La fouine, la martre attaquent les poules à la gorge, les étranglent et les décapitent. Vous retrouverez alors souvent votre poule morte sans la tête. Quelquefois vous retrouvez la tête un peu plus loin. En effet, souvent la poule est trop lourde pour l'emporter.
La belette tue ses proies d'un coup de dents dans la région occipitale ou dans le cou, ce qui disloque les vertèbres cervicales. Pour les proies plus grosses, comme le lapin, elle étrangle et laisse couler le sang jusqu'à l'arrêt cardiaque.
Ratons-laveurs, renards, belettes, opossums, visons, petita serpents, putois, les rats Scavenger, fouines, chats sauvages sont quelques exemples dont il faut se méfier.
Attaque de renard : quels sont les signes qui ne trompent pas. En général, les renards laissent relativement peu de traces, et pour cause : il prend souvent des poules dans sa gueule ! Ensuite, vous retrouverez les cicatrices du combat : plumes au sol, autres poules blessées ou tuées...
Tous leurs cousins, furets, hermines, putois, visons, sont tous aussi jolis que dangereux pour les poules, bien que certains soient des espèces d'animaux nouvellement apprivoisés (NAC).
Même si on sait que le renard est capable de grimper à un grillage qui le permet, il a plutôt tendance à chercher à s'introduire par le bas.
Un chien peut bien sûr assurer une présence dissuasive. Faites-le parcourir les abords du poulailler pour qu'il y laisse son odeur et, s'il perd ses poils, récupérez les touffes et disposez-les sur le grillage. S'il fallait qu'un animal s'approche, les grognements et aboiements du chien achèveront de l'en dissuader.
Un grillage en bon état = protection optimale contre les prédateurs. Un obstacle supplémentaire pour le renard n'est jamais superflu. SI vous habitez dans une zone où il est très présent, nous vous conseillons de disposer un grillage tout autour du parcours de vos poules.
Les buses peuvent attaquer les poules de manière brutale et silencieuse. Les attaques de rapaces sont très difficiles à éviter, car les buses et autres autours des palombes rodent silencieusement près du poulailler sans être vus, et attaquent rapidement et par surprise.
Stratégie: La fouine peut se faufiler dans un trou minuscule pour sa taille, moins de 5 cm ! Ces petits prédateurs carnivores saignent les poules avant de les manger. Il peut arriver que dérangée, la fouine n'ait pas le temps de manger la poule et la laisse sur place.
A ce titre, on peut se réjouir du voisinage d'une fouine ! Il faut alors veiller à ce que les volières et pou- laillers soient parfaitement fermés, même en hau- teur, car la fouine grimpe très bien, et se faufile dans de petits interstices (y compris entre deux épaisseurs de grillage).
Dans la nature, elles se nourrissent généralement d'oiseaux tels que les merles ou moineaux, et de petits rongeurs tels que les souris et les rats. Mais si elles s'introduisent à l'intérieur du poulailler… Elles se mettent à piller les œufs et à s'attaquer aux poules.
On retient les principaux prédateurs terrestres suivants : pour la poule : le renard, la belette, la fouine, le putois, le chien errant ou non ; pour les poussins : le rat et le chat ; pour les œufs : les hérissons, les vipères et les couleuvres.
Les nuisances sonores, surtout la nuit, les dégâts dans les greniers (isolation détruite, présence d'excréments, odeur désagréable), les câbles rongés dans un véhicule… sont autant de signes qu'une fouine y a certainement élu domicile.
La fouine et la belette appartiennent à la famille des Mustélidés. Elles se ressemblent mais le corps de la fouine mesure 40 à 50 cm et celui de la belette, 13 à 29 cm. La fouine se différencie de la belette par sa tête triangulaire au museau pointu.
Il peut parcourir une dizaine de kilomètres pour chasser la nuit, il saute très bien (jusqu'à 2 m de haut), il s'immisce dans des passages étroits, sait nager et grimper. Il court à une dizaine de km/h mais il peut faire des pointes à 60 km/h si besoin.
Vous avez beaucoup d'options lorsqu'il s'agit de choisir votre appât. Par exemple, vous pouvez utiliser du porc, de la nourriture pour chats « humide », du poisson, du poulet ou une autre viande. Si vous êtes chasseur, vous pouvez aussi utiliser de la viande de gibier X Source de recherche .
Une poule en bonne santé est une poule heureuse et occupée en permanence dans son enclos. Elle passe sa journée à picorer le sol tout en caquetant avec ses congénères. La poule a un besoin instinctif d'être toujours en mouvement. Les activités ne manquent pas : grimper, picorer, couver tranquillement ses œufs…
Adopter des oies comme gardiennes de vos poules
L'oie est un gardien efficace, qui fait pas mal de vacarme lorsqu'il est importuné.
Les précautions à prendre vis-à-vis du blaireau sont surtout pour vos poules. Comme ses cousins mustelidés, il est friand d'œufs et se faufilera dans le jardin et le poulailler pour les chiper. Il n'est pas impossible qu'il s'en prenne aussi à une poule par-ci par-là, étant donné qu'il est carnivore.
Pour éloigner le renard, un “marquage” est faisable par l'odeur de ses prédateurs, c'est-à-dire l'homme et le chien de l'homme : faites faire le tour du poulailler à votre chien régulièrement, laissez y des touffes de vos cheveux ou de ses poils, de l'urine.
La pièce où les jeunes naissent est tapissée de poils de la renarde. Tous les terriers, même avec des traces de forage, n'ont pas toujours réellement un occupant, car dans la journée, le renard s'abrite et se repose dans un éboulis, un tas de bois, sous des racines, dans un fossé.
Pour un renard, privilégiez plutôt une grande boîte à fauve. Il existe aussi un piège mini poulailler, où le principe est simple, leurrer le renard un poulailler de petite taille se situant au milieu de 4 boîtes à fauve, l'animal sera donc attirer et rapidement capturer.