Le MOINS l'emporte sur le PLUS. Le MOINS et le MOINS se retournent en PLUS.
Règle 1: Pour additionner des nombres de même signe on garde le signe et on ajoute les valeurs. Règle 2: Pour additionner des nombres de signes différents, on prend le signe de celui qui a la plus "grande valeur" et on fait "plus grand moins plus petit".
Règle des signes : Lorsqu'on divise deux nombres relatifs : – s'ils sont de même signe, le résultat est positif ; – s'ils sont de signe contraire, le résultat est négatif.
Pour savoir si un nombre est positif ou négatif il faudra savoir s'il est supérieur ou égal ou inférieur ou égal à 0. On traduira donc « a est un nombre positif » par « ».
Le signe < se lit "est inférieur à" et signifie que le nombre à gauche du signe est plus petit que le nombre à droite. > se lit "est supérieur à" et signifie que le nombre à gauche du signe est plus grand que le nombre à droite.
Il faut savoir que des mathématiciens sont allés encore plus loin. Ils ont nommé un nombre encore plus grand : le "Googolplex", c'est un 1 suivi d'un googol de zéros, un nombre si immense qu'il y a davantage de zéros dans l'écriture de ce nombre que d'atomes dans l'univers.
Le symbole > se lit « est plus grand que » ou « est supérieur à ». Exemple : 10 > 5.
Si le montant de l'achat est diminué par une offre promotionnelle, alors le solde se voit augmenter, ce qui traduit la logique élémentaire se cachant derrière la règle du « moins par moins donne plus ».
En français, le nombre zéro est considéré tantôt comme étant à la fois positif et négatif, tantôt comme n'étant ni positif, ni négatif.
Notre cerveau en réalité fonctionne ainsi depuis la nuit des temps. En effet cela fait partie de notre instinct de survie; le fait que notre cerveau enregistre en priorité les évènements négatifs lui permet d'activer tout un processus afin de mémoriser au mieux la situation et de pouvoir réagir au plus vite.
Additionner deux nombres entiers négatifs (-,-)
On procède comme avec les entiers positifs, mais avec le sens négatif des nombres. La somme de deux nombres entiers négatifs donne toujours un nombre entier négatif. Puisque les deux nombres, −6 et −3, sont négatifs, la réponse sera négative aussi.
En arithmétique ordinaire, le nombre 0 n'a pas de signe, de sorte que −0, +0 et 0 sont identiques.
La multiplication de deux nombres négatifs donne un résultat positif: (−2) · (−3) = 6.
Le produit deux nombres négatifs est positif.
En effet, si l'on additionne deux nombres négatifs, on obtient un résultat négatif avec une distance à zéro supérieure à celle de chacun des termes de l'addition. Souvenez-vous, les pertes s'accumulent … ! Voici quelques exemples où l'on multiplie un négatif par un négatif.
Priorités de calcul : Les calculs se font dans l'ordre des priorités suivant : 1/ Les calculs entre parenthèses 2/ Les puissances 3/ La multiplication et la division 4/ L'addition et la soustraction 5/ En cas d'opérations de mêmes priorités, de gauche à droite.
Non, on ne peut pas démontrer que 1+1=2. C'est effectivement une convention que les mathématiciens ont choisit pour s'entendre. En fait, il faut plutôt considérer que 2 est le nombre qui vaut 1+1. Ce qui devient une définition plus qu'une convention.
Est-ce que 0 est un nombre entier ? Les nombres naturels positifs (1, 2, 3, 4,...) et les nombres naturels négatifs (...) sont considérés comme des négatifs. Le zéro est le seul nombre entier qui n'est ni positif ni négatif.
Pour comparer deux nombres décimaux on utilise les symboles > ou = . Le signe , signifie « est inférieur à » ou « est strictement inférieur à » ou « est plus petit que ». Le signe >, signifie « est supérieur à » ou « est strictement supérieur à » ou « est plus grand que ».
Un nombre est dit positif s'il est supérieur ou égal à zéro ; il est dit négatif s'il est inférieur ou égal à zéro. Le nombre zéro lui-même est donc à la fois positif et négatif. Le signe arithmétique est souvent noté à l'aide des signes algébriques « + » et « − » (plus et moins), notamment dans un tableau de signe.
Règle : pour soustraire un nombre, il faut additionner son opposé. Exemples : (–13) – (–9) = (–13) + (+9) = – 4 On transforme la soustraction en addition et on prend l'opposé de –9 qui est +9.
Les signes plus (+) et moins (−) sont utilisés pour représenter les opérations d'addition et de soustraction dans une forme aujourd'hui reconnue internationalement. Ils peuvent avoir d'autres significations analogues, reconnues de manière généralement plus locale.
Parce que le calcul est très utile !
Par exemple, nous pourrions dire que 2 garçonnets + 2 fillettes = 4 enfants. Mais qu'en est-il de 2 tranches de pain + 2 tranches de jambon ? Cela fait 1 sandwich. Pour calculer, il faut accepter les chiffres pour ce qu'ils représentent, c'est-à-dire pas grand-chose.
Le signe > signifie que le nombre situé à gauche de > est plus grand (ou supérieur) que celui situé à droite de >. Le signe < signifie que le nombre situé à gauche de < est plus petit (ou inférieur) que celui situé à droite de <. Exemples : 5 > 3 signifie que 5 est supérieur à 3.
Le symbole < se lit « est plus petit que » ou « est inférieur à ». Exemple : 5 < 10. Le symbole > se lit « est plus grand que » ou « est supérieur à ». Exemple : 10 > 5.
Un nombre naturel est divisible par trois si la somme de ses chiffres en base dix est divisible par 3. Par exemple, le nombre 21 est divisible par trois (3 fois 7) et la somme de ses chiffres est 2 + 1 = 3.