L'encéphale représente la partie majeure du cerveau humain et est associé à des fonctions supérieures comme le contrôle des comportements volontaires. Penser, percevoir, planifier, et comprendre un langage, toutes ces fonctions sont sous le contrôle des hémisphères cérébraux.
Le cervelet contrôle l'équilibre et la coordination des mouvements et le tronc cérébral sert de point de passage entre les hémisphères cérébraux et la moelle épinière.
Les principales fonctions
Siège des émotions. Lieu de production du langage. Contrôle des mouvements complexes.
1. Partie externe qui forme l'enveloppe d'un organe animal ou végétal ; écorce. 2. Partie périphérique de certains organes (glandes surrénales, rein, etc.)
Il existe quatre cerveaux décisionnels : le néocortex préfrontal, les territoires reptiliens, le cortex automatique et les territoires paléo-limbiques.
La commande de tous nos mouvements volontaires provient de notre cerveau. Une des régions les plus impliquées dans le contrôle de ces mouvements volontaires est le cortex moteur. Le cortex moteur est situé à l'arrière du lobe frontal, juste avant le sillon central qui sépare le lobe frontal du lobe pariétal.
La dépression se manifeste par un déréglement chimique à l'intérieur du cerveau. Il s'agit d'une faille de neurotransmission lors de laquelle le bon fonctionnement de certains neurotransmetteurs comme la dopamine, l'ocytocine et la sérotonine est entravé.
Les lieux de la mémoire
Mémoire sensorielle ou perceptive : elle implique différentes régions à proximité des aires sensorielles et le cortex préfrontal. Mémoire sémantique : elle fait intervenir des régions étendues comme les lobes pariétaux et temporaux mais aussi le néocortex, l'hippocampe et l'amygdale.
Le test de Folstein permet de vérifier que votre cerveau est toujours en forme. Il est très utile, car il arrive, quand on atteint un certain âge, que l'on ait des trous de mémoire ou des troubles de l'attention.
Les plus fréquentes sont : Certains traitements médicamenteux, notamment les antiépileptiques, les neuroleptiques, les antidépresseurs et certains traitements pour le coeur. Une faiblesse musculaire. Des troubles de l'oreille interne, qui est l'organe de l'équilibre.
L'organe de l'équilibre est la partie vestibulaire de l'oreille interne. Il se compose de deux chambres, l'utricule et le saccule, et de trois canaux semi-circulaires (figure 16.1).
Adoptez une posture positive : tenez -vous droit, les épaules en arrière, le menton relevé et souriez. La position du corps peut changer un état émotionnel. Vous serez surpris de constater qu'un sourire même un peu forcé peut induire une vision positive.
Le réflexe est bien sûr contrôlé par un centre nerveux. On se demande lequel : encéphale ou moelle épinière ? Pour le déterminer, il suffit d'étudier la vitesse de réalisation d'un réflexe myotatique. On sait qu'un stimulus déclenche la naissance d'un message nerveux sensoriel qui circule dans un nerf sensitif.
Plus précisément, la pensée est énergie, une sorte de pulsion électrique, et cette pensée venant de « notre centrale électrique » envoie un signal à tout notre corps qui va se traduire en émotion, comportement et entraine les résultats que nous obtenons dans la vie.
Mémoire sémantique, mémoire procédurale et mémoire perceptive.
Le cœur est notre premier cerveau, le siège de notre intelligence intuitive. Quand on évoque l'intelligence, l'association avec le cerveau est immédiate. Notre cerveau est en effet intrinsèquement lié à notre capacité à raisonner ainsi qu'à nos émotions.
Dévalorisation de soi et culpabilité : la personne qui souffre de dépression ne se sent bonne à rien ; elle se pense sans valeur ; elle s'accuse d'être responsable des événements pénibles qu'elle vit et des émotions désagréables qu'elle ressent.
Lors d'un épisode dépressif, la personne atteinte de ce trouble présente une humeur morose (sentiment de tristesse, d'irritabilité, de vide) ou une perte de plaisir ou d'intérêt pour les activités, pendant la majeure partie de la journée, presque tous les jours, pendant au moins deux semaines.
On présente souvent le cerveau gauche comme associé au raisonnement logique et rationnel, le cerveau droit étant plutôt intuitif et émotionnel. Il y aurait ainsi des personnalités plutôt « cerveau gauche » ou « cerveau droit », qui utiliseraient plus un côté du cerveau que l'autre.
L'hémisphère gauche, lui, serait le siège de la logique et de la rigueur. Il serait plutôt monotâche, ne traitant qu'une seule information à la fois, et nous permettrait de planifier des taches et de se fixer des objectifs.
L'hémisphère droit, lui, serait le lieu où le cerveau perçoit la notion d'espace, la pensée sans langage, le rêve, l'imagination, les couleurs, l'intuition, la synthèse. Il pourrait associer simultanément plusieurs concepts, et procéderait plutôt par association d'éléments disparates.