Le phimosis est un phénomène normal, puisque le nouveau-né présente un prépuce long et serré, avec un orifice souvent étroit, qui adhère au gland. Généralement, ce phimosis n'a aucune conséquence gênante et disparaît spontanément.
On applique localement un dermocorticoïde, pendant quatre à six semaines. Cela assouplit le prépuce et supprime les petites adhérences de la peau sur le gland. Un décalottage-recalottage peut alors être effectué en douceur, au besoin en employant une crème anesthésique.
Grâce aux manipulations de l'enfant et aux érections spontanées, ces adhérences vont progressivement se libérer et le bout du prépuce s'élargira permettant le décalottage. Même si cela est variable selon les enfants, généralement le prépuce peut être complètement décalotté vers 3, 4 ans chez la majorité des enfants.
Pour l'hygiène et pour le confort des rapports sexuels, lorsque le phimosis occasionne trop de gêne, on procède à une petite intervention chirurgicale qui élargit l'orifice ou ôte le prépuce (circoncision). C'est une chirurgie légère qui peut se pratiquer en ambulatoire : arrivé le matin, on rentre chez soi le soir.
Il est normal de se préoccuper de ce problème à ton âge, même si, apparemment, le fait de ne pas pouvoir décalotter ne t'avait pas inquiété auparavant. Il s'agit vraisemblablement de ce que l'on appelle un phimosis, lié à une étroitesse du prépuce ou du capuchon.
Pour commencer, il faut réaliser des exercices d'étirement du prépuce, et cela pendant plusieurs semaines (environ 2 mois). Vous pouvez le faire sous la douche. Cela suffit souvent quand le prépuce n'et pas trop serré ce qui semble être votre cas, puisque vous pouvez tout de même décalotter sans érection.
Parce qu'il y a de nombreux corpuscules nerveux destinés à la volupté et au plaisir dont la stimulation peut se transformer en douleur. Evitez d'utiliser des crèmes anesthésiantes, vous ne sentiriez plus rien pendant les stimulations sexuelles et cela gênerait votre érection.
Seul 1% des adolescents est atteint d'un phimosis. Qu'il touche l'adulte ou l'enfant, le phimosis ne nécessite un traitement que lorsqu'il est symptomatique. En effet, il peut occasionner des douleurs et des difficultés à la miction et lors de l'activité sexuelle à partir de la puberté.
On parle de phimosis lorsque l'ouverture du prépuce est si étroite qu'il devient difficile de rétracter celui-ci vers l'arrière sur le gland en direction du corps.
masse ou lésion sur le pénis. changement de la couleur du pénis – il est possible qu'on doive relever le prépuce pour voir la région décolorée. masse ou épaississement de la peau du pénis. rougeur ou irritation sur le pénis.
Le plus souvent, le phimosis est la conséquence d'un prépuce (le morceau de peau qui recouvre le gland) trop serré. Il se traduit par une impossibilité de découvrir le gland du pénis. Le phimosis est un phénomène habituel chez les petits garçons qui se résout spontanément en grandissant.
En quoi consiste le traitement ? En première intention le médecin peut prescrire une crème à base de corticoïdes afin d'assouplir la peau du prépuce et permettre le décalottage. Si au bout d'1 mois de ce traitement il n'y a pas d'amélioration, alors il faut envisager de passer par la chirurgie.
Pincer l'orifice du prépuce (repli de peau qui recouvre et protège le gland) entre pouce et index. Tirer votre prépuce vers le haut comme pour l'allonger et le faire dépasser du gland. Uriner dans votre prépuce jusqu'à le distendre, séparant ainsi le prépuce du gland en formant un petit ballonnet.
Les urologues sont les médecins qui connaissent le mieux le tableau clinique du phimosis et qui le traitent. Le diagnostic ou la suspicion d'un rétrécissement du prépuce peut certainement aussi être posé par le médecin de famille ou le pédiatre, puis adressé à un urologue.
Pour aider à décalotter, un spécialiste peut prescrire des crèmes corticoïdes, qu'il est conseillé d'appliquer 1 heure avant le bain, pendant quelques semaines. Elles vont permettre d'obtenir une meilleure élasticité de la peau et d'éviter la chirurgie.
Cette crème doit être appliquée deux fois par jour de préférence le matin après une miction et le soir, après les soins d'hygiène et une miction. Mettre environ 0,5 millilitre, de crème prescrite, dans une seringue sans aiguille après avoir retiré le piston. (La crème étant très épaisse, elle ne peut être aspirée).
Nettoyez à l'eau savonneuse sous la douche, surtout pas de bain. Pour éviter l'infection, passez un antiseptique sans alcool, puis une pommade anesthésiante trois fois par jour. La semaine suivante, appliquez une crème grasse, du genre vaseline, en très grande quantité au moins deux fois par jour.
Un phimosis peut aussi occasionner des infections (balanite infectieuse). Certains adolescents comme de jeunes adultes ont simplement un manque de souplesse du prépuce, qui a de la difficulté à se rétracter en érection ou lors d'une activité sexuelle.
Il s'ensuit un étranglement et un gonflement du gland par l'anneau préputial (ou orifice préputial) avec douleur et réduction de la circulation sanguine du pénis. L'intervention rapide, voire urgente du médecin est nécessaire.
Certains phimosis apparaissent à l'âge adulte sur un prépuce antérieurement sain. Toutes ces causes ont la même conséquence : le prépuce perd son élasticité et le décalottage devient difficile, douloureux voir impossible.
L'érection masculine est l'action au cours de laquelle le pénis du garçon* devient dur, raide, car il se remplit de sang. Il s'agit d'un réflexe sexuel qui témoigne d'un bon fonction- nement de l'organe. Cela peut arriver à n'importe quel âge, même chez les bébés, et à n'importe quel moment.
Le pénis est recouvert d'un anneau de tissu appelé prépuce. Normalement, le prépuce est lâche et rétractable pour exposer le gland (la tête du pénis). En cas de paraphimosis, le prépuce est si enflé et serré autour du membre qu'il ne peut pas se rétracter pour recouvrir le gland.
Pour en revenir à la question, quand le prépuce est enlevé, il ne repousse pas mais il y a quand même des solutions. Théoriquement on peut, en prenant de la peau, et en la faisant pousser, recoudre un morceau sur ce qui reste du prépuce.