Cette interjection, issue de la culture hip-hop, prend racine dans l'arabe algérien. Wesh ! En voilà une expression très populaire dont on se demande rarement d'où elle vient. "Wesh" est un mot issu de la culture hip hop, aujourd'hui entré dans l'argot français.
Il est dérivé de l'arabe algérien "Wech rak" qui se traduit par "Comment ça va ?". Wesh s'emploie également comme terme de salutation en France. Apparu dans les années 90 via la culture hip-hop, ce terme est entré en 2009 dans le Petit Robert. Ce mot peut aussi s'employer pour poser des questions : Comment ?
Originaire de l'arabe algérien, « wech » – « wesh » en est une variante orthographique – est un adverbe interrogatif apparu aux alentours de 1983 et utilisé alors principalement par les jeunes. On le retrouve dans les expressions « qui y a-t-il ? » (wech kayn ?) et « comment vas-tu ? » (wech rak ?).
Salut ou provocation appartenant au vocabulaire des jeunes. "Wesh" est dérivé de l'arabe "wesh rak" (comment vas-tu ?). Son utilisation peut aussi être doublée : wesh-wesh.
C'est le cas de « wesh », qui vient d'un mot algérien signifiant « quoi » et qu'on peut placer à peu près n'importe où dans une phrase. À noter que « Wesh, ma gueule », signifie : « Oui, mon pote », de manière très affectueuse.
Miskine, miskina au féminin, est une interjection qui s'insère dans une phrase ou vient la ponctuer en bout de ligne. C'est une exclamation de pitié empreinte de compassion qui semble dire « Oh ! le pauvre ! ».
Interjection. (Islam) Par Allah. (Populaire) Renforcement du caractère impérieux d'une déclaration, sans référence au divin.
Car "wesh" est en fait un adverbe interrogatif qui nous vient de l'arabe algérien. On dit ainsi "Wesh kayn ?" pour dire "Qui y a-t-il ?" et "Wesh rak" pour dire "Comment vas-tu ?". C'est la culture hip hop française qui va l'utiliser à tout-va dans les années 1990.
Kono, qu'est-ce que tu as ? ماذا لديكِ يا "كونو"؟
Un serment par Allah, qui se fait généralement au moyen de l'interjection arabe wAllah (والله dans l'alphabet arabe), signifiant littéralement « par Allah » (sous-entendu « [je le jure] par Allah »), consiste pour un locuteur de confession musulmane à prendre à témoin Allah pour prétendre que ses propos ne sont pas ...
C'est le diminutif du mot négro, dénué, dans ce sens, de toute connotation raciste et injurieuse. Il est inspiré du terme anglais nigger ou nigga, très populaire aux Etats-Unis au sein de la communauté afro-américaine.
«'Se mettre sur', écrit-il, est une ancienne tournure qui veut dire 'mettre sur soi'», «trente et un pour sa part, est la déformation populaire de 'trentain', nom d'une ancienne sorte de drap de luxe, dont la chaîne était composée de trente fois cent fils et qui, n'étant plus compris, est devenu trente-un».
Daron est un terme bien plus ancien qu'il n'y paraît. C'était déjà un mot d'argot au XVIIIe siècle et on soupçonne qu'il existait bien avant. Il semblerait qu'il fût une espèce de mot-valise, soit le croisement de deux mots : dam, « seigneur » et baron.
c'est quoi ? ما هَذا؟
comment va la famille ? كَيْفَ حالُ العائلةِ؟
Ken : Faire l'amour. Exemple : « La première fois que je suis allée chez lui, on a ken. »
Le mot schneck a plusieurs sens en français. Une schneck, c'est d'abord une viennoiserie de forme enroulée, garnie de raisins secs. Dans ce sens, le mot schneck est principalement employé en Alsace, en Moselle, et un peu au Maghreb : c'est un régionalisme. Ailleurs, on parle le plus souvent de pain aux raisins .
Le sang. Aujourd'hui devenu un grand classique, « le sang » est un diminutif de « le sang de la veine ». L'expression désigne un ami si proche qu'il est comme de notre propre sang et vient du grand maître Jul. Il est souvent raccourci en « le s ».
ماذا تفعل هنا (جوهان) ؟ Grover, qu'est-ce que tu fais ? (غروفر)، ماذا تفعل ؟
Le mot WESH n'est pas valide au scrabble.
(Rare) Dieu soit loué .
"Starfoullah" signifie en arabe : "Que Dieu me pardonne". Ce terme marque la surprise ou le dépit par rapport à une situation.
Ce mot s'utilise principalement lors des prières, où il est répété plusieurs fois. Par exemple, dans la prière appelée tasbih , qui se récite au moment d'aller se coucher, le croyant répète trente-trois fois soubhanallah , puis autant de fois hamdoullah , puis autant de fois allahou akbar .