Selon cette théorie, longtemps hégémonique, les premiers Américains sont venus d'Asie, il y a 13 000 ans, via le détroit de Bering alors asséché. Cette thèse est en passe d'être détrônée par la datation longue : les premiers Américains seraient plutôt arrivés dès - 30 000 et peut-être même bien avant.
Anthropologues et archéologues débattent depuis longtemps des origines des premiers occupants des Amériques. La thèse la plus communément acceptée est celle d'immigrants venus d'Asie qui ont traversé la bande de terre qui reliait la Sibérie et l'Alaska, aujourd'hui immergée sous le détroit de Béring.
En 1492, Christophe Collomb est donc le premier Européen a lancé un mouvement de colonisation de l'Amérique qui finira par aboutir.
On a découvert à Kennewick, sur la côte ouest des Etats-Unis, les ossements d'un homme vieux de près de 10 000 ans. Ce qui en fait l'ancêtre des Américains d'aujourd'hui. Or des analyses scientifiques ont établi que ce premier habitant du Nouveau Monde n'était pas, comme les Indiens, d'origine asiatique, mais Blanc.
Cependant, les trois principales et plus puissantes civilisations précolombiennes (ou amérindiennes) sont les Mayas, les Incas et les Aztèques. D'autres civilisations ont existé : la civilisation du Mississippi, les Anasazi, les Pueblos, les Hohokam, les Mogollon, les Toltèques, les Tépanèques, etc.
Soit pas moins de 42.8 millions de personnes d'origine allemande, suivies de 30.5 millions de personnes d'origine irlandaise, 24.9 millions d'Africains-Américains, 24.5 d'origine anglaise, 20.2 millions d'origine américaine (whatever this means), 18.4 millions d'origine mexicaine, 15.6 d'origine italienne, 9 millions d ...
Cela signifierait clairement que tous les Amérindiens auraient des ancêtres communs, le peuple de Béringie. Cette théorie a été confirmée grâce à l'étude d'un squelette découvert dans la glace. Le corps correspondrait à un enfant « Clovis » ayant vécu en Amérique du Nord il y a près de 12 700 ans.
Les études génétiques du chromosome Y montrent que les premiers Amérindiens sont venus de Sibérie centrale. La mappemonde d'Ernst Haeckel, publiée en 1884, situe l'origine de l'humanité dans une région hypothétique, nommée Lémurie.
Les premiers occupants de l'Amérique du Nord sont arrivés sur le continent lors de la dernière période glaciaire il y a de cela plus de 15 000 ans. S'adaptant au territoire pour survivre, ces Autochtones ont développé des traits culturels et des modes de vie propres à chaque communauté.
La colonisation de l'Amérique du Nord par les Européens commença dès la fin du XVIe siècle. Au cours des XVIIe et XVIIIe siècles, elle était menée essentiellement par trois pays, l'Espagne, la France et l'Angleterre, mais également, dans une moindre mesure, par la Hollande et la Suède.
Les premiers Européens ont accosté le continent nord-américain par le grand nord. Ces pionniers, sur lesquels planent encore beaucoup de mystère, sont des Vikings, sous la conduite d'un chef audacieux, Leif Ericsson, qui aurait fondé en l'An Mil une petite colonie sur la côte du Labrador, le Vinland.
Il se souvient que le « nouveau monde » avait été décrit par Vespucci et décide de nommer ces terres nouvelles Americus ou America, en son hommage.
La date est restée gravée dans toutes nos têtes d'écoliers : le 12 octobre 1492, Christophe Colomb découvre le Nouveau Monde. L'explorateur génois, qui débarque dans l'actuel archipel des Bahamas, croit avoir établi une route par l'Ouest entre l'Europe et le continent asiatique ("les Indes").
C'est confirmé, les vikings sont bien arrivés en Amérique 500 ans avant Christophe Colomb. Autour de l'an 1000, les vikings ont foulé le sol du continent américain, soit cinq siècles avant Christophe Colomb !
Ils auraient commencé à coloniser le continent il y a 15 000 ans par l'actuel détroit de Béring, qui était alors un passage terrestre reliant l'Amérique du Nord et l'Asie.
Les États-Unis d'Amérique sont fondés en 1776 à partir des colonies britanniques sur la côte Atlantique de l'Amérique du Nord. Dès 1775, la frustration provoquée par diverses pratiques de la Couronne britannique en matière d'impôts, conduit à la révolte des colons du Massachusetts.
DECOUVERTE AMERIQUE - En 1492, Christophe Colomb, à la tête d'une expédition espagnole pour atteindre les Indes, accoste sur une île des Caraïbes.
Désireux de s'affranchir de la métropole britannique et de gouverner par eux-mêmes, les colons des Treize colonies proclamèrent leur indépendance en 1776.
Peuplé peut-être d'environ 4 millions d'Amérindiens, l'espace nord-américain fait l'objet de convoitises européennes dès le xvie siècle et d'implantations coloniales au xviie siècle. Ce sont finalement les Britanniques qui dominent.
Il s'agit en réalité d'un explorateur viking, Leif Erikson.
Les Sioux sont sans doute les plus belliqueux des Indiens des plaines, avec les Blackfeet. Le mot « sioux » vient d'ailleurs de la contraction d'un nom algonquin, francisé par les trappeurs français, « nadowesiou », qui signifie « ennemi, serpent venimeux ».
Tous ces peuples parlaient des langues algonquiennes. Les communautés qui parlaient des langues algonquiennes figuraient parmi les nations autochtones les plus peuplées et les mieux organisées d'Amérique du Nord au moment de l'arrivée des Européens.
Parmi les grandes tribus qui subsistent encore aujourd'hui, on trouve les Sioux, les Navajos, les Pueblos, les Cheyennes, les Cherokees, les Comanches, les Iroquois, les Apaches, les Omahas, les Cris ou les Mohaves. Les natifs parlent l'une des 296 langues indigènes reconnues aux États-Unis.
Dès le XVIème siècle, ils se mettent à voler les chevaux aux espagnols et attrapent des maladies au contact des blancs qui décime des populations. Ces indiens, se peignaient le visage ainsi que certaines parties du corps et les blancs, en les découvrant, les surnommèrent les peaux rouges.