L'haptophobie, ou la phobie du contact humain. La peur phobique d'être touché·e, appelée haptophobie, peut gâcher les relations humaines et professionnelles.
Partant de ce constat, le rejet des caresses peut ainsi trouver ses origines dans le passé. "Dès lors que l'on est dans la difficulté à recevoir des caresses, cela pose la question du traumatisme, au sens physique du terme, c'est-à-dire être battu ou touché contre mon gré", précise-t-il.
La sensation éprouvée par l'haptophobe peut se caractériser par des frissons et une angoisse. Il se peut aussi qu'il fasse une crise d'angoisse lorsqu'il est dans un lieu où il est collé à d'autres personnes.
Les gens qui ont été élevés dans un "foyer tactile" ont tendance à reproduire à l'âge adulte ces gestes facilement. A l'inverse, celles et ceux qui ont grandi sans être noyés de câlins et de bisous sont en grandissant en général plus réservés, moins enclins au contact. Il existe également un phénomène de manque.
Peur maladive, démesurée et irraisonnée des microbes, de la crasse, et des germes. Exemple : Marie se lave les mains 20 fois par jour, et porte des gants protecteurs en été comme hiver, car elle est atteinte de mysophobie.
nyctophobie , subst. fém., pathol. ,,Crainte morbide de la nuit ou de l'obscurité`` (Méd. Biol.
Définition. La scopophobie est un trouble anxieux caractérisé par une peur morbide d'être vu ou observé par autrui.
L'haptophobie, ou la phobie du contact humain.
Peut-être ne se sent-elle pas encore autorisée à manifester de nouveau sa tendresse à un homme, peut-être n'a-t-elle pas encore fait complètement son deuil, ou alors n'est-elle pas habituée à manifester son affection par des gestes.
Lorsqu'on focalise trop sur le négatif, on en oublie les beaux moments. Sa façon à lui de vous démontrer son amour peut être dans les petites attentions, aussi minimes soient-elles. C'est permis de critiquer, mais il faut aussi être à l'écoute de l'autre.
sensation de poids, , angoisse d'abandon, jalousie, symptômes physiques (allergie, syndrome de fatigue chronique, stress…), maladies, manque d'affirmation de soi (phobie sociale) ou réussite sociale, inhibition de l'action, accès de rage, violence, ruptures à répétition, difficulté à faire le deuil d'une relation.
Ce rejet de l'autre et de la relation amoureuse apaisée pourrait relever de la théorie de l'attachement. Il se cache probablement dans votre passé, peut-être lointain, une raison, un souvenir, qui vous empêche de croire que vous avez le droit d'aimer et d'être aimée.
Le sujet borderline se consumme en essayant d'établir des relations exclusives où le risque d'abandon n'est pas envisageable, mais une fois l'intimité atteinte, la relation désirée, surgit l'angoisse de pouvoir être dévoré par l'autre.
Selon deux auteurs sur le sujet, la peur de l'intimité est l'expression de l'idée existentielle qu'aimer et être aimé fait paraître la vie plus précieuse et la mort plus inévitable. Elle est souvent la conséquence de traumatismes passés tel qu'un viol ou un abus sexuel subi dans l'enfance.
Nom de la phobie de la foule
La phobie de la foule est aussi dénommée Ochlophobie ("ochlo" signfie "foule" en grec).
Le contact tactile, le « toucher » ou «haptique» est une thérapie confirmée par cette étude néerlandaise, même lorsqu'il s'agit de contact avec un objet inanimé, mais chargé d'émotion, comme un ours en peluche. Les personnes ayant une faible estime de soi sont souvent confrontées à des angoisses existentielles.
Il n'est pas pressé de vous revoir
Autre indice qui montre qu'un homme n'est pas amoureux de vous : la fréquence de vos rendez-vous. Bien sûr, repousser un dîner ou ne pas vous voir pendant 2 semaines ne veut pas toujours dire qu'il n'est pas intéressé, mais ça n'est pas un signe très encourageant.
Vide que l'on ressent au fond de soi et qu'il est bien-sûr, pour vous sentir mieux, impératif de remplir. La solution la plus simple consisterait à combler ce vide en allant chercher à l'extérieur de soi, donc chez l'autre. Chez des amis, dans la famille mais le plus souvent on part à la recherche d'un amoureux(se).
insociable adj. Qui n'est pas sociable, difficile à vivre.
La pantophobie est la peur de tout. Cette phobie très particulière est principalement associée à des attitudes mélancoliques qui enferment le sujet dans la remémoration continuelle du passé (avec la phrase récurrente : "c'était beaucoup mieux avant !").
La dysmorphophobie est souvent associée à d'autres troubles psys : dépression, troubles du comportement alimentaire, troubles maniaco-dépressifs, anxiété, troubles obsessionnels compulsifs et autres phobies (agoraphobie notamment).
Dans une situation comme dans l'autre, ce sentiment de gâcher sa vie est concomitant d'une relation conflictuelle à soi-même. Il s'accompagne souvent d'une souffrance psychique qui peut rendre le quotidien très problématique, jusqu'à obstruer les perspectives d'avenir.
Certaines personnes se préoccupent excessivement de l'impression que les autres se font d'elles. En fait, elles essayent de faire tout ce qu'elles peuvent pour projeter une image déterminée. De façon inconsciente, les autres détectent cette superficialité ou ce jeu qui produit un rejet.
La peur de mal faire, qui relève essentiellement du manque de confiance en soi. La peur de la responsabilité que cela suppose d'aider l'autre et qui effraie ou qui semble surdimensionnée ; là encore un manque de confiance en soi.