QUI ou QU'Y ? Dans QU'Y vous avez QU' pronom interrogatif 'que' élidé devant le Y. QUI, pronom interrogatif ne s'emploie que pour les animaux et les personnes.
Qui remplace un nom sujet. Exemple : Il attend son ami qui rentre de Toulouse. Que remplace un mot COD (complément d'objet direct). Exemple : Voici le reportage que je regarde en ce moment.
Bonjour, Qui ou qu'il ? Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle. La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable.
Le pronom y remplace un complément de lieu. Ce complément de lieu (le lieu où l'on est, le lieu où l'on va) est généralement précédé d'une préposition comme “à”, “dans“, “chez“, “sous“, “en” etc. Il répond à la question “où ?” et peut être remplacé par le pronom “y”.
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Quel que, quelle que, quels que, quelles que s'emploient dans des expressions construites avec être au subjonctif et s'écrivent en deux mots. Quel, adjectif indéfini, s'accorde avec le sujet du verbe dont il est attribut, et que est conjonction de subordination. Exemple : Quel que soit ton rang, tu entendras bien.
La conjonction "après que" est suivie d'un indicatif et non pas d'un subjonctif : Le médecin est reparti après qu'il a examiné le patient. Les verbes "décider" et "espérer" sont suivis d'un indicatif même s'ils expriment une opinion.
Le pronom y représente le plus souvent des noms de choses ou d'animaux. Il correspond généralement à un complément introduit par à : je vais à la poste, j'y vais ; il n'a pas répondu à ma question, il n'y a pas répondu. (Mais on dit, avec un complément nom de personne : il a répondu à son client, il lui a répondu.)
Les pronoms relatifs définis sont qui, que, quoi, dont, où, lequel et ses formes contractées auquel et duquel. Le roman que tu as écrit est passionnant. Vous qui êtes si intelligents, connaissez-vous la réponse ? C'est ce à quoi je pensais.
«Qui» est un pronom relatif sujet. «Qu'il» est une tournure impersonnelle. On emploiera «qui» avec des verbes personnels «qu'il» avec des verbes impersonnels. Je me demande ce qui te prend !
Le QQOQCCP (Quoi, Qui, Où, Quand, Comment, Combien, Pourquoi), appelé aussi méthode du questionnement est un outil d'aide à la résolution de problèmes comportant une liste quasi exhaustive d'informations sur la situation.
Lorsque le verbe est utilisé avec le pronom relatif qui comme sujet, le verbe s'accorde avec l'antécédent (c'est-à-dire l'élément remplacé) du pronom relatif. Ce sont ces filles qui étaient parties avant la cloche.
– Qui, précédé d'une préposition, est complément d'objet indirect, complément circonstanciel, complément d'agent, complément du nom ou de l'adjectif, et son antécédent ne peut être qu'une personne (lorsque l'antécédent est une chose, on emploie les pronoms relatifs Lequel, Laquelle, Lesquels, Lesquelles ou les formes ...
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
indéf. Indique une personne indéterminée, n'importe qui, personne.
Les phrases non verbales constituées principalement d'un groupe nominal sont aussi appelées phrases nominales.
il y a loc. v. impers. Indique que quelque chose, quelqu'un existe, se trouve, est quelque part...
Le pronom y est le plus souvent l'équivalent d'un complément introduit par la préposition à. Il est passé à la poste. è Il y est passé.
Il y a quatre temps au subjonctif : le présent, le passé, l'imparfait et le plus que parfait. Seuls les deux premier sont couramment utilisés.
À la différence de « avant que », la locution « après que » est obligatoirement suivie d'un temps composé de l'indicatif : ici, il s'agit d'un passé antérieur.
Le subjonctif s'emploie quand la réalisation de l'action exprimée par le verbe est mise en doute, est incertaine ou rejetée. L'indicatif exprime la réalité, la certitude. - Moi, que j'aille travailler ! Il est exclu que je le fasse.
Qu'il s'écrive en deux mots (« quel(s)… que ») ou en un seul, le « quelque(s) » qui marque une opposition est toujours suivi d'un verbe au subjonctif : « Quel qu'il soit, il faudra qu'il se montre » ; « quelque intelligent qu'il paraisse, il a échoué » ; « quelques efforts qu'il fasse, il n'y parviendra pas ».
Quoi que est une locution qui signifie « quelle que soit la chose qui, quelle que soit la chose que ». Dans ce cas, on l'écrit toujours en deux mots. Exemple : Quoi que tu décides de faire demain, appelle-moi pour savoir si je t'accompagne ! (= Quelle que soit la chose que tu décides de faire demain…)