L'offrande est mise au service de l'Église, par exemple pour le soutien des ministres de Dieu, pasteurs ou missionnaires, le loyer ou les frais d'entretien du bâtiment, les ministères et l'aide aux démunis (humanitaire chrétien).
Les membres de l'Église donnent la dîme et d'autres offrandes au Seigneur.
Utilisation de la dîme et des offrandes
La dîme et les offrandes que nous faisons à l'Eglise servent à l'œuvre du Seigneur. Les dirigeants l'utilisent de la manière désignée par le Seigneur. Ces dons contribuent à ramener nos frères et sœurs auprès de notre Père céleste.
Offrande à Dieu d'un acte de renoncement, d'une privation en union avec le sacrifice du Christ.
L'offrande des premiers-nés mâles et le devoir de rachat pour ceux qu'on ne peut immoler rappellera pour toujours la mort des premiers- nés égyptiens, survenue la nuit de la première Pâque. Les premiers-nés mâles en Israël continuent ainsi à naître sous le signe de la mort !
Origine. Dans la Bible, l'offrande est un acte de reconnaissance à Dieu. À l'époque de Moïse, Dieu a donné certaines prescriptions au peuple d'Israël. Il devait notamment lui apporter une part de sa richesse en guise de reconnaissance pour le pays que Dieu lui a donné pour héritage.
Cette définition du sacrifice comme repas est corroborée par les indications relatives à sa matière, laquelle consiste exclusivement en des produits qui peuvent être consommés. On peut, certes, offrir à Dieu de l'or, de l'argent, des bijoux, des vêtements (voir, par ex., Nb 7, 84-86 ; 31, 50-54 ; Esd 2, 69).
Nous devons d'abord faire ce que nous avons à faire là où nous sommes, en traitant les problèmes qui se posent concrètement à nous. Fondamentalement, le don est au fond un élan du cœur, une occasion de se décentrer de soi.
Et Salomon offrit un sacrifice de prospérités, qu'il sacrifia à l'Eternel, [savoir], vingt et deux mille bœufs, et six vingt mille brebis.
La dîme est la loi de Dieu pour ses enfants, toutefois son paiement est entièrement volontaire.
Le prêtre ou le collecteur percevait la dîme, mais le plus souvent les décimateurs apportaient eux-mêmes leur dîme à un point de collecte. L'obligation de la dîme est généralement acquise par achat, don à l'église, ou lorsque l'arrangement est trouvé.
Il y a de nombreux adages dans la Bible. Personne ne sera étonné de trouver celui-ci : « Il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir (Actes 20, 35) ». Il correspond tout à fait à l'idée que l'on se fait de la morale chrétienne.
Le prêtre peut, à la demande d'un ou plusieurs fidèles, ajouter une demande particulière : remercier Dieu, honorer la Vierge Marie, prier pour un défunt, un malade, des noces d'or, des jeunes mariés, un nouveau baptisé, un nouveau diacre ou un nouveau prêtre. Les intentons sont généralement annoncées lors de la messe.
1: Le sacrifice est l'action sacrée par excellence. Il déploie la variété de ses formes entre l'offrande, qui en est le plus bas degré, et le martyre, où le sacrifiant s'offre lui-même comme victime.
et fit cette prière : « Seigneur, Dieu d'Israël, il n'y a pas de Dieu comme toi, ni là-haut dans les cieux, ni sur la terre ici-bas ; car tu gardes fidèlement ton Alliance avec tes serviteurs, quand ils marchent devant toi de tout leur cœur.
A l'âge de 17 ans, Salomon fait un rêve. Dieu dit : Demande ce que tu veux que je te donne. Salomon réplique : Donne à ton serviteur un coeur intelligent pour juger ton peuple, pour discerner entre le bien et le mal, car qui pourrait juger ce peuple considérable?
La pureté de cœur est certainement l'une des conditions les plus importantes pour pouvoir recevoir l'inspiration de Dieu. Aucun de nous n'a le cœur parfait, mais plus nous nous efforçons d'éliminer l'impureté ou de faire sortir les choses qui ne devraient pas s'y trouver, plus nous ouvrons notre cœur au Saint-Esprit.
Le but du sacrifice est de renvoyer les choses, et surtout les choses les plus sacrées ; de congédier les Dieux qui, sans le sacrifice, pèseraient indéfiniment sur le sacrifiant ; de détourner les dieux, en faisant ce qu'on doit pour eux.
Le sacrifice nous prépare à vivre en présence de Dieu. Ce n'est que par le sacrifice que nous pouvons devenir dignes de vivre en présence de Dieu. Ce n'est que par le sacrifice que nous pouvons recevoir la vie éternelle. Un grand nombre des personnes qui nous ont précédés ont sacrifié tout ce qu'elles avaient.
Ministre préposé aux sacrifices, notamment dans l'Antiquité. Synon. immolateur, victimaire.
n.f. Cadeau, don, présent.
Les dons du Saint-Esprit sont différents des neuf fruits de l'Esprit, qui sont énumérés par Paul de Tarse dans l'Épître aux Galates : ceux-ci sont l'amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, et la tempérance.
Cette parole de Jésus, uniquement rapportée par l'auteur du livre des Actes des apôtres, récit théologique des origines du christianisme ancien, servait à inviter les premiers croyants à venir en aide aux plus démunis.