On écrit « vue » ou « vu » ? Règle 1 : lorsque « vu » est placé devant un nom ou un pronom, alors il s'écrit toujours sans -e et est invariable (c'est le cas lorsqu'il est placé en début de phrase). « Vu » prend alors le sens de « étant donné » et peut être remplacé par celui-ci.
On distingue donc la vue, nom féminin qui prend un e final, et vu, sans e final, préposition qui équivaut à étant donné. Ici on pourrait dire : « Étant donné les circonstances, je ne partirai pas en vacances. », c'est donc vu sans e qu'il faut utiliser.
Nous avons vus, vue et vues, avec des s et des e
Ainsi, on écrit la maison que nous avons vue (accord avec maison , au féminin), les points que nous avons vus tous les deux (accord au pluriel avec points ), les modifications que nous avons vues ensemble (accord avec modifications ).
Ils nous ont donnés avec un s
La règle qui s'applique, c'est que le participe passé donné ne peut s'accorder qu'avec le complément d'objet direct du verbe donner (c'est-à-dire le fameux mot qui désigne ce qu'ils ont donné), mais seulement si celui-ci est placé avant le verbe.
Elles m'ont apportées, avec -es
D'après la règle qui s'applique, le participe passé apporté s'accorde avec le complément d'objet direct du verbe apporter (c'est-à-dire le fameux mot qui désigne ce qu'elles ont apporté), mais seulement si celui-ci est placé avant le verbe.
Exemple : Elle m'a informée de votre venue. Ici, le pronom m' est le complément d'objet direct du verbe informer. Il représente une personne de sexe féminin. Étant placé avant l'auxiliaire avoir, il impose l'accord au féminin : informée.
m'ont : pronom personnel me (e élidé devant une voyelle) suivi d'une forme du verbe avoir à la 3e personne du pluriel. m' est complément direct : « Tes chiens m'ont poursuivi », ou complément indirect du verbe : « Ces livres m'ont appartenu ». On peut le remplacer par m'avaient. Elles m'ont téléphoné.
Par conséquent, on accorde le participe passé « reçu » au féminin singulier, d'où : « la trottinette que j'ai reçue ». En revanche, l'autre participe passé, plu, ne s'accorde pas. Pourquoi ? Parce qu'on pose la question : La trottinette que j'ai reçue a plu à qui ?
le participe passé "fait", employé avec le verbe AVOIR, s'accorde en genre et en nombre avec le COD, s'il est placé avant le verbe, ce qui est le cas ici:" qu'", mis pour proposition, est le COD du verbe faire. il faut donc écrire ce participe passé au féminin singulier,(comme proposition, F,S), soit FAITE.
La locution en vue de, qui signifie « de manière à permettre, à préparer (une fin, un but) », est synonyme de pour. Certains auteurs font une nuance entre en vue de et pour. En effet, pour indiquerait un but rapproché et en vue de marquerait un but éloigné.
Ici, le terme «vu» est placé devant un nom, employé sans auxiliaire. Il a donc le rôle de préposition et est par conséquent invariable.
Rappel : Le participe passé ne s'accorde jamais avec le sujet quand on emploie l'auxiliaire avoir. Elle a rencontré une célébrité. Ils ont fini la bouteille. Mais le participe passé s'accorde avec le complément d'objet direct (COD) quand il est placé avant le verbe.
On écrit toujours « en vue ». Exemple : Nous avons pris des mesures en vue de mieux garantir votre sécurité.
Dans la plupart des cas, on écrit j'ai vu sans rien au bout, et parfois j'ai vue avec un e et j'ai vus avec un s (ou les deux).
– « On s'est vu » est incorrect, car le participe passé doit s'accorder avec le sujet. « On s'est vus » est la forme correcte, avec un « s » à la fin de « vus » pour accorder le participe passé avec le sujet pluriel.
Exemple : ''Elles m'ont soutenu pendant cette dure épreuve.'' Dans le segment de phrase « elles m'ont soutenu », le participe passé « soutenu » est employé avec l'auxiliaire avoir. Dans un tel contexte, il ne s'accorde pas avec le sujet « elles ».
La réponse simple. On écrit toujours « elle m'a demandé » lorsque le complément, objet de la demande, est placé après le verbe. Exemple : Elle m'a demandé de préparer un poulet basquaise pour midi.
Exemple : Elle m'a toujours conseillée, car elle me considère comme sa fille. Ici, le pronom m' est le complément d'objet direct du verbe conseiller. Il représente une personne de sexe féminin. Étant placé avant l'auxiliaire avoir, il impose l'accord au féminin : conseillée.
Ainsi, si m' désigne un homme, l'accord se fait au masculin et on écrit aidé . Si m' désigne une femme, on accorde aidée au féminin, donc en ajoutant un e à la fin : elles m'ont aidée .
« On » est un pronom indéfini. « Ont » est le verbe « avoir » conjugué. Si vous pouvez remplacer le terme qui pose problème par « avaient » (imparfait de l'indicatif), alors il s'agit du verbe « avoir » conjugué à la 3e personne du pluriel du présent de l'indicatif (« ont », avec un t) : Ces clémentines ont des pépins.
On accorde le participe passé permis si la chose qui a été permise est désignée dans la phrase avant le verbe et qu'elle est du genre féminin, permis, dans ce cas, s'accorde en genre et en nombre. Exemples : Les économies qu'elles m'ont permises ont payé mon voyage.
Le participe passé conjugué avec l'auxiliaire "avoir" ne s'accorde pas avec le sujet du verbe mais avec un COD placé avant l'auxiliaire. C'est pourquoi "encouragé" s'écrit au singulier ici, puisqu'il s'accorde avec le COD masculin "m'".
Les erreurs à éviter
On n'écrit pas elles m'ont permit avec un t , ni elles m'ont permi . De plus, permis ne s'accorde pas avec le sujet elles ni avec m' , on n'écrit pas elles m'ont permise de participer , elles m'ont permises de venir .