Le trafic de drogue a été inventé par un État : le Royaume-Uni. Au XIXe siècle, la Couronne britannique inonde la Chine d'opium pour renflouer ses caisses. Dès l'origine, l'opium, l'héroïne et la cocaïne deviennent des instruments politiques entre les mains des États.
L'opium semble être la première substance de cet ordre à avoir été découverte par l'homme, il y a 8 000 ans, un peu partout dans le monde. Dans le plus ancien langage écrit connu, le sumérien (3 100 avant Jésus-Christ), on trouve un idéogramme présentant une fleur d'opium comme " la plante de la joie ".
Avec un chiffre d'affaires estimé entre 300 et 500 milliards de dollars, le trafic de drogue est devenu le deuxième marché économique au monde, juste derrière les armes ,mais devant le pétrole.
La drogue naturelle est issue de produits naturels ayant subi peu ou pas de transformations comme les champignons hallucinogènes ou le cannabis ; alors que la drogue de synthèse désigne principalement des substances comme l'ecstasy, le LSD ou les drogues sur mesure qui nécessitent une synthèse en laboratoire.
L'Inde reste le principal producteur illicite de méthaqualone (un sédatif), mais le produit transite ensuite jusqu'en Afrique du Sud qui en reste le plus grand consommateur.
Le trafic de drogue a été inventé par un État : le Royaume-Uni. Au XIXe siècle, la Couronne britannique inonde la Chine d'opium pour renflouer ses caisses. Dès l'origine, l'opium, l'héroïne et la cocaïne deviennent des instruments politiques entre les mains des États.
Le terme dealer ou dealeur est un anglicisme pour désigner un vendeur de drogue, produits illicites ou dopants (le terme deal désignant ici spécifiquement l'échange de marchandise entre le vendeur et le consommateur).
Le trafic de stupéfiants est un commerce international illicite comprenant la culture, la fabrication, la distribution et la vente de substances interdites par la loi. L'ONUDC contrôle et recherche en permanence les marchés illicites de stupéfiants internationaux afin de mieux appréhender leurs dynamiques.
Plus connue quand elle se trouve sous la forme d'ecstasy, cette drogue ne détrône pas le cannabis en termes de consommation en Europe, mais elle talonne la cocaïne.
"Le cannabis est la drogue considérée par l'opinion comme "douce", parce qu'elle détend.
Grand Est Le baron de la drogue français Sofiane Hambli, qui s'était évadé de la prison de Metz, condamné à 20 ans de prison.
Ce sont 550 CRS et gendarmes mobiles qui sont venus en soutien des forces de l'ordre marseillaises pendant trois jours pour "pilonner" les points de vente de drogue, à plusieurs endroits de la ville, mais aussi sur d'autres communes des Bouches-du-Rhône comme Arles, Port-de-Bouc ou Martigues.
En France, le cannabis est de loin la substance illicite la plus consommée avec près de 5 millions de personnes (11-64 ans) en ayant consommé dans l'année, suivi de la cocaïne (600 000) et la MDMA/Ecstasy (400 000).
Les dates clés de l'histoire du trafic de drogue
1839-1860 Première et seconde guerres de l'opium. 1882 La France ouvre sa manufacture de l'opium à Saïgon, administrée par la Régie française de l'opium.
Elles se divisent en 3 catégories : les perturbateurs/hallucinogènes; les dépresseurs; les stimulants.
Parfois, les comprimé d'ecstasy peuvent contenir d'autres drogues et substances. Effets: Sous l'influence de l'ecstasy, on peut se sentir plus alerte et plus en harmonie avec son environnement. On se sent heureux, calme et l'on éprouve des sentiments chaleureux envers les autres.
Selon l'OFDT, les drogues les plus employées pour le chem sex sont les poppers, le GHB/GBL, la cocaïne, les médicaments de performance sexuelle comme le Viagra, et plus rarement, la kétamine et la méthamphétamine. Mais la pratique a surtout explosé avec l'arrivée sur le marché des drogues de synthèse dès 2010.
L'amour fait vraiment planer
Et bien, la phényléthylamine, ou PEA, fait des siennes. Surnommée « la molécule de la passion », la phényléthylamine agit comme les amphétamines, provoquant notamment euphorie, bonne humeur et désinhibition.
En matière de lutte contre les réseaux de trafic de stupéfiants, le ministère de l'intérieur est l'acteur principal. En son sein, l'Ocrtis dirige les administrations (1police, gendarmerie et douane) et a d'abord une mission de coordination. Mais c'est aussi un service de police judiciaire à compétence nationale.
Si une personne est victime de la traite de personnes, on peut observer les indices suivants, si elle : reste en retrait (par exemple, n'établit pas de contact visuel, ne parle pas, etc.); est contrôlée ou maltraitée (par exemple, ne peut pas quitter la région, se fait crier après, etc.);
Personne se livrant à un petit trafic de revente de drogue. (On trouve aussi la forme francisée dealeur, dealeuse [nom].)
90 € par jour pour les guetteurs
À un stade intermédiaire, un « gérant » qui a la main sur plusieurs réseaux de revendeurs (à ne pas confondre avec les « charbonneurs ») peut encaisser jusqu'à 250 000 euros par an.
Selon Gérald Darmanin, les dealers se font près de 100 000 euros par jour.