L'armistice reconnaît de facto la victoire des
La fin des combats survient le 11 novembre 1918. Plus tôt que prévu. L'Allemagne est défaite, la France en partie détruite.
Victoire des Alliés. Chute de la dynastie des Romanov, des Habsbourg et des Hohenzollern. Fin des empires russe, allemand, austro-hongrois et ottoman.
Les pays vainqueurs sont les grandes puissances " occidentales " : Angleterre et colonies, Etats-Unis, France et colonies, Australie, Canada, Belgique.... plus la Chine, la Grèce, la Pologne, le Panama.... Les pays vaincus sont l'Allemagne et ses alliés : l'Autriche-Hongrie, la Turquie, la Bulgarie...
Victoire des Alliés : Chute du Troisième Reich et occupation alliée de l'Allemagne et de l'Autriche. Chute de l'empire du Japon et occupation du pays par les États-Unis. Fin de l'empire colonial italien et accélération de la décolonisation dans les empires britannique et français.
L'objectif de cette Résistance est de libérer la France de l'occupation allemande avec l'aide des Alliés (principalement le Royaume-Uni et les États-Unis), ou tout au moins de harceler les troupes du Reich.
En 1940, Pétain a trahi la France ; en 1925, il a trahi de Gaulle.
Le 3 août 1914, à 18 heures, l'Allemagne déclare la guerre à la France.
Parmi les 185 batailles que la France a livré au cours des 800 dernières années, ses armées auront gagné 132 d'entre elles, et en auront perdu 43, ne laissant que 10 batailles indécises, donnant ainsi aux militaires français le record de victoires en Europe et donc dans le monde.
La France a gagné la Première Guerre mondiale grâce à sa résilience, sa détermination mais aussi l'innovation et le principe de guerre totale. Le soldat français dispose d'un moral très haut, d'un commandement toujours à la recherche de la dernière innovation pour remporter la guerre et d'une nation prêt au sacrifice.
La cause immédiate de la Première Guerre mondiale fut l'assassinat de l'héritier du trône d'Autriche, l'archiduc Franz Ferdinand, le 28 juin 1914 à Sarajevo.
Quelques jours après la signature de la paix, le 28 juin, la cérémonie est à la fois un hommage aux 1 400 000 hommes tombés en quatre ans et une célébration de la victoire, celle de la France. L'armée française a joué un rôle capital dans la victoire sur l'Allemagne durant la Première Guerre mondiale.
Pour éviter la possibilité d'une reddition illégitime, Joseph Staline, alors dirigeant de l'URSS, exige une deuxième signature le lendemain. À Reims, l'Allemagne signe la reddition sans condition de son armée face aux Alliés le 7 mai 1945, mettant ainsi fin à la Seconde Guerre mondiale et au Troisième Reich.
La grande guerre du Nord
Au cours d'une attaque lancée en pleine tempête de neige les forces russes furent mises en déroute et Pierre le Grand y perdit, non seulement la bataille, mais aussi 10 000 soldats tués.
La libération
C'est l'armée anglaise du général Birdwood qui libère Lille, le 17 octobre 1918. Toute la presse ressuscitée fête la délivrance (l'Echo du Nord, le Progrès du Nord ...). Le premier soldat français à entrer dans la ville libérée est le fils du maire, Carl Delesalle.
Seconde Guerre mondiale (1939-1945) : le conflit le plus meurtrier de l'histoire.
La guerre de 1870 se termina par une défaite française qui eut pour conséquences la chute du Second Empire français et de l'empereur Napoléon III et la proclamation de la Troisième République, mais aussi la perte du territoire français de l'Alsace-Lorraine.
Albert Fernand Séverin Roche (Réauville, 5 mars 1895 – Avignon, 14 avril 1939 ), est le soldat français le plus décoré de la Première Guerre mondiale. Il a été blessé neuf fois et a capturé un total de 1 180 soldats allemands. Il est surnommé « le premier soldat de France » par le maréchal Ferdinand Foch.
L'armée allemande envahit la Pologne le 1er septembre 1939, déclenchant la Seconde Guerre mondiale. En réponse à l'agression allemande, la Grande-Bretagne et la France déclarent la guerre à l'Allemagne nazie.
Le premier gouvernement René Viviani est le gouvernement de la Troisième République en France du 13 juin au 26 août 1914 .
En 1945, Philippe Pétain est reconnu coupable de haute trahison et d'intelligence avec l'ennemi. Il est condamné à l'indignité nationale, dégradé, privé des droits civiques et de toute décoration. Il est condamné à mort, une sentence commuée en détention à perpétuité.
Mais la célébrité et la gloire sourient à Pétain lorsque les premiers journalistes sont autorisés à se rendre sur le front puisqu'ils font du commandant une véritable arme de propagande : il est présenté comme un homme avec des immenses talents militaires et ils lui donnent le surnom du héros de Verdun.
Il ne supportait pas la mondialisation de la culture américaine et souhaitait qu'en France, et au delà, ce soit la culture française qui rayonne. Or, historiquement, les Britanniques sont proches des Américains, ce qui ne plaisait pas du tout au président de Gaulle.