Les mouvements armés palestiniens : les organisations armées les plus actives sont le Hamas, les brigades des martyrs d'Al-Aqsa et le djihad islamique palestinien qui opèrent dans la bande de Gaza et la Cisjordanie.
Conflit israélo-palestinien
Le conflit israélo-arabe est le nom donné aux relations tendues entre l'État d'Israël et les États arabes environnants, depuis la création d'Israël le 14 mai 1948 .
Pour comprendre le conflit qui oppose Israël à la Palestine, il faut remonter aux origines du mouvement sioniste et à la création de l'Israël. En 1948, la proclamation de l'État juif ne prend pas en considération le territoire palestinien et s'empare des villes arabes. Depuis, le conflit se poursuit.
Les relations entre les États-Unis et Israël sont un facteur important dans la politique étrangère du gouvernement des États-Unis au Moyen-Orient depuis 1948. Les États-Unis maintiennent avec Israël une relation de proximité et de soutien via une aide financière annuelle et des accords militaires.
Cette guerre fut déclenchée par Israël en réaction aux mouvements de troupes égyptiennes et à la suite du blocus du détroit de Tiran aux navires israéliens par l'Égypte le 23 mai 1967 (les Israéliens avaient préalablement annoncé qu'ils considéreraient cet acte comme un casus belli).
L'accord du 4 septembre 1975 sur le Sinaï permet un rapprochement entre l'Égypte et Israël. En 1979, le Sinaï fut échangé par les Israéliens contre un traité de paix avec l'Égypte. Le retrait israélien sur la péninsule entraîna la destruction de colonies de peuplement comme la ville de Yamit, au nord-est.
Chacun de ces conflits peut être considéré comme un tournant : celui de 1948 installe Israël dans la région et provoque des départs palestiniens massifs (notamment dans les pays arabes voisins) et celui de 1956 fait du zaïm égyptien Nasser une figure tutélaire du nationalisme arabe, un véritable héros.
En 2020, Israël normalise ses relations diplomatiques avec au moins 5 pays : les Émirats arabes unis et Bahreïn lors des « Accords d'Abraham » (15 septembre), le Soudan (23 octobre), le Maroc (10 décembre) et le Bhoutan (12 décembre).
Israël est un partenaire important de l'Alliance depuis plus de 20 ans, ainsi qu'un membre actif du Dialogue méditerranéen de l'OTAN.
Les États-Unis et l'Union européenne via l'UNRWA en sont les principaux contributeurs. Depuis les années 2000, l'Union européenne a financé l'UNRWA de 1,6 milliard d'euros. Depuis les années 1990, les États-Unis ont donné en assistance 5 milliards de dollars aux Palestiniens et 5,6 milliards à l'UNRWA depuis 1950.
Sous mandat britannique à partir de 1920, la Palestine est finalement partagée par l'ONU en 1947 avant que David Ben Gourion ne proclame l'indépendance d'Israël en 1948.
Après trois réunions d'urgence sur le conflit israélo-palestinien, le Conseil de sécurité de l'ONU n'est toujours pas parvenu à un accord commun, en raison du blocage d'un pays : les Etats-Unis.
À l'heure actuelle, 32 états membres de l'Organisation des Nations Unies ne reconnaissent pas l'État d'Israël : 18 des 22 membres de la Ligue arabe : l'Algérie, le Bahreïn, les Comores, Djibouti, l'Irak, le Koweït, le Liban, la Libye, le Maroc, Oman, le Qatar, l'Arabie Saoudite, la Somalie, le Soudan, la Syrie, la ...
La colonisation israélienne des territoires palestiniens.
Premier fournisseur : les États-Unis dont l'incommensurable aide militaire est inscrite dans des accords solides. Suit l'Union européenne qui reste une source d'approvisionnement secondaire – avec la France en numéro un et la Belgique en quatrième place – mais dont la signification politique ne peut être éludée.
Pour que la stabilité de la zone euro-atlantique soit assurée, il est indispensable que l'Ukraine soit forte et indépendante. Nouées au début des années 1990, les relations avec ce pays ont évolué jusqu'à constituer l'un des partenariats de l'OTAN les plus substantiels.
L'armée israélienne occupe la 17ème place dans le dernier classement 2019 mondial des forces militaires, établi par le Global Firepower, rapporte le Jérusalem Post dimanche.
Le gouvernement marocain a accepté la communauté juive sur son territoire même après la création de l'État d'Israël en 1948, facilitant les liens diplomatiques entre les deux États. Certaines villes marocaines possèdent des mellahs (quartiers juifs), notamment celle de Marrakech.
2,8 % du PIB du pays provient de l'activité agricole. Israël importe d'importantes quantités de céréales mais est totalement suffisant pour les autres produits agricoles. De nombreuses variétés d'agrumes (notamment oranges, pamplemousses et citrons) sont développés par les producteurs israéliens.
Les tendances politiques du mouvement considèrent que la Terre d'Israël appartient de droit aux Juifs : la Palestine est l'Eretz Israël, « Terre promise pour les Juifs ». Le Proche-Orient est alors placé sous la domination de l'Empire ottoman, mais l'influence européenne y est forte.
La Palestine, en forme longue l'État de Palestine (arabe : دولة فلسطين (Dawlat Filastin)), est un État souverain de jure, parfois qualifié de proto-État. Située au Moyen-Orient, elle revendique son établissement sur les territoires palestiniens occupés, dont Jérusalem-Est.
Elle opposa du 6 au 24 octobre 1973, Israël, à une alliance menée par l'Égypte et la Syrie et comprenant la plupart des états arabes. La guerre cesse à la suite d'un cessez-le-feu imposé par le Conseil de Sécurité de l'ONU sur les pressions des États-Unis et de l'Union soviétique.