Selon le livre de la Genèse, Jubal fut le fils de Lémec et Ada (Genèse 4 : 19-21). La Bible le présente comme le père de tous ceux qui jouent de la harpe et du chalumeau.
La première fois qu'il est fait mention dans la Bible d'un instrument de musique, c'est lorsque Laban dit à Jacob « qu'il lui aurait fait cortège avec des chants joyeux, au bruit des tambours et du kinnor (Genèse, xxxi, 27.) Comme Laban habitait la Syrie, le kinnor était donc un instrument syrien.
De toute façon, si la musique en général, ou telle musique en particulier, vous fait du bien, vous ouvre le cœur à la foi, à l'amour, à l'espérance, à la louange à Dieu et à la gratitude, alors cette musique fait une œuvre de Dieu en vous.
La musique vecteur d'émotions
Pour lui la musique est un outil puissant car elle a été créée par Dieu à l'origine, avant même la création de l'homme, pour aider les anges à le louer ! La musique vient faire résonner notre corps pour être en harmonie avec Dieu.
Dans la Genèse, Jubal (ou Yubal) est " le père de tous ceux qui jouent de la cithare et de la flûte ". Il est le fils de Lamech et d'Ada, il descend de Caïn. Il a pour frère Jabal.
La musique existe depuis la préhistoire mais elle ne laisse pas de trace. Il est donc difficile de raconter son histoire. On peut imaginer que les premières mélodies ont été chantées par des hommes préhistoriques. Puis ils ont utilisé des morceaux de bois ou de pierre et les ont tapé les uns contre les autres.
La fonction de la musique dite religieuse consiste donc à établir un certain nombre de relations. D'abord une relation directe avec la divinité : la musique agit sur les « ressorts intérieurs » et produit un état depuis longtemps désiré. Le chantre comme le fidèle qui l'écoute se haussent au-dessus d'eux-mêmes.
La musique profane, dite aussi musique séculière ou encore musique mondaine, regroupe les genres musicaux qui ne sont pas associés aux pratiques religieuses d'un groupe social donné. Le concept s'oppose donc à celui de musique sacrée.
A en croire l'Etat islamique, qui va jusqu'à brûler des instruments de musique, la réponse est clairement oui : l'islam interdit la musique.
“Il n'y a aucune loi, aucun article du Code du travail, qui interdise d'écouter de la musique au travail, que ce soit avec ou sans écouteurs”, explique Sara Clavier, avocate spécialiste du droit du travail et membre du réseau Eurojuris.
C'est Augustin, un chrétien des premiers siècles, qui aurait dit pour la première fois cette phrase devenue un incitatif puissant pour prier avec des chants. Ces mots d'un père de l'Église montrent que le chant fait partie de la prière chrétienne depuis les commencements. Le chant peut rapprocher de Dieu.
Suivant la Bible hébraïque, ce jeune berger de la tribu de Juda, le plus jeune des fils de Jessé, est appelé aux côtés du roi Saül pour l'apaiser de ses chants. Il met en déroute les ennemis philistins en vainquant le géant Goliath à l'aide de sa fronde.
Bien que le mot "musique" ne soit jamais cité dans le Coran, elle est considérée comme impure par les djihadistes ainsi que par certains musulmans ultra-conservateurs.
Certains savants musulmans pensent que seul le chant est permis/licite (halal), et que les instruments sont interdits (haram). Ainsi, il existe une forte tradition de chant a cappella empreint de Mélisme. De nombreuses confréries conservent au sein de leurs pratiques des éléments anté ou non islamiques.
Il est composé des révélations faites par Dieu au prophète Mahomet, par l'intermédiaire de l'archange Gabriel, entre 612 et 632. Il est l'acte constitutif de l'islam et sa référence absolue. À la mort du Prophète en 632, ses proches mettent à l'écrit le texte sacré. Il était jusqu'alors transmis à l'oral.
La musique profane
Cette musique est transmise oralement. A partir du 11ème siècle des musiciens compositeurs, interprètes et enseignants parcourent le pays. Ils sont appelés trouvères au nord de la Loire et s'expriment en langue d'oïl. Ils sont nommés troubadours au sud de la Loire et parlent la langue d'oc.
C'est une mélodie chantée a capella (c'est-à-dire sans accompagnement d'instruments), à l'unisson (avec une seule voix) et sans rythme. Les moines, qui étaient les seuls à savoir écrire et lire, ont composé ces chants sur des parchemins. La musique profane a pour unique objet de distraire.
Donc la louange est essentielle parce que Dieu nous a créés - non comme un projet à mettre au rebut dès qu'il l'aurait terminé, mais comme des enfants avec lesquels il souhaite avoir une relation profonde et durable et cette relation impacte toute la vie.
Il faut attendre le concile de Laodicée (481) pour que des « chantres canoniques » participent au culte. L'emprunt à Isaïe du Sanctus, au culte hébraïque des acclamations Amen !, Alleluia ! et de la mélodie des psaumes et des cantiques ne fait pas de doute.
Musique vocale et instrumentale
Par exemple, des psaumes, le chant grégorien, un oratorio, des negro spirituals, etc., constituent de la musique sacrée. La musique religieuse vocale peut être soutenue par un accompagnement instrumental ; dans le cas contraire, on dit qu'elle est interprétée « a cappella ».
Chant d'église Définition
MOTET. HYMNE. CREDO. IODLE.
Guy d'Arezzo, le père de la musique.
La Musique est une chanson interprétée par la chanteuse française Nicoletta en 1967. Il s'agit d'une adaptation d'une chanson américaine, Angelica, écrite et composée par Cynthia Weil et Barry Mann et interprétée par ce dernier en 1966. Les paroles en français sont signées Ann Grégory.
La musique favorise les relations au-delà des mots. Elle est intergénérationnelle et son action est multiple. Source d'expériences corporelles, sensorielles, sociales car son plaisir peut être partagé avec ses proches, elle marque les étapes de la vie émotionnelle et contribue à l'identité d'une personne.