Qui est responsable de la gestion de la SASU ? C'est le président de l'entreprise, mandataire social, qui assure la gestion d'une SASU. Celui-ci peut être un associé unique (personne physique). S'il s'agit d'une personne morale, l'entreprise doit avoir un dirigeant.
L'associé unique de SASU peut être une personne physique ou une personne morale. La SAS étant une société à responsabilité limitée, l'associé unique de SASU n'est donc théoriquement responsable des dettes sociales qu'à hauteur de ses apports.
La SASU est une société commerciale, équivalente à la SAS mais ne comptant qu'un actionnaire unique. Ce dernier peut aussi bien être une personne physique qu'une personne morale (société). Lors de la création de la SASU, l'actionnaire unique forme le capital social avec ses apports en numéraire et/ou en nature.
Le statut juridique de la SASU présente également de nombreux inconvénients dont il faut avoir connaissance avant de se lancer : Des formalités de création compliquées. La complexité de la procédure de fermeture de la société L'imposition à l'IR (Impôt sur le Revenu) est limitée dans le temps.
Bien que la SASU soit une SAS à associé unique, rien ne l'empêche d'embaucher des salariés. La SASU est une société comme les autres ! SASU et salariés sont donc parfaitement compatibles dès lors que les obligations légales de l'employeur sont respectées, ainsi que les règles de cumul avec un mandat social.
Est-il obligatoire d'avoir recours à un expert-comptable ? Non. L'associé unique de SASU n'a aucune obligation de faire appel à un expert-comptable. Il est vivement recommandé d'en avoir un afin de s'assurer de la bonne gestion de la comptabilité de la SASU.
Le montant des charges de la SASU s'élève donc à 17,2% du montant des dividendes versés. Dans certains cas, il peut être judicieux pour celui-ci d'opter pour les deux formes de rémunérations et ainsi combiner et cumuler rémunération et dividendes.
Toute entreprise peut choisir de faire sa comptabilité elle-même. Le choix de faire soi-même ou d'externaliser sa comptabilité à un expert-comptable résulte d'une décision de l'entreprise. En effet, aucun texte de Loi n'impose le recours à un tel professionnel.
Cette publication coûte entre 150 et 200€. Il faudra aussi prendre en compte les frais greffe pour la dissolution de votre SASU. Ces derniers s'élèvent à hauteur de 76,01€ pour l'enregistrement de votre décision de dissolution auprès du greffe.
La dissolution anticipée de la SASU peut s'expliquer soit parce que la société est arrivée à son terme, l'objet social a été atteint, ou par simple décision de l'associé unique. Les statuts peuvent également prévoir des causes de dissolution anticipée.
Pour liquider une SASU à l'amiable, il faut s'assurer, au préalable, qu'elle parviendra à rembourser toutes ses dettes (sauf le capital social). En effet, dans ce cas de figure, la Loi offre un cadre assez souple et permet à l'associé unique de procéder lui-même aux opérations de liquidation.
À l'instar de toute autre forme juridique, comme la SAS ou l'EURL, la SASU n'a pas l'obligation légale de faire appel à un expert-comptable pour la tenue de sa comptabilité. Cependant, il est fortement recommandé de déléguer sa gestion comptable à un cabinet spécialisé.
Aucun texte de loi n'oblige à avoir un expert comptable. La présence d'un expert comptable est souvent conseillée surtout dans les petites entreprise mais jamais obligatoire.
Le commerçant, qu'il soit personne physique ou morale, doit tenir une comptabilité. Il faut que l'entreprise soit immatriculée au registre du commerce et des sociétés (RCS) et qu'elle soit soumise à un régime réel d'imposition.
Pour sortir de l'argent d'une SASU vous avez principalement les deux solutions évoquées ci-dessus, à savoir le versement d'une rémunération au Président de la SASU ou la distribution de dividendes à l'associé unique.
S'il n'y a qu'un seul associé ou une seule personne pour créer une société, le statut de la société par actions simplifiée unipersonnelle sous le régime d'impôt sur le revenu permet de payer moins de charge. S'il y a plusieurs associés, les charges d'une SARL et SAS sont presque les mêmes.
Ces logiciels permettent de gérer sa facturation, d'importer ses comptes bancaires, de générer les écritures comptables, d'assurer un suivi des dépenses et d'automatiser les déclarations de TVA. Parmi les plus connus on peut citer Mister Compta ou encore QuickBooks.
La SASU (société par actions simplifiée unipersonnelle) est une SAS (société par actions simplifiée) constituée par un seul associé. L'associé unique définit les règles d'organisation de la SASU ainsi que le montant du capital social de l'entreprise. Il peut faire des apports en numéraire ou en nature.
La première différence à noter entre SARL et SASU est le nombre d'associés. En effet, si le nombre d'associés dans la SARL peut être compris entre 2 et 100, alors la SASU ne peut avoir qu'un seul associé. On parle alors d'un seul partenaire.
Tout d'abord, il faut que le chiffre d'affaires de la SASU ne dépasse pas 10 000 000 euros. Également, son capital doit être entièrement libéré et ses actions détenue de manière continue, pour 75 % au moins par des personnes physiques ou par une société qui répond aux mêmes conditions.
La SASU est soumise à un régime réel d'imposition. Le micro-entrepreneur est soumis au régime de la micro-entreprise. Comment est calculé le bénéfice imposable de l'entreprise ? - Le résultat (bénéfice ou perte) de la SASU est déterminé en fonction des charges réellement réglées (ou engagées) par l'entreprise.
Conformément à la loi, les dividendes doivent impérativement être distribués dans un délai de 9 mois maximum à compter de la fin de l'exercice. Notez que l'actionnaire de la SASU peut choisir de distribuer les bénéfices sous forme de dividendes, mais il peut aussi décider de les garder en réserve.