C'est l'article 372 du code civil qui prévoit cela. Ainsi, s'il est question de l'éducation de l'enfant ou de soins à lui donner, la décision du père à autant de valeur juridique que la mère en cas de séparation sans jugement. « Les père et mère exercent en commun l'autorité parentale.
Une ressemblance maternelle…
Une autre explication réside dans la biologie : l'héritage maternel est plus important, notamment car les mères transmettent à l'accouchement et lors de l'allaitement des bactéries qui font constituer le microbiote du nourrisson. Or, on sait que celui-ci joue un rôle dans l'apparence.
Si les parents étaient mariés, les 2 parents exercent en commun l'autorité parentale. Si les parents n'étaient pas mariés, le père exerce en commun l'autorité parentale avec la mère s'il a reconnu l'enfant avant l'âge d'un an. Si le père a reconnu l'enfant après l'âge d'un an, la mère exerce seule l'autorité parentale.
La moitié des enfants demeurent dans le logement initial un an après le divorce ; ce logement est conservé, soit par le parent qui a la garde exclusive, le plus souvent la mère, soit par l'un des deux parents dans le cadre d'une résidence alternée (figure 5).
En droit, oui, il y a une parfaite égalité entre les droits du père et ceux de la mère dans le Code civil. C'est la notion de coparentalité qui s'applique aux parents mariés, concubins, pacsés, parent seul, couples de même sexe ou de sexe différent.
Tout comme un parent ne peut empêcher son enfant de voir l'autre parent, il ne peut pas non plus l'empêcher de communiquer avec. Ici aussi, le parent peut tout de même agir de la sorte afin de protéger son enfant, s'il y a un danger physique ou psychologique pour ce dernier.
Devoir de protection et d'entretien
Les parents doivent veiller sur sa sécurité et contribuer à son entretien matériel et moral, c'est-à-dire le nourrir, l'héberger, prendre des décisions médicales, surveiller ses relations et ses déplacements...
Le juge civil peut vous retirer totalement votre autorité parentale si vous mettez en danger la sécurité, la santé ou les valeurs de votre enfant : Mauvais traitements (maltraitance psychologique, pressions morales) Consommation habituelle et excessive d'alcools ou de drogues.
En effet, les parents se mettent souvent d'accord d'eux-mêmes. Les pères, préférant se concentrer sur leurs carrières et n'ayant pas forcément de temps à consacrer à des enfants, préfèrent les avoir durant le week-end. C'est souvent le cas suite aux divorces par consentement mutuel.
Restez toujours clair et simple, parlez de vos enfants et de votre capacité à les accueillir et les élever. Ne vous laissez pas entraîner dans les querelles liées à la séparation lors de l'audience. Recentrez toujours sur les enfants, et comment vous ferez pour les préserver du conflit.
Le responsable légal 1 est le destinataire redevable de la facturation et de tous les courriers.
Tant que l'enfant est mineur (moins de 18 ans), il ne peut pas décider seul chez quel parent il vit. Mais il peut donner son avis. Quel que soit son âge, l'enfant a le droit d'être entendu par le juge.
Et les meilleurs parents sont : 1 – Des parents autoritaires. Définis comme impliqués et réceptifs, ces parents fixent des objectifs ambitieux tout en respectant l'autonomie de leurs enfants. Cette éducation implique souvent une réussite sur le plan social, académique et psychologique.
Le père idéal? C'est un homme qui est à l'écoute de ses enfants; il est actif et prévoyant «autant que la mère». Il permet à ses petits de socialiser et leur fait découvrir le monde. Il est disponible, autoritaire au besoin, bon communicateur et complice avec eux.
C'est évidemment le parent qui souhaite obtenir la garde exclusive qui doit saisir le juge aux affaires familiales. Dans cette hypothèse, ce parent doit communiquer au juge tout élément justificatif prouvant l'incapacité de l'ex-conjoint à assumer la garde de l'enfant et l'impossibilité de répondre à ses besoins.
Situation de retrait
Le juge civil peut vous retirer totalement votre autorité parentale si vous mettez en danger la sécurité, la santé ou les valeurs de votre enfant : Mauvais traitements (maltraitance psychologique, pressions morales) Consommation habituelle et excessive d'alcools ou de drogues.
Parfois une enquête sociale ordonnée par le JAF suffira pour démontrer qu'un des parents est défaillant.
Voici quelques exemples de comportements chez le parent : Parler en mal de l'autre parent de façon générale. Limiter les contacts entre l'autre parent et l'enfant ou interférer dans les contacts. Se fâcher lorsque l'enfant parle de l'autre parent de manière positive.
L'ensemble des affaires de l'enfant doit être restitué au parent chez qui l'enfant a sa résidence habituelle à la fin du week-end ou des vacances. en cas de garde alternée, chaque parent doit avoir des vêtements, des chaussures... pour l'enfant.
Le droit de visite de l'un des parents peut être supprimé par le juge si l'intérêt de votre enfant le justifie (en cas de violence, délaissement...).
15 jours chez un parent, 15 jours chez l'autre parent avec partage des vacances scolaires.