Un antithéiste est défini comme « une personne opposée à la croyance en l'existence d'un dieu ». Le terme semble avoir été forgé par Proudhon dans Idée générale de la Révolution, 1851, et l'idée développée dans De la Justice dans la Révolution et dans l'Eglise, 1858 (Etude VI, Le Travail, ch. V et suivants).
Qui n'a pas de croyance religieuse, s'oppose à la religion. Un esprit irréligieux. ➙ incrédule, incroyant, sceptique.
Définition de athée
antireligieux adj. Hostile à la religion.
Hegel et Kierkegaard, Marx et Nietzsche, chacun à leur manière, le questionnent et l'accusent par leur critique du christianisme 4. de la critique interne et externe, de l'histoire des religions, des systèmes économiques et des institutions.
Pour Marx, ce n'est pas « Dieu » qui fait les hommes, mais les hommes qui font les dieux. Le marxisme est donc un athéisme.
Avec une constance remarquable de Choses humaines, trop humaines au Crépuscule des idoles et à L'Antéchrist, Nietzsche conçoit la croyance religieuse comme une interprétation erronée, sur la base de l'impuissance et de la puissance que les hommes éprouvent.
Théiste ou Déiste
Se dit d'une personne qui croit qu'il existe un Dieu ou des forces transcendante mais qui n'appartient pas pour autant à une religion spécifique.
On dit souvent que l'Islam est la religion du monde qui augmente le plus vite. C'est fort probable, à cause du rythme de la transition démographique dans les pays à majorité musulmane par rapport au reste du monde.
Suivent l'Arménie, la Géorgie et le Maroc. En dernière position, on retrouve la Chine, avec 7% de croyants et 61% d'athées convaincus. Les autres pays les plus athées sont le Japon, la Suède et la République Tchèque.
Beaucoup de croyants, surtout les plus convaincus, imaginent que leur croyance résulte tout simplement de la présence de Dieu. Comme me l'expliquait un de mes amis croyants : « Je crois en Dieu parce que Dieu est là, que Dieu s'est révélé à moi et qu'il continue chaque jour de m'accompagner.
Définition de agnostique nom et adjectif
Personne qui professe que ce qui n'est pas expérimental, que l'absolu, est inconnaissable ; sceptique en matière de métaphysique et de religion. adjectif Propre, relatif à l'agnosticisme.
Beaucoup de gens ne croient pas en Dieu pour des raisons différentes. La première, c'est que nous n'avons pas vu de nos yeux ce qui est raconté dans la Bible. Une autre raison, pour beaucoup, c'est que, si Dieu existait vraiment, il empêcherait que l'on souffre et que l'on meure.
Ce document sans précédent, bourré de chiffres, de témoignages et d'analyses, est accablant. Selon le recensement établi par ses auteurs, de 150 à 200 millions de chrétiens sont actuellement discriminés dans environ 140 pays et la religion chrétienne serait la plus persécutée au monde.
Un athée spirituel est une personne qui n'appartient à aucune dénomination religieuse. Il ou elle réfute donc toute forme de dogmes et de doctrines. L'athée spirituel ne croit pas en un Dieu au sens propre du mot, soit un être surnaturel.
Mieux que ça commence par affirmer que la religion catholique est la religion la plus vraie. D'abord, parce que c'est la seule dans laquelle Dieu s'est fait homme et nous a communiqué la vérité que Lui seul connaît.
La religion du futur sera une religion cosmique. Elle devra transcender l'idée d'un Dieu existant en personne et éviter le dogme de la théologie.
La cause semble entendue : le bouddhisme est une religion tolérante, sinon « la » religion de la tolérance.
En 2050, quelle religion comptera le plus de fidèles ? Le christianisme. Mais de justesse : il devrait y avoir 2,9 milliards de chrétiens à travers le monde, représentant 31,4% de la population mondiale.
La religion édicte donc des impératifs moraux qui permettent de fonder nos sociétés et de les maintenir. Elle discipline moralement les âmes et préserve ainsi la stabilité sociale. Par ailleurs, le culte et la prière sont de bons moyens de rassembler les individus autour des mêmes valeurs.
Parmi eux, athées et agnostiques ne sont qu'une minorité. «Pour la plupart, explique le sociologue Paul Freston, les sans-religion sont des gens qui gardent la foi, ou en tout cas une forme de spiritualité, mais rejettent les étiquettes religieuses.
La Cour suprême a tranché : une église de l'athéisme n'est pas considérée comme une institution religieuse et, à ce titre, ne peut pas jouir des mêmes privilèges fiscaux qu'une église basée sur la foi. La prime à la croyance est donc maintenue.
Que le christianisme dogmatique ait été une chimère, Nietzsche l'a pensé très jeune, et en ce sens, il a été athée depuis toujours. Il s'est senti étranger au contenu de la foi chrétienne dès le commencement. Il n'y a jamais eu rupture, mais un élan toujours soutenu dans la même direction.
L'athéisme
Nietzsche est un athée qui souffre de son incroyance, tandis que Lénine s'y meut sans la moindre gêne. Nietzsche fut toute sa vie « un homme déchiré ».
Derrière l'expression « mort de Dieu », se profile chez Nietzsche un sérieux existentiel qu'il est difficile de percevoir à sa juste mesure. Une chose est claire : il ne s'agit pas pour Nietzsche d'un banal athéisme. Et il ne s'agit pas non plus d'une simple information. Nietzsche ne dit pas : « il n'y a pas de Dieu ».