L'éducation prioritaire en France est une politique menée depuis 1981, par le ministère de l'Éducation nationale pour répondre au constat de la concentration de difficultés sociales qui ont des effets sur les résultats scolaires dans des écoles et collèges où les élèves de milieux populaires sont significativement plus ...
Le ministère met en place les REP (Réseaux d'éducation prioritaire), REP+ (Réseaux d'éducation prioritaire « plus », ou renforcés).
Depuis la rentrée 2015, les critères pour qu'un établissement scolaire devienne REP ont changé. Désormais, le ministère de l'Éducation nationale classe les établissements – écoles primaires et collèges – en fonction d'un indice social.
Le conseil d'école :
donne son avis sur toutes les questions concernant le fonctionnement de l'école (dont les activités périscolaires, la restauration scolaire, les actions pédagogiques et l'utilisation des moyens alloués à l'école) donne son accord sur l'organisation d'activités complémentaires.
Plusieurs critères, notamment certains liés aux revenus de la famille, sont examinés pour classer un établissement en REP : le nombre d'élèves issus des quartiers les plus défavorisés, le taux de boursiers, le nombre d'élèves vivant en ZUS (Zone urbaine sensible) et la part d'élèves ayant redoublé la 6e.
Pour déterminer la liste des établissements intégrés aux réseaux, ce sont les académies qui ont proposé leurs choix au ministère de l'Education qui a ensuite tranché.
Tout élève a droit au respect de son intégrité physique et de sa liberté de conscience. Il a également droit au respect de son travail et de ses biens. Il dispose de la liberté d'exprimer son opinion à l'intérieur des établissements scolaires. Il en use dans un esprit de tolérance et de respect d'autrui.
Le projet de l'Ulis peut prévoir l'affectation par l'inspecteur d'académie-directeur académique des services de l'éducation nationale, d'un personnel assurant les missions d'auxiliaire de vie scolaire collectif.
c'est au parent qui bénéficie du droit de visite et d'hébergement qu'il revient de venir chercher et de ramener l'enfant au domicile du parent chez qui la résidence habituelle est fixée (sauf mention contraire dans la décision rendue par le Juge aux affaires familiales).
Le principal du collège, l'IEN et l'IA-IPR référent, assistés du coordonnateur sont les pilotes du réseau. Le réseau s'articule autour de deux instances : le conseil école collège et le comité de pilotage.
► ZEP, REP ou REP + ? Les "zones d'éducation prioritaires" (ZEP) seront supprimées à la rentrée 2015. Elles seront remplacées par les "réseaux d'éducation prioritaire", qui regroupent un collège et les écoles y sont rattachées. Les établissements les plus sensibles - 350 d'entre eux - sont classés "REP+".
La politique d'éducation prioritaire a pour objectif de corriger l'impact des inégalités sociales et économiques sur la réussite scolaire par un renforcement de l'action pédagogique et éducative dans les écoles et établissements des territoires qui rencontrent les plus grandes difficultés sociales.
de la part variable 22/23 ? D'après les services du rectorat, la part variable sera versée aux enseignant.es sur la paye de décembre. (En 2022, elle avait été annoncée pour août 22 et finalement versée en retard en octobre 22.
L'article 1er limite l'effectif d'une classe à vingt‑quatre élèves.
L'indemnité versée aux personnels exerçant en REP s'élevait à 1734€ bruts annuels jusqu'au 01/01/2023. Il convient de procéder de la même manière pour l'indemnité REP+ (multiplier le montant annuel de l'indemnité par le nombre d'années et par la quotité exercée).
Quels sont les handicaps concernés pour les ULIS ? Les élèves scolarisés en ULIS peuvent présenter : des TFC (troubles des fonctions cognitives ou mentales), TSLA (troubles spécifiques du langage et des apprentissages,)
Quels enfants peuvent en bénéficier ? L'ULIS concerne des élèves de l'école élémentaire, des élèves qui sont en CP jusqu'au CM2. Les niveaux en français et mathématiques peuvent varier d'un élève à un autre.
L'orientation est prononcée par la CDAPH, mais c'est l'Education nationale, en l'occurrence l'Inspecteur d'Académie – DASEN – qui désigne l'ULIS dans laquelle l'élève sera affecté. Les collectivités territoriales assurent si besoin le transport scolaire des élèves.
Nous parlons bien entendu du « droit » de refuser un élève en classe. Que ce soit pour un retard, ou tout simplement pour le faire sortir de cours à cause de son comportement, selon Bien Enseigner cela est tout bonnement impossible.
Le responsable légal d'un élève peut être son père, sa mère, son tuteur, ou l'élève lui-même s'il est majeur et déclaré fiscalement indépendant. Le responsable légal perçoit les bourses, les primes, les aides… Les bourses sont calculées à partir du foyer fiscal du responsable légal.
La circulaire du 29 décembre 1956 supprime les devoirs à la maison, précisant qu'« aucun devoir écrit, soit obligatoire, soit facultatif, ne sera demandé aux élèves hors de la classe ». Les devoirs écrits à la maison sont donc interdits !
Une classe Segpa : Segpa : Section d'enseignement général et professionnel adapté accueille les jeunes de la 6e à la 3e présentant des difficultés scolaires importantes. Il s'agit de difficultés ne pouvant pas être résolues par des actions d'aide scolaire et de soutien. La classe est intégrée dans un collège.
L'indemnité versée aux personnels exerçant en REP s'élevait à 1734€ bruts annuels jusqu'au 01/01/2023. Ainsi, à titre d'exemple, pour 4 années de retard, pour une AESH exerçant à 50%, le montant brut sera de 4 x 1 734 x 0,5= 3 468€ bruts.
De la maternelle au lycée, les ZEP concernent tous les enfants scolarisés évoluant dans un milieu plutôt défavorisé et pour lequel le gouvernement a décidé de débloquer davantage de moyens.