On utilise ce qui, ce que ou ce dont pour exprimer la chose qui, la chose que, la chose dont. (Elle ne comprend pas la chose qui se passe). (Tu ne sais pas la chose que tu perds).
En fait, dans les formes avec "est-ce qu", il faut distinguer plusieurs choses : Qu'est-ce qui fait du bruit ? (Quelle chose fait du bruit ?) Qui est-ce qui fait du bruit ? (Quelle personne fait du bruit ?) Qu'est-ce que tu attends ? (Quelle chose attends-tu ?)
On emploie de préférence à qui quand on se réfère précisément à une personne, et auquel quand ce n'est pas le cas. Thierry est l'homme auquel à qui je pense. La personne à qui à laquelle j'ai indiqué le chemin.
D'où le constat de l'Académie sur son site Internet : « On peut donc écrire aussi bien : nous verrons ce qui se passera ou ce qu'il se passera. » (*) C'est que, explique Thomas, « il n'est pas de règle formelle pour distinguer ces deux expressions [ce qui et ce qu'il], qu'on emploie indifféremment, sauf avec falloir ( ...
The French relative pronouns ce qui, ce que and ce dont can mean 'what' or 'which' depending on the context. These pronouns replace la chose qui, la chose que, or la chose dont.
Le pronom neutre "ce" peut être remplacé par "la chose" : dis-moi ce qui t'a fait peur (dis-moi quelle chose t'a fait peur). Raconte-moi ce qui est arrivé. Dis-moi ce que tu veux.
C'est l'imparfait du verbe être. J'étais, tu étais, il était absent hier. été, prononcé deux fois avec un son é justement, c'est : Soit une saison : Le printemps, l'été, l'automne, l'hiver.
Les tournures correctes sont Qu'y a-t-il (que je ne trouve pas du tout pompeux) et Qu'est-ce qu'il y a, plus familier.
Qui ou qu'il ? Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle. La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable.
Contraction de "que" et "est-ce" visant à introduire une question posée directement. La phrase se terminera systématiquement par un point d'interrogation. Exemple : Qu'est-ce que tu vas faire aujourd'hui ?
« Qui », « que », « dont » et « où » sont tous des pronoms relatifs. Comment les utiliser ? Qui remplace un nom sujet.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Les deux sont corrects. Voir par exemple l'entrée du TLFi qui note que quand l'antécédent est un pronom à la première ou deuxième personne, quel est rarement utilisé. Quel peut être utilisé dans des contextes où il n'est pas équivalent à qui, quand l'interrogation porte sur une qualité plutôt que sur l'identité.
«Qui» est un pronom relatif sujet. «Qu'il» est une tournure impersonnelle. On emploiera «qui» avec des verbes personnels «qu'il» avec des verbes impersonnels. Je me demande ce qui te prend !
Avec le pronom ce comme antécédent, les deux emplois sont fréquents : ce qui m'arrive ou ce qu'il m'arrive. Quant à la tournure à préférer avec ce verbe, c'est surtout une question de gout, de sensibilité.
Indique que quelque chose, quelqu'un existe, se trouve, est quelque part : Y a-t-il quelqu'un ici ?
On écrit « c'est moi qui fais » et non pas « c'est moi qui fait » « C'est moi qui fais » ou « c'est moi qui fait » ? On écrit « c'est moi qui fais » avec un « s » à la fin du verbe et non pas « t » puisque celui-ci s'accorde avec l'antécédent du pronom relatif « qui ».
Dis et dit sont deux formes conjuguées du verbe dire, à la première, deuxième et troisième personne du singulier : je dis, tu dis, il dit. Mais lorsqu'on utilise le verbe dire au participe passé la confusion s'installe rapidement, de savoir s'il doit être terminé par « s » ou par « t ».
Résumé Une petite fille s'est cassé le poignet et tout le monde lui demande « Qu'est-ce qui t'est arrivé ? ». Elle explique sa mésaventure à sa copine : je sortais de la boulangerie quand soudain un oiseau m'a emportée au sommet d'une montagne.
On observe que les adverbes qui alourdissent la narration sont la plupart du temps ceux qui se terminent en « — ment ». Les rimes et les assonances rendent leur présence flagrante et, à la longue, celle-ci risque de paraître agaçante au lecteur.
Le pronom relatif « qui » s'emploie comme sujet, en parlant des personnes, des animaux ou des choses. L'enfant à qui tu as donné ce livre en est tout heureux. "qui" peut être également complément d'objet indirect. Dans ce cas, il est précédé d'une préposition et ne remplace que des personnes.