Ainsi dans les pays anglo-saxons et germaniques, ainsi qu'en Alsace et en Lorraine, il incombe traditionnellement à la famille de la mariée de payer la cérémonie et le repas de mariage.
Pour François Masabo, un etudiant, « La dot ne doit pas être supprimée, mais elle doit être règlementée. Il faut qu'elle soit fixée à 100 000 FBu.» Signalons qu'avant les cérémonies de dot, les familles respectives des époux se rencontraient informellement pour fixer le montant de la dot.
C'est à partir du XIIe siècle que s'est généralisée en Occident la pratique de la dot, cadeau apporté au marié par la famille de sa future épouse. Une révolution venue du droit romain qui allait s'accompagner, pour longtemps, d'une dégradation de la condition féminine.
La dot n'est pas la seule forme de prestation matrimoniale. Comme chacun le sait, on observe, en gros, deux systèmes. Dans l'un, et on y range pour simplifier le cas du douaire, c'est le mari ou sa famille qui doivent apporter lors du mariage des biens ou des valeurs destinés à la femme ou à sa famille.
La dot servait surtout pour payer les loyers, acheter de la nourriture et d'autres biens, mais aussi, dans le cas des artisans et des petits marchands, pour approvisionner l'atelier ou le commerce ou accroître son activité.
Comme pour la mariée, la famille de l'époux prend en charge les frais pour sa tenue et celle des témoins. C'est elle qui paie aussi les alliances, les frais administratifs, le bouquet de la mariée, les frais de réception des invités du marié, l'enveloppe pour le prêtre et sa paroisse en cas de mariage à l'église.
Les dots discriminent les personnes handicapées
Le système de dot désavantage les femmes qui sont handicapées ou qui ont des problèmes de santé, puisque que la famille d'un futur mari exigera souvent des paiements plus élevés pour le mariage.
Elle est indisocciable du mariage coutumier ou traditionnel. La dot consiste pour la famille du fiancé à offrir à la famille de la fiancée, lors d'une cérémonie solennelle, un ensemble d'objets et de cadeaux, en espèces ou en nature, et d'accomplir certains rituels afin d'unir les futurs époux.
Ce qui rend la dot si importante pour le mariage en Afrique est qu'elle est synonyme d'union de deux familles. Le respect mutuel et la dignité sont présents tout le long du procédé, et l'amour entre l'homme et la femme est élargi pour y inclure la famille proche et large.
Selon l'Islam, comment la dot devrait se faire ? La dot peut être une somme d'argent, des bœufs, ou n'importe quels objets (qui a une valeur). si le montant de la dot est fixé, Il ne faut pas que la valeur de ces objets ou de ces bœufs soit être inférieur au montant fixé.
La dot est généralement constituée dans l'intention de permettre à la femme de contribuer aux charges du ménage – « dos sustineat onera matrimonii », diront les glossateurs –, mais aussi dans celle de garantir la restitution des biens dotaux à la dissolution de l'union conjugale.
La lettre de dot
Il n'existe pas de modèle, tout dépend de la sensibilité et de l'inspiration du futur fiancé. La lettre doit être adressée au père de la future épouse pour lui demander ses exigences en matière de dot. Elle doit simplement mentionner le désir du futur fiancé de demander la main de la future épouse.
La dot est un symbole fort du mariage coutumier. Elle est une grande marque de considération pour l'homme et la femme. Il paraît ainsi très important pour le jeune, appelé à découvrir sa vocation, de disposer de toute la connaissance relative cette dernière.
La dot, ou le « mahr »
A partir du moment où le mariage en islam est contracté, c'est le mari qui se doit de prendre en charge son épouse. C'est pourquoi, lors du contrat de mariage, il lui est obligatoire de verser une dot « mahr » à sa future épouse. La dot peut être composée d'argent, de biens matériels etc.
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
Les parents doivent-ils participer au paiement du mariage ? Lorsque l'on se demande « qui paye quoi » dans un mariage, on pense généralement aux parents des deux mariés. En effet, traditionnellement ce sont les familles qui financent l'union de leurs enfants.
Les frais pris en charge par le marié et sa famille
Bien entendu, le marié et sa famille doivent également participer à l'organisation de l'événement.
La demande en mariage traditionnelle.
Mettez-vous sur un genou, prenez sa main dans la vôtre et demandez-lui de vous épouser. La beauté de ce geste est qu'il est universellement reconnu et fait toujours beaucoup d'effet.
Demandez-lui seulement si elle a envie de passer le reste de sa vie avec vous. Par exemple, vous pourriez le lui demander de la manière suivante : « comment vois-tu notre vie dans trois ou cinq ans ? » Si elle parle de mariage, vous pouvez vous sentir rassuré et vous pourriez alors aller demander sa main à ses parents.
Colorez la demande d'un trait d'humour (si vous en avez), et faites sourire votre partenaire. Il s'agit après tout d'un moment de joie. Évitez les phrases clichés de fiançailles, du style « Comme ça, ta mère nous fichera enfin la paix ! » ou « C'est bon, tu as gagné ! ».
Ils ne peuvent se marier qu'entre eux, et cela de génération en génération.
Le mariage permet à une famille d'accroître des biens ou de gagner en prestige social. Mais des stratégies matrimoniales bien menées permettent à certaines familles d'accéder au pouvoir politique, ou à consolider leur pouvoir dans la ville.