Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Lorsqu'on a un verbe qui est toujours impersonnel (c'est-à-dire un verbe qui ne s'utilise qu'à la troisième personne du singulier, comme falloir), on dira toujours ce qu'il. Avant de partir, je vérifie toujours si j'ai tout ce qu'il me faut.
Les subordonnées circonstancielles introduites par "que" obéissent aux mêmes règles : indicatif si le fait est considéré dans sa réalité, subjonctif si le fait est une simple possibilité ou mis en doute, conditionnel si le fait dépend d'une condition - exprimée ou non.
✓ Qui l' comprend le pronom interrogatif sujet ou le pronom relatif sujet qui et le pronom personnel élidé l' : Pierre parle d'un tableau qui l'intéresse : qui l'a vu ? ✓ Qu'il est la conjonction que ou le pronom relatif que élidés devant le pronom personnel il.
Rappel : De nombreuses expressions avec que (quoique, bien que, encore que, afin que, etc) sont généralement suivies du subjonctif. Je suis contente de te voir bien que tu sois en retard.
Pour reconnaître un verbe conjugué au conditionnel présent, tu dois mettre le verbe dans une phrase où il y a "si". Ex: Si tu veux venir, il faudrait que tu aies une invitation. Comme tu vois, le verbe conjugué au conditionnel présent est "falloir''.
Le conditionnel est principalement utilisé pour exprimer une condition, une hypothèse, une formule de politesse ou un souhait. Condition : Si j'avais le temps, je lirais une bibliothèque entière ! Hypothèse : Les pertes s'élèveraient à des milliards d'euros.
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Ce qui reste ou ce qu'il reste ? (sommaire)
Ainsi : ce qui restait d'élèves… (Pagnol) ; ce qui lui reste de sainteté (Maurois) ; ce qu'il lui restait à faire (R. Rolland) ; ce qu'il vous reste à découvrir (Duhamel). On peut donc écrire aussi bien : nous verrons ce qui se passera ou ce qu'il se passera.
Lorsque le verbe est suivi de son complément, on écrit plutôt ce qu'il : Jean demande ce qu'il plaît à Claire de faire (de faire est le complément de il lui plaît). Lorsque le verbe est employé seul, on écrit plutôt ce qui : Jean demande ce qui lui plaît.
Ces deux modes sont un peu différents même si parfois ils sont utilisés dans la même phrase. Il existe quatre temps du subjonctif : présent, passé, imparfait et plus-que-parfait.
En effet, si "avant que", qui exprime une antériorité dans le temps, est bien toujours suivi du subjonctif (avant qu'il soit parti), la formule "après que", qui exprime elle une postériorité dans le temps, doit être suivi de l'indicatif (après qu'il est parti).
Le subjonctif imparfait (ou l'imparfait du subjonctif) est un temps simple qui fait partie du mode subjonctif. Il sert à exprimer une action incertaine, non réalisée au moment de l'énonciation. Le subjonctif imparfait a la même valeur que le subjonctif présent, mais il est employé dans un texte écrit au passé.
Qui remplace un nom sujet. Exemple : Il attend son ami qui rentre de Toulouse. Que remplace un mot complément d'objet direct. Exemple : Voici le reportage que je regarde en ce moment.
Ce qui est sujet du verbe qui suit. Ce que (ce qu') est complément direct. Il est généralement suivi d'un sujet et d'un verbe.
Pas de doute, on écrit toujours « qu'il ait » ou « qu'elle ait ». La forme conjuguée du verbe avoir « aie » existe, mais correspond ou bien au mode subjonctif à la première personne du singulier du subjonctif (« que j'aie »), ou bien au mode impératif à la deuxième personne du singulier (« aie ! »).
Mais revenons à la question posée. «Qui» est un pronom relatif sujet. «Qu'il» est une tournure impersonnelle. On emploiera «qui» avec des verbes personnels «qu'il» avec des verbes impersonnels.
Ce qu'il m'arrive. Avec un antécédent nominal, l'emploi personnel (la malchance qui m'arrive) est plus fréquent que l'emploi impersonnel (la malchance qu'il m'arrive). Avec le pronom ce comme antécédent, les deux emplois sont fréquents : ce qui m'arrive ou ce qu'il m'arrive.
Il faut écrire: Qu'est-ce qu'il t'est arrivé ?
Lorsque la principale est au conditionnel présent, on peut mettre la subordonnée soit au présent soit à l'imparfait du subjonctif même si dans la pratique, on utilise plutôt le présent du subjonctif dans ce cas-ci. - il faudrait qu'il vienne demain ou il faudrait qu'il vînt demain.
Je suis donc réservé sur le couple présent + imparfait : encore faudrait-il que tu le voulusses. Le couple présent + présent est plus simple : encore faudrait-il que tu le veuilles.
Le futur simple exprime une action à venir. Demain, j'irai au zoo. Elle verra ses grands-parents pendant les vacances. Le conditionnel présent exprime une hypothèse, un souhait ou une condition.
Au cas où ça pourrait t'être utile, je le ferai (futur). => Je suis prêt à te rendre service (et je pense que tu vas me demander de le faire). Au cas où ça pourrait t'être utile, je le feraiS (conditionnel). => Je ne pense pas que ce soit utile mais je suis prêt à le faire si tu insistes.
Le conditionnel comprend trois temps : le présent (temps simple), le passé (temps composé) première forme et le passé deuxième forme. Il est le mode de l'irréel, de l'hypothétique.