Il s'agit de la priorité à droite ; lorsque le conducteur arrive à une intersection marquée par un panneau « Stop », celui-ci doit s'arrêter quelques secondes et laisser la priorité aux conducteurs venant de droite et de gauche avant de s'engager sur la route.
Sur les routes de montagnes et sur les routes à forte déclivité, le véhicule descendant doit s'arrêter à temps le premier. Si le croisement est impossible et qu'il est nécessaire de reculer, le plus léger des deux doit s'en acquitter, ou celui qui n'a aucun autre véhicule derrière lui.
En partant du principe qu'il est nettement plus difficile d'effectuer un démarrage en côte, dans les croisements difficiles en montée, le véhicule qui descend devra faciliter le passage. Cette règle n'est pas toujours appliquée lorsque le véhicule qui se retrouve face à la pente est un poids lourd.
1. Détecter une intersection à priorité à droite. En l'absence de toute signalisation de priorité (marquage au sol ou panneau), la règle qui s'applique à une intersection est la priorité à droite : tous les usagers qui abordent l'intersection doivent céder le passage aux usagers arrivant sur leur droite.
Tout véhicule circulant sur la voie principale et croisant la sortie d'un parking, d'un chemin ou d'une impasse privée, d'un lotissement est prioritaire au carrefour. La règle de la priorité à droite ne s'applique pas.
En ce cas d'accident de la route, où un des deux véhicules est entrain de reculer (ce qui est bien entendu indiqué sur votre constat amiable), la responsabilité totale de l'accident dans le cadre du constat amiable sera appliquée au véhicule qui est entrain de reculer.
Si un véhicule emboutit l'arrière d'un autre véhicule le précédant, les responsabilités sont à 100 % pour le premier. Si aucun ne change de direction quand se produit l'accrochage, les responsabilités sont partagées 50-50. En revanche, si l'un des deux véhicules changeait de file, il est à 100 % en tort.
En France, la règle est la priorité à droite aux intersections si vous n'avez pas de signalisation précise. Il faut voir si la personne arrivant de la droite n'a pas de panneau STOP ou de céder le passage car dans ce cas-là, ce sera donc à vous de passer. Pensez à ralentir et observer.
Bien réussir son permis passe par une bonne observation de la route, ne manquez pas les panneaux qui indiquent la vitesse maximale autorisée. Ce serait trop bête de perdre des points pour cela. Respectez scrupuleusement les panneaux de signalisation. N'oubliez pas également d'adapter votre vitesse à la situation.
Le conducteur (A) qui veut tourner à droite, ou qui fait un petit tournant, a priorité. Le conducteur (B) qui veut tourner à gauche, ou qui fait un long tournant, cède la priorité.
Dans les descentes :
Lorsque le croisement est difficile mais possible comme en montagne ou dans de fortes pentes étroites, c'est toujours au véhicule qui descend de s'arrêter le premier.
Trois points majeurs sont à retenir : Ne jamais relâcher la pédale gauche trop brusquement pour ne pas caler. Accompagner le geste par une pression adaptée et synchronisée sur la pédale de frein ou l'accélérateur, selon la phase de conduite. À l'arrêt, ne pas libérer la pédale avant de recouvrer le point mort.
Être dépassé par un autre usager
Le conducteur dépassé devra alors conserver la même allure et maintenir son véhicule bien positionné sur sa voie afin de faciliter la réalisation de la manœuvre e dépassement initiée par un autre usager.
Pour qu'un arrêt au STOP puisse être reconnu comme marqué, l'usager de la route doit absolument arrêter son véhicule, quel qu'il soit, au niveau de la ligne d'arrêt et doit effectuer des contrôles visuels à gauche, à droite puis à nouveau à gauche avant de redémarrer son véhicule.
En l'absence d'éléments de signalisation, les règles apprises dans le code de la route stipulent que c'est la priorité à droite qui doit être appliquée. De plus, pour tourner sur la gauche, le véhicule qui coupe la route à un autre véhicule qui va tout droit ne sera pas prioritaire.
Le site remboursetonpermis.fr permet au candidat du permis de conduire de voir ses frais remboursés s'il obtient 31 points sur 31 le jour de l'examen.
Le pays où le permis est réputé le plus difficile à obtenir, d'après Zutobi, c'est la Croatie, avec une moyenne de 1,96 candidats reçus sur dix. Il faut dire que l'administration croate frappe fort. Selon Zutobi, elle exige un minimum de 85 heures de formation, contre 20 à 25 en France.
Il faut adopter une conduite assurée et décidée, même lorsque vous ne l'êtes pas. Vous avez priorité, n'hésitez pas à la prendre. Faites preuve d'initiative et montrez à votre examinateur que vous participez activement à la circulation. Il se sentira lui-même en sécurité avec un chauffeur qui sait ce qu'il fait.
7. Les oublis ou maladresses. Oublier son clignotant après avoir tourné ne signifie pas que vous allez échouer à l'examen. Caler en démarrant au feu non plus, si cela arrive une fois.
Le fait de caler de manière répétée durant l'examen du permis peut être considéré comme une faute éliminatoire. Se déporter de manière excessive entraine aussi une élimination au permis !
Classification des erreurs
L'erreur sérieuse est une erreur grave, mais qui n'a pas remis en cause la sécurité. Par exemple si vous ne voyez pas une priorité à droite, mais que l'inspecteur a constaté l'absence d'usager venant de droite, il n'intervient pas mais vous énonce la faute que vous avez commise.
Dans ce cas, c'est le conducteur de la voiture en mouvement qui est responsable de l'accident sur le parking. Si votre voiture était à l'arrêt lors de la collision, vous n'aurez donc pas de malus. Toutefois, si la voiture à l'arrêt était mal stationnée, la responsabilité est partagée à 50/50.
Cependant, il existe une exception à cette règle. En effet, l'assurance auto présuppose que le véhicule en stationnement est garé correctement, c'est-à-dire sans gêner la circulation. Si le véhicule s'avère alors mal stationné, par exemple en double file, les fautes se verront donc partagées à 50/50.
Pour choisir entre A ou B, le mieux est de regarder le positionnement des véhicules. Si le vôtre est celui situé à gauche, alors considérez qu'il s'agit du "véhicule A". Ainsi, tant sur le papier que visuellement, les véhicules sont clairement identifiés pour que chacun puisse expliquer ce qui s'est passé.