Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
Règle générale : les propositions subordonnées sont introduites par un mot de liaison : pronom relatif, conjonction de subordination ou un mot interrogatif. Il pense étudier demain. Les cours l'ennuyant, il préfère rester à la maison. Exceptions : les propositions infinitives et participes dérogent à cette règle.
Pour donner la nature d'une proposition subordonnée, on analyse la classe grammaticale du mot introducteur ou, s'il n'y en a pas, le mode du verbe noyau. La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, quand, comme, si, etc.)
Le subordonnant est un rôle syntaxique joué par un terme placé au début d'une subordonnée. Il l'enchâsse dans une phrase enchâssante ou dans un groupe de mots. Il permet donc la subordination. J'ai interviewé un architecte talentueux qui a conçu un bâtiment impressionnant.
Les propositions subordonnées complétives sont COD du verbe qu'elles complètent. Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
Si la proposition subordonnée se rapporte à un nom, ce sera une « relative ». Si elle se rapporte à un autre élément (à l'ensemble de la proposition ou à un verbe), ce sera une « conjonctive ».
La conjonction de subordination est placée en tête de la subordonnée mais cette subordonnée peut être située avant ou après la principale . Ex : Je prends ma voiture quand je suis en retard . Quand je suis en retard , je prends ma voiture .
que, puisque, parce que, alors que, afin que, si bien que, etc. quand, comme, si.
La proposition subordonnée complétive conjonctive est introduite par la conjonction que. Elle complète un verbe ou une expression verbale, par exemple : un verbe de déclaration (dire, préciser…) un verbe de connaissance, de constatation ou d'opinion (savoir, croire, apprendre…)
La subordonnée est une phrase enchâssée dans une autre phrase ou un groupe de mots. Comme toute phrase, elle comporte un sujet et un prédicat, et parfois un complément de phrase. Selon sa sorte, elle occupe toujours une fonction syntaxique dans la phrase matrice.
Une proposition subordonnée relative est toujours introduite par un pronom relatif : -qui –que –quoi –dont -où -lequel et ses composés ( laquelle, desquels ...) La proposition subordonnée relative a toujours la même fonction : elle est toujours complément de l'antécédent du pronom relatif (c.
Remarque : Dans la proposition subordonnée relative, le pronom « que » remplace un nom (= c'est un antécédent). Remarque : Dans la proposition subordonnée complétive, « que » n'est pas un pronom : il ne remplace rien, il se trouve juste après le verbe : C'est une conjonction de subordination.
On dit que deux propositions indépendantes sont coordonnées quand elles sont reliées par un mot de liaison : Mais, ou, et, donc, or, ni, car sont des conjonctions de coordination.
Parmi les mots qui peuvent être des subordonnants, on trouve notamment des conjonctions (ex. : que, à ce que, de ce que, parce que, sans que, pour que, afin que, à moins que, alors que, pendant que, après que, tandis que, plutôt que, dès que, quand, lorsque, si, comme) et des pronoms relatifs (qui, que, quoi, dont, où, ...
« Mais où est donc Ornicar ? », ou « Mais où est donc Carnior ? » en Belgique, en France, au Maroc, au Liban et au Québec, est une phrase mnémotechnique permettant de retenir les conjonctions de coordination en français (à savoir : mais, ou, et, donc, or, ni, car).
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination.
Pour mémoriser les principales prépositions, on peut utiliser le moyen mnémotechnique suivant : Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre. [À] [dans] [par] [pour] [en] [vers] [avec] [sans] [sous] [entre] [derrière] [chez] [de] [contre]. Ce sont les principales prépositions.
Rappelez-vous cette phrase apprise par cœur durant les cours de français : « Adam part pour Anvers avec deux cents sous. » Ce moyen mnémotechnique permet de retenir une sélection de prépositions fréquentes.
Liste des principales conjonctions de subordination simples : que, si, comme, lorsque, quand, quoique, puisque. Liste des principales locutions conjonctives (conjonctions composées) : afin que, de sorte que, pendant que, parce que, dès que, tandis que, après que, avant que, de peur que.
Il en existe beaucoup d'autres : attendu, avant, avec, concernant, contre, dans, de, depuis, derrière, dès, devant, durant, entre, envers, excepté, hormis, hors, malgré, moyennant, outre, par, parmi, passé, pendant, plein, pour, près, proche, selon, sous, suivant, supposé, sur, touchant, vu, etc.
Une proposition subordonnée est une proposition qui dépend d'une proposition principale. Elle se rattache à la proposition principale pour apporter une précision en lien avec celle-ci.
Une proposition est une partie de phrase ou une phrase, dans une phrase. Il y a autant de propositions qu'il y a de verbes. ex: Le chat dort dans le salon. 2.
Une proposition subordonnée relative complète généralement un nom ou un pronom ; une proposition subordonnée complétive complète généralement un verbe.
Une proposition subordonnée est appelée conjonctive, car elle est introduite par une conjonction de subordination. Il s'agit des mots que (2) (et de tous ceux composés avec que : dès que, aussitôt que, bien que, quoique, tant que, pour que, parce que, puisque, alors que, etc. ainsi que les mots si, quand et comme).