(Religion) Nom de Dieu, Dieu . Un substitut pour le tétragramme. Nom utilisé par de nombreux juifs dans une conversation ordinaire pour désigner Dieu.
(Note supplémentaire) : Élohim est un terme plus largement employé que la seule désignation d'une divinité. Par exemple, elle est utilisée pour désigner des rois dans l'A.T (Ancien Testament), mais aussi des anges, ou bien des hommes à qui la parole de Dieu fut adressée.
La dénomination de Dieu dans le judaïsme se fait par le nom de quatre lettres, YHWH, qui le désigne le plus souvent dans la Torah, mais aussi par de nombreuses métonymies qualifiant les attributs et qualités divines, car le Tétragramme est réputé ineffable en raison du Troisième Commandement : « Tu n'invoqueras pas le ...
En son sens premier, la Torah désigne le Pentateuque, dont la tradition juive attribue la rédaction à Moïse, inspiré par Dieu. Le Talmud l'appellera plus tard Torah chébiketav, la « Torah-qui-est-par-écrit ». Elle comprend des commandements (la tradition en compte 613) et de multiples récits.
La Loi de la Torah est une parole de Dieu. Le Décalogue, ce sont les « dix paroles » (decalogos en grec). Avant l'énoncé des autres règles, tout au long des cinq livres du Pentateuque, la formule qui revient souvent est « Dieu parla » ou « Dieu dit » ou bien encore « Yahvé parla ». Dieu exprime sa volonté pour l'homme.
Pendant le Shabbat il est interdit de produire ou de transformer de la matière ou de l'énergie. Il est interdit de cuire les aliments. Pour les juifs les plus religieux il est aussi interdit de conduire un véhicule, de faire la cuisine (en général) et même d'allumer l'électricité.
La Halakha (hébreu : הלכה « Voie », Halokhe selon la prononciation ashkénaze, plur. halakhot) regroupe l'ensemble des prescriptions, coutumes et traditions collectivement dénommées « Loi juive ».
Le Tsitsit (c'est le nom qu'on leur donne) symbolise la présence de Dieu parmi les hommes. Le port du Tsitsit est un commandement de la Torah contrairement à la kippa qui n'est qu'une tradition. Les franges sont composées de 8 fils enroulés et noués suivant des nombres précis.
[JOHANNA LEGUERRE - AFP] Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
L'araméen est surtout connu comme la langue de Jésus. Cette langue sémitique, originaire de la région du cours moyen de l'Euphrate, avait essaimé jusqu'en Syrie et en Mésopotamie entre 800 et 600 avant Jésus-Christ.
A leur demande Moïse leur révéla le nom de ce dieu qui à travers les siècles resta l'apanage d'Israël. Ce nom on le connaît par la Bible et par les documents profanes. Il est composé de quatre consonnes dans les langues sémitiques : YHWH.
Tout le monde peut appeler Dieu. » Il vous sera toutefois plus simple de joindre le presbytère de Chambly : 09-54-98-31-60.
Certaines traductions chrétiennes de la Bible l'ont parfois transcrit par « Yahvé », « Yahweh », « Jéhovah » ou « Jéhova ». Depuis la Bible d'Olivétan, parue en 1535, la plupart des traductions protestantes retiennent le terme « l'Éternel ».
Yeshoua, en hébreu, provient de la racine trilittère du verbe « sauver ». Parmi les Juifs de la période du Second Temple, le nom biblique araméen/hébreu יֵשׁוּעַ, Yeshoua' était commun : la Bible hébraïque mentionne plusieurs individus portant ce nom — même parfois en utilisant le nom complet Joshua.
Nom souvent donné à Dieu dans l'Ancien Testament. Dans la Bible hébraïque, ce mot est lu à la place du tétragramme sacré YHWH (ou YHVH), dont le nom ne devait être prononcé sous peine de sacrilège. (→ Yahvé.)
Mot hébreu יהוה de quatre consonnes (le tétragramme divin) signifiant « l'existant, qui fait devenir », de הוה Hawah, « devenir ». Hawah étant à l'imparfait de la forme causative.
Histoire. Le plus vieux texte religieux connu est l'hymne au temple de Kesh (en), tablette d'argile sumérienne qui date de 2600 av. J.C. Le Rig-Véda, collection d'hymnes de l'Inde antique composés en sanskrit védique entre 1500 et 900 av.
Chez les juifs orthodoxes, on est patient. On ne coupe pas les cheveux d'un enfant avant le jour de ses 3 ans. En effet, un verset de la Torah compare l'enfant à un arbre et une règle interdit aux juifs orthodoxes de récolter les fruits d'un arbre de moins de 3 ans.
Les papillotes (hébreu : פאות הראש peot ou payess harosh, « bords de la tête ») sont les mèches de cheveux (une de chaque côté du visage) typiques des hommes juifs orthodoxes, lesquels ont coutume de les porter sur les tempes ou derrière les oreilles à partir de l'âge de trois ans.
Les juifs ont deux vêtements spéciaux pourvus de franges : le Talit et le Talit Katane (petit Talit), un vêtement spécial à quatre coins, muni d'une ouverture pour la tête et porté sous les vêtements extérieurs, depuis le lever au matin jusqu'au coucher le soir, ou même aussi pendant le sommeil.
Selon la Bible, l'histoire du peuple juif commencerait vers moins 1200 avant notre ère, avec Abraham qui vit à Ur dans l'Irak actuel.
Les Juifs fondent le judaïsme sur la religion abrahamique qui fleurira ensuite dans la Loi mosaïque (la Torah, les Nevi'im et les Ketouvim), collectivement désignés par l'acronyme Tanakh, dont le texte constitue la Miqra ou Bible hébraïque.