Si 15 ou 112 est indiqué, appelez immédiatement le service d'aide médicale d'urgence (SAMU) en composant le 15 ou le 112. Si 15 ou 112 n'est pas indiqué, appelez votre médecin traitant immédiatement, ou rendez-vous au service d'urgence le plus proche. Dans le doute, n'hésitez JAMAIS à appeler le 15 ou le 112.
Le rhumatologue est le médecin spécialiste de la douleur, des maladies des os, des articulations, des muscles et tendons.
Les trois principaux symptômes à connaître sont: un visage paralysé, l'impossibilité de bouger un membre et un trouble de la parole. Un mal de tête violent et inhabituel et des troubles de l'équilibre peuvent être associés. Dans le doute, appeler le 15 (le 112 depuis un mobile).
On classe les médicaments antidouleur, appelés antalgiques, selon l'intensité douloureuse qu'ils sont censés soulager : les médicaments du palier 1 sont utilisés pour traiter des douleurs d'intensité faible : ce sont par exemple le paracétamol, l'aspirine ou les anti-inflammatoires classiques.
La morphine est l'antalgique puissant de référence aujourd'hui, même si d'autres molécules dérivées de la morphine ont été développées depuis. L'usage de la morphine n'est plus aujourd'hui réservé aux cas extrêmes ou aux soins palliatifs.
Quand la douleur persiste, ces réactions s'épuisent, et le stress se chronicise : les troubles du caractère, la fatigue, la perte d'envie, la perte d'énergie s'installent. L'inactivité physique, le retrait de la vie professionnelle et sociale, la perte de contact avec ses amis dépriment la personne souffrante.
Quelle que soit la cause de la douleur, avec le temps, elle provoque diverses réactions psychologiques : anxiété, insomnie, fatigue, tension nerveuse, repli sur soi, démoralisation, dépression, parfois désintérêt sexuel, etc.
Trois familles d'antidouleurs sont disponibles sans ordonnance : Les dérivés du paracétamol (Doliprane, Efferalgan, Dafalgan…) Les dérives de l'acide acétylsalicylique (Aspirine, Aspégic…) Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens (Advil, Nurofène, Voltarène…)
On peut quitter l'hôpital quand on le souhaite
Seules les personnes ayant des troubles mentaux ou hospitalisée à la demande d'un tiers peuvent être retenues. L'avis d'une infirmière : "Si la personne n'est plus en contact avec la réalité (à cause d'un traitement par exemple), elle ne pourra pas sortir.
Samu (service d'aide médicale urgente), par exemple en cas de malaise cardiaque, en composant le 15. Pompiers, par exemple en cas d'incendie ou d'accident de la route, en composant le 18.
Le centre anti douleur est un établissement médical où sont reçus les patients souffrants de douleur chronique. Ces établissements ont pour objectif d'évaluer et de mettre en place des traitements antalgiques spécialisés et d'autres protocoles pour diminuer la douleur ressentie par le patient.
L'algologie est l'évaluation et la prise en charge des douleurs chroniques. Cela va de la migraine à la fibromyalgie en passant par une lombalgie chronique ou des cancers.
Tous les résultats de notre palmarès, département par département. Alain Serrie est responsable du centre antidouleur de l'hôpital Lariboisière, à Paris.
Quand faut-il s'inquiéter ? Comment évaluer ces douleurs ? Avant toute chose, en cas de doute, il faut appeler le 15. Pour ne pas passer à côté d'une douleur symptôme d'une maladie grave, il vaut mieux appeler le 15 plutôt que de rester à la maison et de perdre de précieuses minutes ou heures.
Douleur erratique : douleur qui change souvent de place. Douleur exquise : douleur vive et très localisée, généralement provoquée par la pression. Douleur fulgurante : douleur très intense qui fait penser à un éclair. Douleur irradiante : douleur qui diffuse en rayons à partir d'un point de plus forte intensité.
Le National Health Service, le système de santé publique britannique, a listé les pathologies les plus douloureuses pour le corps humain. La migraine, la sciatique, l'appendicite, la fracture osseuse ou encore l'attaque cardiaque: autant de pathologique provoquant des douleurs insupportables.
Notre bagage génétique nous rend plus ou moins sensibles à la douleur, et aux expériences douloureuses que nous subissons tout au long de notre vie. Mais nos réactions peuvent aussi être modulées par notre état mental et physique, nos expériences passées –douloureuses, traumatisantes– et notre environnement.
Quand la durée des sensations douloureuses dépasse six mois, on parle de douleurs chroniques. Souvent les douleurs sont dues à des causes physiques, mais pas toujours. Or, les maladies psychiques, par exemple la dépression, peuvent aussi occasionner des douleurs.
Une hypersensibilité se développe, c'est-à-dire qu'une légère pression devient douloureuse. Certains médicaments contre les douleurs deviennent inefficaces. Des émotions et des pensées négatives s'amplifient, augmentant ainsi également la perception de la douleur.
La chaleur aide à soulager les crampes et les muscles endoloris. Essayez de vous endormir au son d'une musique apaisante ou d'un bruit de fond apaisant pour vous distraire de la douleur. Essayez la méditation avant de vous coucher ou prenez des respirations profondes après vous être mis au lit.
Cette substance opioïde est intéressante pour soulager les douleurs modérées à intenses qu'elles soient chroniques ou aiguës. On peut, par exemple, l'utiliser en cas de lombalgie ou de lumbago (douleur dans le bas du dos) ou de zona en phase aiguë.