Évitez de prendre de la prednisone si vous avez fait une réaction allergique à ce médicament. Les personnes atteintes d'une mycose généralisée doivent éviter de prendre ce médicament.
À fortes doses, les corticoïdes répriment l'activité du système immunitaire (effet immunosuppresseur) et de ce fait peuvent augmenter le risque d'infection.
Les corticoïdes entraînent les effets suivants :
– Rétention en eau et en sel avec prise de poids, gonflement du visage, œdèmes des membres inférieurs et augmentation de la pression artérielle (risque d'hypertension). – Perte urinaire de potassium et de calcium favorisant le risque éventuel d'ostéoporose.
A titre indicatif : 1 à 4 comprimés par jour chez un adulte de 60 kg. Au cours des maladies inflammatoires graves, la posologie varie de 0,75 à 1,2 mg/kg/jour. A titre indicatif : 2 à 4 comprimés par jour pour un adulte de 60 kg. Des situations très exceptionnelles peuvent requérir des doses plus élevées.
Les effets indésirables les plus fréquents de ce traitement sont l'apparition de bleus, l'élévation de la tension artérielle, la rétention d'eau et de sel pouvant entraîner une insuffisance cardiaque, des troubles de l'humeur et/ou du sommeil, une prise de poids, un gonflement et une rougeur du visage, une poussée ...
Son action est utile dans le traitement de nombreuses affections inflammatoires ou allergiques. À fortes doses, ce médicament diminue les réactions immunitaires et est donc également utilisé pour prévenir ou traiter le rejet des greffes d'organes.
La pratique du sport est très efficace dans le processus d'élimination de la cortisone du corps. En effet, lorsque vous faites des exercices physiques quels qu'ils soient, vous transpirez. Cette transpiration est un excellent moyen pour évacuer les déchets se trouvant dans votre corps.
En raison de cet effet secondaire, ils sont utilisés avec une grande précaution en cas d'infection. L'administration par voie orale et intraveineuse peut entraîner une hypertension artérielle, une insuffisance cardiaque, un diabète, des ulcères peptiques et une ostéoporose, ou aggraver ces affections.
Description : l'hypertension artérielle induite par la cortisone est souvent modérée et ne se manifeste habituellement par aucun symptôme. Le diagnostic est en général posé par le médecin lors de la mesure de la pression artérielle en consultation.
Au niveau de l'alimentation, je vous suggère de réduire vos apports en sodium (viandes transformées/charcuteries, aliments en conserves/jus de légumes, fromages, sauces, condiments, repas surgelés et pré-préparés) et en sucres concentrés (sucre, cassonade, miel, produits d'érable, confitures, tartinade de chocolat et ...
Les risques d'ulcère à l'estomac et de pancréatite induits par les corticoïdes sont extrêmement faibles. En revanche, les corticoïdes peuvent aggraver un ulcère à l'estomac préexistant. Sujets à risque : les patients aux antécédents de maladies digestives (notamment d'ulcère) sont plus à risque.
Après un traitement de longue durée par la prednisone, l'abandon soudain du médicament peut entraîner des symptômes de sevrage cortisonique, entre autres des nausées, de la fatigue, une perte d'appétit, une fièvre, des douleurs musculaires ou articulaires, et un malaise généralisé.
Il ne faut pas combiner les anticoagulants, les anti-vitamines K et les antibiotiques avec de l'alcool. En effet, il existe un risque que l'effet augmente ou diminue après avoir été métabolisé ensemble dans le foie. C'est le cas par exemple de la warfarine qui prévient la formation de caillots sanguins.
Il est utilisé dans le traitement de certaines maladies graves (cancer, sclérose en plaques, rhumatisme articulaire aigu par exemple), mais également de maladies plus bénignes (allergie, crise d'asthme, sinusite aiguë, otite). Dans ces derniers cas, le traitement est souvent court.
Cependant, selon divers essais cliniques, d'autres molécules pourraient être utilisées : les corticoïdes (par exemple le prednisolone). Ils représentent bel et bien une option thérapeutique supplémentaire pour soulager les maux de gorge.
Au cours des maladies inflammatoires graves, la posologie varie de 0,75 à 1,2 mg/kg/jour. A titre indicatif : 2 à 4 comprimés par jour pour un adulte de 60 kg. Des situations très exceptionnelles peuvent requérir des doses plus élevées. La posologie doit être adaptée à l'affection et au poids de l'enfant.
L'insomnie est un effet secondaire fréquent des corticoïdes, mais pas systématique. Les effets secondaires dépendent de la dose et de la durée du traitement.
Augmenter les aliments riches en Potassium, pour limiter la rétention d'eau : Bananes, figues, abricots secs, autres fruits secs et graines oléagineuses, légumes-racines.
Sur un traitement à long terme (au moins 5 semaines), une alimentation équilibrée, limitée en sel et en glucides est donc indispensable. Et pour éviter les reflux gastriques accrus par la prise de cet anti-inflammatoire, il faut aussi limiter les aliments acides, le thé, le café, les boissons gazeuses.
Toute personne ayant un jour pris de la cortisone (cortisol de synthèse anti-inflammatoire) a constaté que cette molécule fait gonfler. C'est la même chose avec le cortisol naturel. Le gros défaut du cortisol qui nous intéresse ici, c'est qu'il favorise la rétention hydro-sodée et la fabrication de graisse abdominale.
Ces médicaments diffèrent par leur présentation : La prednisone se présente sous forme de comprimé ou de comprimé sécable ; La prednisolone se présente sous forme de comprimé orodispersible (à faire fondre dans la bouche) ou effervescent, sécable ou non (à faire fondre dans un verre d'eau).
Les corticostéroïdes pourraient améliorer les symptômes du mal de gorge en réduisant l'inflammation des voies respiratoires supérieures.
En rhumatologie, elle est utilisée de façon prolongée dans les maladies inflammatoires chroniques, telle que la polyarthrite rhumatoïde, les vascularites (la maladie de Horton, la maladie de Wegener...) ou les maladies générales (le lupus érythémateux disséminé, le syndrome de Goujerot Sjögren...).