INVARIABLE : "Je ne sais pas ce qui m'a pris de…" Le participe est invariable dans cette expression; le pronom réfléchi est complément d'objet indirect. On dira donc "Je ne sais pas ce qui LUI a pris" et non "ce qui l'a, les a pris ou prise(s)".
Dans la phrase «il m'a mise au courant», on va se demander «il a mis au courant qui?» Le «m'» constitue donc ici un COD. On pourra donc faire l'accord. La phrase correcte est: «Il m'a mise au courant».
le participe passé "fait", employé avec le verbe AVOIR, s'accorde en genre et en nombre avec le COD, s'il est placé avant le verbe, ce qui est le cas ici:" qu'", mis pour proposition, est le COD du verbe faire. il faut donc écrire ce participe passé au féminin singulier,(comme proposition, F,S), soit FAITE.
Dans il a pris , le mot pris est le participe passé du verbe prendre . Il est précédé de l'auxiliaire avoir ( il a ). Quand il y a l'auxiliaire avoir , comme ici, c'est le signe que le mot qui suit est un participe passé.
après le participe passé d'un verbe transitif entraîne l'invariabilité du participe. Elle s'est pris une réflexion, une veste, un râteau, un bide, un savon, un coup, une claque… Je suis la seule à m'être pris une réflexion, une veste, un râteau, un bide, un savon, un coup, une claque…
Exemples : la décision qu'elle a prise , les photos qu'elle a prises . Mais quand le mot qui désigne ce qu'elle a pris est après le verbe, pas d'accord : elle a pris une décision , elle a pris des photos .
Exemple : ''J'ai pris le livre.'' « J'ai pris » est la conjugaison correcte du verbe « prendre » à la première personne du singulier au passé composé de l'indicatif. En effet, le participe passé de ce verbe du 3e groupe est « pris », et non « prit ».
Tu dois donc conjuguer à la troisième personne : Je suis la femme qui prend. De même, au pluriel, la phrase Nous sommes les femmes qui prennent sonne mieux que Nous sommes les femmes qui prenons… Bonne journée.
Le passé composé est un temps composé : auxiliaire être ou avoir au présent + verbe au participe passé. On l'utilise pour raconter un événement passé, terminé et limité dans le temps.
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) ! Sors (3e groupe) !
Pourquoi n'écrit-on pas « elle m'a demandée » ? Parce que le pronom m'est complément d'objet indirect (COI) du verbe demander, conjugué au passé composé. Le participe passé est donc invariable. La formule « elle m'a demandé » équivaut à dire : elle a demandé à moi.
Dans elle m'a contacté , le mot contacté ne s'accorde pas d'office avec le sujet elle . Si c'est un homme qui écrit, il est incorrect de mettre contactée au féminin.
Le participe passé employé avec avoir s'accorde avec le complément d'objet direct (COD) s'il est placé avant le verbe. Pour trouvez le COD, vous devez prendre le sujet, le verbe et ensuite poser la question « qui » ou « quoi ». Dans la phrase, les fleurs que Patrick m'a envoyées étaient vraiment jolies.
On accorde le participe passé permis si la chose qui a été permise est désignée dans la phrase avant le verbe et qu'elle est du genre féminin, permis, dans ce cas, s'accorde en genre et en nombre. Exemples : Les économies qu'elles m'ont permises ont payé mon voyage.
M'as est le pronom personnel m' accompagné du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif à la 2e personne du singulier. M'a est le pronom personnel m' accompagné du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif à la 3e personne du singulier.
On écrit elle m'a permis , avec un s .
L'imparfait est principalement utilisé pour exprimer une action passée pouvant durer, être habituelle ou répétée. Il peut avoir trait au déroulement d'une action et être également employé pour faire état de descriptions.
Le plus-que-parfait est un temps du passé. Il précise qu'une action s'est déroulée avant une autre qui a déjà eu lieu dans le passé. Cette action peut être exprimée avec un passé composé, un imparfait ou un passé simple.
1. Mode du verbe qui sert à présenter l'action comme une éventualité ou comme la conséquence d'un fait supposé, d'une condition. (Le français possède un conditionnel présent [j'aimerais] et un conditionnel passé [j'aurais aimé] dont il existe une variante littéraire [j'eusse aimé].)
On utilise le passé composé pour exprimer un fait s'étant produit dans le passé et qui est terminé dans le présent. J'ai enfin complété ce devoir. J'ai mangé des fruits ce matin. Elle est arrivée très tôt dans la soirée.
"temps" et "camp", ces deux mots proviennent du latin. Le premier, "temps", vient du latin "tempus". Le second, "camp", vient du latin "campus", tout comme le mot "champ", d'ailleurs.
Le participe passé du verbe prendre est pris. Exemple : Il a pris des antibiotiques pendant une semaine, mais ne se sent pas mieux. La forme prit correspond à la 3e personne du singulier du verbe prendre au passé simple de l'indicatif. Exemple : Il prit la suite de son père et devint notaire en 1965.