilisé alors principalement par les jeunes. On le retrouve dans les expressions « qui y a-t-il ? » (wech kayn ?) et « comment vas-tu ? » (wech rak ?).
La dernière expression qui se répand comme un mantra parmi les vidéos de l'application est “y'a pas wesh”. À l'origine, l'expression se limitait simplement à “y'a pas à” qui était toujours suivi d'un verbe à l'infinitif. Par exemple, un ado pourrait dire “y'a pas à donner des devoirs pendant le week-end”.
« Parler comme un voyou », en dunkerquois .
Comme «kichta», autrement dit une liasse de billets.
Attesté depuis 2003, le terme est issu du romani, langue notamment parlée par les gitans, bohémiens et tziganes, comme l'indique le Trésor de la langue française. Il signifie «idiot», «fou» et «imbécile».
Étymologie. Du français bougre utilisé dans l'argot de la marine et signifiant (« homme »).
Exemple : "Fais belek, tu vas tomber ! " "Belek" vient de l'arabe : attention, il s'agit le plus souvent d'un conseil amical pour prévenir quelqu'un d'un danger potentiel. Traduction : Fais gaffe !