QUI (QUE, DONT, etc.), entraîne généralement le subjonctif : - Il n'y a que ce complet qui m'aille. - Il n'y a que Monsieur N… que je ne connaisse pas encore. - Il n'y a que lui dont personne ne dise du mal.
Généralement, dans les livres de grammaires, on vous explique que : le subjonctif est un mode utilisé dans les subordonnées introduites par “que” pour exprimer des sentiments, des opinions, des doutes, des souhaits, des incertitudes, des possibilités, des hypothèses ou encore des conseils.
On emploie plus souvent le subjonctif que l'indicatif après un superlatif ou l'équivalent d'un superlatif, notamment le seul (la seule) qui, le seul que, le seul dont, l'unique qui, le premier qui, le dernier que, le meilleur que, ainsi qu'après il n'y a que… qui (que, dont, etc.)
Qui remplace un nom sujet. Exemple : Il attend son ami qui rentre de Toulouse. Que remplace un mot complément d'objet direct. Exemple : Voici le reportage que je regarde en ce moment.
Rappel : De nombreuses expressions avec que (quoique, bien que, encore que, afin que, etc) sont généralement suivies du subjonctif. Je suis contente de te voir bien que tu sois en retard.
Ces deux modes sont un peu différents même si parfois ils sont utilisés dans la même phrase. Il existe quatre temps du subjonctif : présent, passé, imparfait et plus-que-parfait.
Les subordonnées circonstancielles introduites par "que" obéissent aux mêmes règles : indicatif si le fait est considéré dans sa réalité, subjonctif si le fait est une simple possibilité ou mis en doute, conditionnel si le fait dépend d'une condition - exprimée ou non.
– Qui est complément d'objet indirect, complément circonstanciel, complément d'agent, complément du nom ou de l'adjectif. Je parle à qui me plaît. Il est libre de travailler pour qui il a envie. Prenez la place de qui vous voudrez.
on a le qui est bien c'est roux d'accord et pour la logique du que du qui ici c'est la même que précédemment et l'âme même que pour le pronom relatif quiquet. qui est ce que tu as invité qui est ce que tu as invité. on peut prononcer qui est ce qu ou qui est ce que. ça les deux sont bien lève.
Le subjonctif présent est un temps qui permet de décrire une action comme incertaine pouvant ou non se réaliser alors que le présent de l'indicatif relate des faits réels. : Il a du retard : c'est une certitude. l'ordre : qu'il parte ! l'indignation : hors de question que je fasse des excuses !
On le trouve après de nombreuses expressions : afin que, bien que, quoique, pour que, avant que, jusqu'à ce que, pourvu que... Ex : Bien qu'il ne soit pas d'accord, il n'a pas discuté la décision. On le trouve également après les verbes d'obligation : il faut, il est nécessaire que.
Selon la règle traditionnelle, la locution conjonctive après que demande que le verbe de la proposition subordonnée soit conjugué au mode indicatif et à un temps qui soit compatible avec celui du verbe de la proposition principale. Je le payai après qu'il eut fini. Je le payais après qu'il avait fini.
Le subjonctif s'emploie dans la subordonnée si le verbe de la principale exprime le doute, l'improbabilité, la volonté, le désir, la défense, la nécessité, la possibilité, l'impossibilité ou un sentiment. Je doute que vous arriviez à temps. Il est peu probable que je puisse y aller. Je veux que vous écoutiez.
Dans plusieurs ouvrages, les expressions vérifier si et vérifier que sont présentées comme étant des synonymes signifiant « examiner de manière à constater que… ». Toutes deux sont suivies de l'indicatif.
Dans l'interrogation indirecte, c'est-à-dire lorsque la question est rapportée, lorsqu'elle dépend d'un verbe, est-ce que disparaît et est remplacé par si.
« Que » est une conjonction de subordination quand il est utilisé pour introduire : - une proposition subordonnée conjonctive complétive (COD) ; Ex. : Elle sait bien que c'est sa sœur qui lui a volé son journal intime. - une phrase de type injonctif au subjonctif.
Les pronoms relatifs définis sont qui, que, quoi, dont, où, lequel et ses formes contractées auquel et duquel. Le roman que tu as écrit est passionnant.
"qui", "que", "dont" sont des pronoms relatifs. Un pronom relatif représente et remplace son antécédent placé généralement devant lui. Il prend le genre et le nombre de cet antécédent.
Qui, pronom relatif. Qui, sujet, peut représenter des personnes ou des choses : l'homme qui parle ; le chien qui aboie ; la pomme qui tombe.
Qui sépare et individualise, par opposition à collectif. Sens distributif, celui dans lequel on considère une multitude, suivant tous les individus qui la composent.
La conjonction "après que" est suivie d'un indicatif et non pas d'un subjonctif : Le médecin est reparti après qu'il a examiné le patient. Les verbes "décider" et "espérer" sont suivis d'un indicatif même s'ils expriment une opinion.
Cependant on emploie le subjonctif : quand la subordonnée est introduite par assez/trop… pour que ; Exemple : Jean est trop jeune [pour qu'on puisse prédire son avenir.] quand elle dépend d'une principale de forme négative ou de type interrogatif.
Il est possible que + subjonctif : Il est possible qu'il vienne demain.
☞ Si au subjonctif présent, la plupart des verbes sont réguliers, il y a 10 verbes irréguliers à connaître : aller, avoir, être, faire, falloir*, pleuvoir*, pouvoir, savoir, valoir et vouloir.