La 'naissance' du Père Noël En 1863 « Harper's Illustrated weekly », le journal New-Yorkais, rêva Santa Claus d'un costume garni de fourrure blanche et portant un large ceinturon de cuir. Le dessinateur Thomas NAST en fut l'auteur.
Le saint catholique Nicolas de Myre est souvent considéré comme étant la base de la légende du père Noël. Il aurait donc la même origine que notre Saint-Nicolas, « patron des écoliers », qui gâte les enfants sages en Belgique la nuit du 6 décembre.
Car, à cette époque, le père Noël semblait encore hésiter entre le rouge... et le vert. En France, ce n'est qu'à la fin de la seconde guerre mondiale que le personnage est réellement rendu populaire dans l'Hexagone par les soldats américains.
Quelle est l'origine du Père Noël ? Le Père Noël serait né il y a environ 1700 ans. Il s'appelait alors Nicolas de Myre, un riche évêque turc qui avait l'habitude, pendant la nuit, d'aller distribuer des cadeaux et de la nourriture aux plus pauvres.
Tout aurait commencé en Turquie, avec l'histoire de saint Nicolas, un bienfaiteur devenu le patron des enfants. Au fil des siècles et des migrations en Europe, puis aux Etats-Unis, son nom, son costume et même la date de livraison des cadeaux ont changé.
Traditionnellement, le saint catholique Nicolas de Myre est considéré comme étant à l'origine du père Noël mais le personnage, sa mythologie et ses attributs modernes sont issus tant d'un syncrétisme, construit au fil des siècles, que d'une volonté mercatique occidentale plus récente.
Le berceau du sapin de Noël est l'Allemagne, où la crèche des catholiques a été remplacée par le sapin de Noël des protestants. En France, l'arbre de Noël est arrivé par l'Alsace, proche voisine des Allemands.
L'ancêtre direct du Père Noël est Saint-Nicolas. Il continue d'être célébré le 6 décembre dans le nord et l'est de l'Europe depuis le Moyen Âge : "Sankt Nikolaus" en Allemagne, "Sint Nicolaas" aux Pays-Bas, "Svyatoy Nikolay" en Russie, "Swięty Mikołaj" en Pologne.
Saint Nicolas ? Il faut dire que les représentations de ces deux personnages sont proches… D'où vient cette ressemblance ? Le Père Noël est une créature mythique, alors que saint Nicolas, lui, a réellement existé puisqu'il était évêque de Myre, ville marchande d'Asie Mineure (Turquie actuelle) aux IIIe-IVe siècles.
Une fête aux origines païennes
Pour la religion chrétienne, la fête de Noël n'existait pas. Ce n'est qu'à partir du IIe siècle, que l'Eglise recherche la date précise de la naissance du Christ. La date du 25 décembre fut fixée vers l'année 300 par Rome, afin de christianiser les rites issus de la culture populaire.
L'origine de la fête de Noël est plutôt romaine que grecque. En effet, les Romains avaient déjà des traditions religieuses autour du solstice d'hiver avant que soit instaurée la fête de Noël, mais ce sont également eux qui ont décidé de fêter Noël en tant que jour de la naissance du Christ.
Au XIème siècle, l'arbre de noël, garni de pommes rouges, symbolisait l'arbre du paradis. C'est au XIIème siècle que la tradition du sapin est apparue en Europe, plus précisément en Alsace. On le mentionne pour la première fois comme « arbre de noël » en Alsace vers 1521.
En 1927 les Finlandais ont décrété que le père Noël ne pouvait pas vivre au Pôle Nord car il faut qu'il nourrisse ses rennes, sa résidence était donc en Laponie, au Korvatunturi. Malheureusement cette région est un peu isolée, ils l'ont donc fait déménager près de la ville de Rovaniemi.
Dans la religion musulmane, Noël n'existe pas. Dans le Coran, Jésus est né d'une vierge. Il n'est pas reconnu comme fils de Dieu mais comme un prophète.
L'histoire semble se répéter, tout comme il y a 39 ans, jour pour jour, moment où tous les enfants de la Terre apprenaient le décès du père Noël des suites d'un infarctus tout aussi implacable qu'impensable.
Ainsi, le père Noël existait aussi sans Coca‑Cola. Mais sans Coca‑Cola, il n'aurait jamais été celui qu'il est aujourd'hui – une icône reconnue dans le monde entier. Ainsi, l'illustrateur Haddon Sundblom a dessiné le Père Noël pour Coca‑Cola en 1964. Sundblom s'est inspiré du poème « A visit from St.
Origines du Père Noël : 270, naissance de Nicolas de Myre.
Il meurt en martyre à Myre, situé Asie Mineur, en l'an 350 puis se fait canonisé par l'Eglise. On fête alors Saint Nicolas le 6 décembre.
Comment St Nicolas est-il devenu le Père Noël ? C'était une innovation américaine. Les premiers colons hollandais de New York ont appelé le héros des vacances Sint Herr Nikolaas, abrégé plus tard en Sinterklaas, et se transforma ensuite en Santa Claus.
On dit souvent que le Père Noël est habillé tout en rouge en raison des anciennes publicité de Coca-Cola. Mais le célèbre barbu adoré des enfants portait déjà cette couleur bien avant que la marque de soda ne reprenne son image.
Noël n'est devenu une fête religieuse qu'en l'an 354 après Jésus-Christ, lorsque le pape Libère fixe la date du 25 décembre comme celle de la naissance de Jésus. La raison : profiter d'une fête païenne déjà bien installée dans les pratiques populaires de l'époque pour mieux diffuser la parole chrétienne.
Le Père Noël (alias Nick) a un frère aîné nommé Fred. Ce dernier a toujours vécu sous la célébrité de son frère et en a gardé une certaine rancune.
En 1889, la poétesse Katherine Lee Bates publie dans son recueil Sunshine and other Verses for Children un poème intitulé Goody Santa Claus on a Sleigh Ride. Goody est l'abréviation de "Goodwife" qui désigne femme au foyer. La mère Noël y est donc décrite comme l'épouse aimante et dévouée du père Noël.
Le sapin, c'est une tradition païenne, ça remonte aux celtes et c'est directement lié aux fêtes du solstice d'hiver. Le passage de l'automne à l'hiver. Les Romains aussi mettaient des branchages pour décorer leurs maisons. Bref, rien à voir au départ avec la religion chrétienne.
Le jour de Noël est considéré aujourd'hui comme une grande fête familiale. Mais, à l'origine, il s'agit d'une fête religieuse.
La boule de Noël, comme on la connaît aujourd'hui, aurait toutefois vu le jour qu'au milieu du 19e siècle, en Lorraine, dans le nord-est de la France. En effet, selon la tradition, en 1858, une grande sécheresse dans les Vosges du Nord et la Moselle détruit les récoltes de fruits, dont celles des pommes.