Jalousie de Caïn envers
Esaïe 11. 13 La jalousie d'Ephraïm disparaîtra et ses adversaires en Juda seront éliminés ; Ephraïm ne sera plus jaloux de Juda et Juda ne sera plus l'adversaire d'Ephraïm.
Dieu est jaloux de ce qui Lui appartient, Il est jaloux de ce qui Lui revient : la louange, l'adoration, de tout ce qui Lui est dédié exclusivement. Sa jalousie est motivée par l'amour. Dieu veut la première place dans notre vie. Nous avons de la valeur pour Lui et Il veut passer du temps avec nous.
Envie, jalousie, rivalité et convoitise
Mais l'envie comme péché ne se réduit certainement pas à la jalousie amoureuse. C'est aussi la rivalité ou la convoitise. Posséder l'autre ou posséder ses qualités, ses biens, l'envie est toujours liée à un désir d'avoir.
C'est qu'Adonaï lui refuse le regard accueillant qu'il réserve à Abel et à son offrande (4, 4-5). Au fond, la jalousie de Caïn tient au fait que, jusque-là, il a vécu avec sa mère une relation sans tiers, sans autre, et donc sans manque.
Une source juive ancienne, le Midrash Rabba, avance que le signe en question n'était autre qu'un chien qui accompagnant Caïn dans son errance : ce canidé servait à le rassurer quant à la protection de Dieu et à effrayer un éventuel assaillant !
Dans la tradition juive, Ésaü est le père des civilisations occidentales, notamment de l'Empire romain, dont la « descendance » est le christianisme. Actif et chasseur — le judaïsme interdit la chasse —, il symbolise la force physique sans compréhension, face à son frère Jacob, qui est étudiant et inactif.
Dans la Bible, la jalousie signifie la ferveur intense de celui qui est profondément attaché à une chose ou à une personne. Cette ferveur amène la personne jalouse à déployer une ardeur et un zèle envers l'objet de son affection. Être zélé et être jaloux, dans la Bible, signifient essentiellement la même chose.
Le jaloux se sent menacé de ne pas être considéré et de disparaître au yeux des autres. Lorsque l'on manque d'estime de soi, on existe parfois en « possédant » et lorsqu'il y a dépossession ou que l'intérêt de l'autre se porte ailleurs, c'est à ce moment que le sentiment de jalousie explose.
Quelles sont les causes de la jalousie ? Tout d'abord, il faut savoir que la jalousie est à la fois une émotion et un sentiment. Elle est le résultat d'un mélange de divers éléments comme la colère, l'anxiété ou encore la peur. Par ailleurs, on a souvent tendance à penser que la jalousie est toujours négative.
Dans la mythologie grecque, Phtonos (en grec ancien Φθόνος / Phthónos), apparemment né d'Aphrodite comme les autres érotes ou de Nyx et d'Érèbe ou de Dionysos, personnifie la Jalousie, l'Envie, la Rivalité et l'Avidité.
Pour les chrétiens, Jésus est le fils de Dieu. Jésus est une partie inhérente de Dieu, car il est une part de la Sainte Trinité (Dieu le père + Jésus le fils + l'Esprit Saint). On dit aussi que, à travers Jésus, c'est Dieu qui s'est fait chair parmi les Hommes.
On écrira ainsi «dieu», sans majuscule, quand il sera question d'une religion polythéiste. Exemple: «Les dieux égyptiens», «Mars, dieu de la Guerre». Idem, quand on parlera de «dieu» comme d'une «idole». Exemple: «C'est mon dieu.»
Si l'on en croit la psychanalyse, la jalousie serait le reflet du désir inconscient de tromper son partenaire. Le jaloux ne supportant pas cette envie d'infidélité, il va donc s'en défausser en l'imputant à l'autre. Vu que tout ceci se passe au niveau de l'inconscient, ce n'en est que plus difficile à accepter.
Parmi les sept péchés capitaux, l'orgueil tient la première place, car “le commencement de tout péché, c'est l'orgueil” (Si 10, 13).
Elle se manifestera par une tendance excessive à contrôler l'autre, à le soupçonner de tromperie réelle ou même fantasmée, à vérifier ses faits et gestes et la véracité de ses propos. Le partenaire se voit obligé de se justifier en permanence ce qui accroît les soupçons de la personne jalouse.
La jalousie est un sentiment démoniaque ; elle conduit les hommes à ne plus savoir ce qu'ils font. La jalousie, si elle ne rend pas le jaloux malade, elle peut le tuer. La jalousie est la gifle de l'amour. La jalousie est la preuve que l'amour est semblable à la haine car dans la jalousie, amour et haine se confondent.
La jalousie maladive repérée dès les premiers signes peut se soigner en développant la confiance en soi et la confiance en l'autre. On peut par exemple développer une activité personnelle d'expression ou de création, comme le théâtre ou la photographie.
"La jalousie est le plus souvent le fruit d'une grande anxiété, peur de l'abandon ou du rejet, ancrée à quelque chose d'ancien, l'enfance. Ce comportement avec l'entourage entraîne de la méfiance qui, dans les relations affectives, peut prendre beaucoup de place, rendant alors les échanges complexes.
Ses réactions : Il a besoin d'être rassuré et pose sans arrêt des questions. Il veut un rapport complet sur vos journées, votre emploi du temps. Quand il croit être trahi, il se met en colère. Il ne se contrôle plus et peut se montrer insultant, puis se confond en excuses.
L'homme est jaloux parce qu'il a peur. Peur de ne pas être aimé en retour, peur de perdre l'amour. La jalousie, c'est ce qu'il y a de pire en amour.
Le fait de prendre ce nouveau nom est un signe d'acceptation de l'alliance que son père et son grand-père ont reçue. Lorsque nous nous faisons baptiser, nous contractons des alliances.
Jacob (en hébreu : יעקב, Ya`aqov, « celui qui prend par le talon » ou « qui supplante » ; en arabe : يعقوب, Ya'qūb ou Ya'qob, « Dieu a soutenu » ou « protégé ») est un personnage de la Bible et du Coran.
Son nom, Yaaqov, dérive directement de cet étrange tropisme pour la voûte plantaire : Yaaqov (nom de Jacob en hébreu) provient du mot eqev, signifiant « talon ». La Bible le décrit comme un « homme inoffensif, [qui] vécut sous la tente » (Gn 25, 27). Favori de sa mère Rebecca, son père lui préfère son frère Esaü.