L'analyse logique consiste non seulement à dénombrer les différentes composantes d'une phrase mais aussi à comprendre quelles sont les relations qui les relient entre elles. Dans une phrase, il y a autant de propositions que de verbes conjugués.
Analyser logiquement une phrase revient à découper la phrase en propositions, à donner la nature de chacune d'entre elles et la fonction des subordonnées. Faire l'analyse logique de la phrase suivante : Je suis déçu, j'ai perdu mes billes alors que la récréation n'était pas terminée.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
Elle est introduite par un mot subordonnant comme que, quand, lorsque, parce que, bien que… Pour analyser une phrase complexe comprenant une ou plusieurs subordonnées, il faut repérer les mots subordonnants et couper la phrases en propositions : la principale et la subordonnée (ou les subordonnées).
Il existe trois sortes de propositions subordonnées : – les propositions subordonnées complétives ; – les propositions subordonnées circonstancielles ; – les propositions subordonnées relatives.
– Qui, précédé d'une préposition, est complément d'objet indirect, complément circonstanciel, complément d'agent, complément du nom ou de l'adjectif, et son antécédent ne peut être qu'une personne (lorsque l'antécédent est une chose, on emploie les pronoms relatifs Lequel, Laquelle, Lesquels, Lesquelles ou les formes ...
Le pronom relatif « qui » s'emploie comme sujet, en parlant des personnes, des animaux ou des choses. L'enfant à qui tu as donné ce livre en est tout heureux. "qui" peut être également complément d'objet indirect. Dans ce cas, il est précédé d'une préposition et ne remplace que des personnes.
Pronom relatif non associé au mot qui précède
placer une virgule devant le pronom : J'ai rencontré la fille d'un ami, qui est accusée de…
la proposition coordonnée ; la proposition subordonnée ; la proposition relative. On l'appelle également la principale.
principale, subordonnée relative, subordonnée conjonctive, subordonnée infinitive.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
La proposition principale se trouve généralement avant la subordonnée : Je vous recontacterai (principale) dès que la décision sera prise (subordonnée). Mais elle peut se placer après la subordonnée : Dès que la décision sera prise (subordonnée), je vous recontacterai (principale).
Exemple : Je vais au concert ce soir et je rentrerai tard. Le verbe conjugué est le noyau d'une phrase, il y a donc autant de propositions que de verbes conjugués. Exemple : Je vais au concert (1ère proposition) qui a lieu ce soir (2ème proposition) et je rentrerai tard (3ème proposition).
Proposition indépendante : Elle ne dépend d'aucune autre proposition et aucune ne dépend d'elle. Proposition principale : Une autre proposition dépend d'elle. Ex : Je mange parce que j'ai faim. Propositionsubordonnée : Elle dépend d'une autre proposition.
Qui, pronom relatif. Qui, sujet, peut représenter des personnes ou des choses : l'homme qui parle ; le chien qui aboie ; la pomme qui tombe.
Qui remplace un nom sujet. Exemple : Il attend son ami qui rentre de Toulouse. Que remplace un mot complément d'objet direct. Exemple : Voici le reportage que je regarde en ce moment.
Qui ou qu'il ? Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle. La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable.
Le pronom indéfini est un type de pronom qui remplace une personne, un objet ou une réalité de manière imprécise.
Rem. ,,Le pronom « qui » est répété parfois dans un sens distributif : Tous sportifs, ils pratiquent qui l'équitation, qui le vol à voile, qui le ski nautique`` (Davau-Cohen 1972).
Le sujet commande l'accord du verbe en personne (1re, 2e ou 3e personne), en genre (masculin ou féminin) et en nombre (singulier ou pluriel). On dit traditionnellement que le sujet est celui qui fait l'action.
Si la proposition subordonnée se rapporte à un nom, ce sera une « relative ». Si elle se rapporte à un autre élément (à l'ensemble de la proposition ou à un verbe), ce sera une « conjonctive ».
Parmi les mots qui peuvent être des subordonnants, on trouve notamment des conjonctions (ex. : que, à ce que, de ce que, parce que, sans que, pour que, afin que, à moins que, alors que, pendant que, après que, tandis que, plutôt que, dès que, quand, lorsque, si, comme) et des pronoms relatifs (qui, que, quoi, dont, où, ...