Après la naissance de Jésus, les dialectes araméens furent utilisés comme langue littéraire par des groupes juifs, chrétiens et gnostiques et ils sont encore aujourd'hui la langue liturgique des Juifs et de Chrétiens d'Orient qui se qualifient eux-mêmes d'Assyriens, de Syriaques, de Chaldéens et de Nestoriens, ainsi ...
Les Araméens sont un ensemble de groupes ethniques du Proche-Orient ancien qui habitaient des régions de la Syrie et du nord de la Mésopotamie au Ier millénaire av. J. -C.
L'araméen remplace l'hébreu. L'araméen devient la langue vernaculaire du peuple d'Israël, lors de la destruction de son indépendance et de la déportation ou de l'exode d'une importante partie de sa population. Selon le lieu et les idées politico-religieuses, il remplace totalement l'hébreu ou s'hybride avec lui.
Les Araméens adoraient encore Sin, dieu babylonien de la lune, Nabu, dieu de la sagesse. Chamach, le dieu-soleil, El, le Cananéen, père de tous les dieux, Rechef, dieu de la guerre et de la foudre et bien d'autres encore. Il y a tout lieu de penser que Yau, c'est-à-dire Yaveh, figurait parmi les dieux adorés à Hamath.
Le latin est donc la langue de l'Eglise catholique et c'est la langue officielle du Saint-Siège. Il s'agit de la langue de la liturgie et du droit.
L'araméen, la langue de Noël.
À noter également que Élahî (Ilahi) est aussi la prononciation arabe de « Mon Dieu ».
Yeshoua, en hébreu, provient de la racine trilittère du verbe « sauver ». Parmi les Juifs de la période du Second Temple, le nom biblique araméen/hébreu יֵשׁוּעַ, Yeshoua' était commun : la Bible hébraïque mentionne plusieurs individus portant ce nom — même parfois en utilisant le nom complet Joshua.
אני אוהבת אותך, ילד יקר שלי.
LE MOT DU JOUR EN ARAMEEN : Shlama / Salut!
Les Juifs s'imposent une interdiction de prononcer le Tétragramme, fondée sur le Troisième Commandement : « Tu n'invoqueras pas le nom de YHWH ton Dieu en vain » (Ex 20:7).
Les plus anciennes inscriptions arabes préislamiques datent de 267. Les Abd Daghm étaient les habitants de Taïf et ce sont les premiers à inventer l'écriture arabe.
Le psaume 23 (22 dans la numérotation grecque) est un psaume de la Bible hébraïque, donc de l'Ancien Testament, attribué au Roi David, qui décrit Dieu comme le Berger.
L'hébreu est une langue sémitique (pensez amharique), tandis que le yiddish fait usage de l'allemand (entre autres langues) mots avec une prononciation très particulière (tracée aux Juifs ashkénazes).
Shalom alekhem (שָׁלוֹם עֲלֵיכֶם ; lit. « la paix soit sur vous »), la forme complète du salut hébraïque équivalent à « salut ! ». La réponse appropriée est alekhem hashalom, « sur vous soit la paix ». L'équivalent arabe en est As-salâm 'aleïkoum.
Je t'aime: Ngâ kè' ō(ngeu nkè haut!) Bonjour, Je suis actuellement en couple avec un camerounais de la ville de Dschang, dialecte bamiléké. Je sais que les dialectes ne s'écrivent pas vraiment, mais quelqu'un pourrait il m'aider?
je t'aime ! ti amo !
Le nom du Dieu d'Israël et de Juda apparaît près de 6800 fois dans la Bible hébraïque sous la forme du Tétragramme יהוה, c'est-à-dire YHWH. Ce nom est aussi attesté, sous une forme incomplète (Yah), dans un grand nombre d'anthroponymes.
Jésus-Christ Emmanuel, ou Le Sauveur-Emmanuel ou encore Emmanuel (hébreu : עמנואל — Immanuël, « Dieu [est] avec nous ») (en russe : Спас Эммануил) est un type d'icône représentant Jésus-Christ adolescent.
Jésus, en grec Ἰησοῦς / Iēsoûs, vient de Yehoshua (hébreu : יהושע), à travers sa forme abrégée Yeshua (hébreu : ישוע). Yeshua signifie « Sauveur » et Yehoshua est un nom théophore qui signifie : « Dieu (YHWH) sauve ».
Les croyants le savent par les Evangiles. Rédigés en grec, ces récits bibliques s'attachent à citer le Christ dans sa langue, comme lorsqu'il lance du haut de sa croix: "Eloï, Eloï, lama sabachthani ?" ("Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?").
Au début du XXe siècle, les dialectes syriaques sont parlés par environ 400 000 personnes très éparpillées géographiquement, mais on les retrouve principalement dans le sud-est de la Turquie et dans le nord de l'Irak.
Le mot grec θεός « dieu » pose des problèmes étymologiques déjà depuis Socrate (<*θέ(F)ω « courir ») et Hérodote (<τίθηµι « établir ») [2][2]Platon, Cratyle, 397 c-d (en tenant compte de l'ironie dont….