Le nom actuel de l'Algérie a été inventé par les Français à l'initiative du maréchal Soult en 1837, pour remplacer l'ancienne appellation de « possessions françaises du Nord de l'Afrique ». Il dérive du nom de la capitale, Alger (déformation de l'arabe Al Djezaïr).
C'est le terme al-Djazayr qui a donné ensuite Alger et Algérie.
En français, le pays est désigné, avant 1830, par les expressions les plus diverses : « Barbarie », « El Djezair », « Numidie », « Africa », « Ifrikyia », « Royaume d'Alger », etc..
Dans l'Antiquité, le territoire algérien connaît la formation des royaumes numides avant de passer sous la domination partielle des Romains, des Vandales, des Byzantins et des principautés berbères indépendantes. Le VII e siècle marque le début de l'islamisation puis l'arabisation partielle de la population.
L'islam s'est installé au Moyen Âge et il constitue la religion majoritaire des Kabyles. Son influence sur la culture, la société est majeure ; et ce à travers diverses périodes historiques. Au début de la conquête musulmane du Maghreb, la population berbère se convertissait massivement.
Au cours de l'occupation turque, qui dura de 1515 à 1830, l'Algérie bénéficia d'une grande autonomie, sous l'autorité d'un pouvoir militaire exercé par le dey et contrôlé par la milice des janissaires turcs. Les Ottomans construisirent des fortifications tout le long du littoral et y installèrent des garnisons.
D'ailleurs, ce sont ces mêmes Turcs qui ont «vendu» l'Algérie à la France un certain 5 juillet 1830, alors que le général de Bourmont, conduisant son impressionnante flotte, peinait à vaincre les vaillants Algériens qui affrontaient l'armée française courageusement depuis le 14 juin, jusqu'à ce que la trahison du dey ...
Un Kabyle est originaire de la Kabylie, région montagneuse située à l'est d'Alger. Être algérien ne signifie pas forcément être arabe, puisque les Kabyles sont berbères. Ce dernier terme désigne un vieux peuple autochtone d'Afrique du Nord dont la présence est attestée au moins depuis Hérodote.
Pour Hérodote, la population de ce qui est actuellement l'Algérie était composée de Libyens, nomades au sud d'une ligne formée par les chotts algéro-tunisiens, sédentaires au nord.
Après l'indépendance de l'Algérie, les Algériens de statut civil de droit commun ont conservé la nationalité française de plein droit. Algériens bénéficiant du statut civil de droit local : Personnes régies par la loi musulmane.
Les déficits budgétaire et courant ont atteint 3,8% et 2,8% du PIB. La dette publique s'établirait à 63% du PIB et les réserves de changes à 45 Mds USD fin 2021 (soit 10 mois d'importations).
Ce phénomène peut être lié à un éclatement des isolats et à une dominance génétique de la couleur foncée par rapport aux teintes claires. Des changements, dans un sens précis, de la couleur des yeux n'ont pas été observés chez les populations européennes.
Le nom « Alger » dériverait du catalan Aljer, lui-même tiré de Djezaïr, nom donné par Bologhine ibn Ziri, fils de Ziri Ibn Menad fondateur de la dynastie berbère des Zirides, lorsqu'il bâtit la ville en 960 sur les ruines de l'ancienne ville au nom romain Icosium, Djaza'ir Beni Mezghenna.
Ce surnom viendrait du fait que les chauffeurs des bateaux à vapeur avaient l'habitude de marcher pieds nus dans la soute à charbon du navire. Ces chauffeurs étant souvent algériens, « pied-noir » a ensuite désigné, par extension, un Algérien. Cet emploi est attesté en 1917. Son emploi actuel n'est attesté qu'en 1955 .
14Selon Berlioux (1883, p. 19), les blonds d'Afrique du Nord, seraient ethnogéniquement différents des bruns ; les blonds descendraient des Atlantes alors que les bruns descendraient des Gétules sahariens.
De nombreuses personnes en Afrique ont changé de nom après avoir accédé à l'indépendance, mais de nombreux noms de famille populaires à travers le continent reflètent encore aujourd'hui le passé colonial de la région. Selon le site NetCredit, c'est le nom «Saidi» qui est le plus répondu en Algérie.
En Kabylie ancienne, l'un des soucis majeurs du patriarche familial était de marier ses fils. Le mariage était alors un facteur assurant la continuité du patrilignage en garantissant l'accroissement éventuel de la puissance du groupe familial par la multiplication des hommes de la famille (Lacoste-Dujardin, 2005).
Une fois l'Algérie entrée dans la domination coloniale française en 1830, environ 15 000 Turcs ont été expulsés vers Smyrne ; de plus, de nombreux Turcs (aux côtés d'autres indigènes) ont fui vers d'autres régions de l'Empire ottoman, notamment en Palestine, en Syrie, en Arabie et en Égypte.
En avril 2019, ellles sont estimées à 72 milliards de dollars puis, début 2020, à 62 milliards de dollars ; elles sont estimées à près de 43 milliards début 2021.
Infrastructures déficientes, aménagement inadapté
La disponibilité et l'état des infrastructures touristiques constituent un point noir pour tous les professionnels du secteur. « Nous avons seulement 50 000 lits en bord de mer. », rappelle Said Boukhelifa. Au total, l'Algérie compte un peu plus de 110 000 lits.
La conquête de l'Algérie par la France se réalise en plusieurs étapes distinctes. Elle débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sidi-Ferruch le 14 juin 1830 commandée par le général de Bourmont. Elle s'achève en partie lors de la reddition formelle de l'émir Abdelkader au duc d'Aumale, le 23 décembre 1847 .
Héritière de l'ancienne Numidie , l'Algérie a d'abord été peuplée par des Berbères. Les Berbères, qu'on a aussi appelés Libyens , apparaissent dans l'histoire 3000 ans avant notre ère. Au IXe siècle avant J. -C., les Phéniciens s'établirent sur le littoral algérien et fondèrent la puissance carthaginoise.
L'Algérois est une région du nord algérien comprenant tout le nord-centre du pays, correspondant approximativement aux anciens beylik du Titteri et Dar Es-Soltane. La région comprend six wilayas : Alger, Boumerdès, Blida, Tipaza, Médéa, Aïn Defla et Chlef.
Le Kabyle attribue rarement la pleine propriété de tout ou partie de son héritage à une femme, de peur de briser l'unité de son village en y introduisant un étranger, encore moins une terre qu'elle est par ses moyens incapable de travailler, qu'elle ne saurait davantage faire fructifier.