Pédagogie de groupe (1920) On donne Roger Cousinet pour père de la pédagogie de groupe vers 1920, mais il faudrait remonter à John Dewey, vers 1900.
Il est issu de la philanthropie et de la charité chrétienne. Au milieu des Temps Modernes, vers 1640, une grande synthèse théorique et pratique des courants pédagogiques modernes (Didactica Magna) et faite par Jan Amos KOMENSKY appelé COMENIUS.
Mieux connu en Europe sous son nom latin ou allemand, Comenius, philosphe né en Moravie qui était membre du mouvement des Frères tchèques, est considéré comme le père de la pédagogie moderne par son souci permanent de perfectionner les méthodes d'enseignement.
Johan Heinrich Pestalozzi (1746 - 1827) est un pédagogue suisse, il fut un homme de réflexion et, avant tout, un passionné d'action. Il est le père de la pédagogie moderne.
Mais toutes les performances chiffrées qu'ils analysent concourent au même constat : les enseignements « explicite » ou « direct » sont plus efficaces, notamment en milieu défavorisé, que les pédagogies qui se veulent « centrées sur l'élève ».
La pédagogie Freinet est une démarche éducative active, participative et centrée sur l'enfant. Fondée par l'instituteur Célestin Freinet (1896-1966), elle revendique un contexte d'apprentissage où chaque enfant peut s'exprimer, se responsabiliser, coopérer, expérimenter et s'ouvrir sur le monde.
Decroly pose comme principe que l'éducation doit se faire à partir des intérêts de l'enfant qui est un moteur puissant pour l'apprentissage. Cette pédagogie de l'intérêt est fondée sur la notion de besoin, fondamentale dans la pensée de Decroly.
Il est intéressant de noter que le père fondateur de l'éducation comparée, Marc-Antoine Jullien de Paris, avait dès 1817 lancé l'idée d'une comparaison entre « les établissements et les méthodes d'éducation et d'instruction des différents États de l'Europe » (1).
La pédagogie développée par Jean-Jacques Rousseau propose et décrit un système éducatif qui considère l'évolution naturelle de l'enfant et de l'homme comme un moyen d'adapter et d'améliorer la société.
« La plus grande difficulté et importance de l'humaine science semble estre en cest endroict où il se traicte de la nourriture et institution des enfants », écrit Montaigne. Comenius relève le défi en publiant en 1657 la Grande Didactique ou Traité de l'Art Universel d'enseigner tout à tous.
C'est le courant que l'on trouve développé par John Dewey sous le nom de "méthode des projets", par Adolphe Ferrière qui parle de "communautés d'enfants", par Célestin Freinet qui exalte le "travail vrai".
Définition. La pédagogie de groupe est une pédagogie active car les élèves sont autorisés à expliciter, justifier, clarifier, évaluer, argumenter, faire des propositions, poser des questions, répondre aux questions des autres, suggérer des solutions, etc. au même niveau didactique que l'enseignant.
La pédagogie des grands groupes rassemble les méthodes et pratiques d'enseignement et toutes les qualités requises pour l'acquisition d'un savoir, d'un savoir faire ou d'un savoir être. La pédagogie des grands groupes s'appuie fondamentalement sur les différents courants pédagogiques déjà exploités dans les classes.
La méthode Decroly obéit aux principes de la pédagogie active. En effet, la méthode Decroly consiste à placer l'enfant au centre. À l'encontre des méthodes classiques, aucun mimétisme et aucune passivité ne seront envisagés dans l'enseignement.
La pédagogie Montessori s'appuie sur 2 étapes. L'observation de l'enfant, pour ensuite pouvoir lui présenter des activités et un matériel adaptés à ses besoins personnels et à son rythme. L'idée est de lui proposer un environnement préparé spécialement pour lui, pour l'aider à acquérir confiance en soi et autonomie.
Les formes d'apprentissage classiques, lecture, relecture et prise de notes de manière intensive paraissent être les plus efficaces. Pareil pour l'éducation, nous pensons que l'enseignement classique, la présentation du cours puis la pratique d'exercice est la meilleure technique.
La formation des enfants dans les classes est notamment différente. Dans une école Montessori, un enfant apprend uniquement par ses propres moyens sans l'aide de qui que ce soit. Concernant l'approche Freinet, la participation de chaque enfant au travail est intimement liée à la réussite des autres.
l'enseignant (et plus globalement tout éducateur) doit s'efforcer de transmettre des normes sociales pour favoriser l'insertion de l'enfant dans la société. Mais il doit aussi lui apprendre à penser par lui-même et à examiner de manière critique les règles sociales existantes.
La méthode expositive, appelée aussi transmissive ou magistrale, repose sur un apprentissage vertical, selon lequel le formateur détient toutes les connaissances – les « savoirs » – qu'il transmet aux apprenants. Ces derniers sont considérés comme ayant tout à apprendre.
Succes for All est une approche pédagogique qui, en plus d'être très structurée, met aussi de l'avant l'approche coopérative avec les élèves et des liens avec les parents.
Favoriser une gestion participative des temps de récréation.
Ouvrir quotidienne les BCD. Aménager de manière plus adaptée, opérationnelle et fonctionnelle les cours de récréation. Faire parrainer les nouveaux élèves par des élèves connaissant déjà les règles régissant la récréation.