allonger la victime, surélever légèrement, si possible, la zone blessée, comprimer manuellement l'hémorragie, à l'aide de compresses ou de linge sec et non souillé : drap, torchon propre, serviette de toilette. Il faut exercer une compression suffisante pour arrêter le saignement.
Il faut appuyer fort et directement sur la zone hémorragique. On sait que la compression manuelle est efficace quand le sang arrête de couler. Une fois la compression effectuée, il faut la maintenir jusqu'à l'arrivée des secours.
Alerter les secours en composant le 18 ou le 112. Si le saignement se poursuit, reprendre la compression directe par-dessus l'éventuel pansement compressif.
Compression de la plaie Evitez, si possible, tout contact avec le sang de la victime : demandez-lui de comprimer elle-même sa blessure. Sinon, exercez une pression directement sur la plaie avec vos mains protégées (gants jetables, sac plastique ou linge). Allonger la victime Allongez la victime en position horizontale.
Il faut donc arrêter l'hémorragie immédiatement en comprimant directement l'endroit qui saigne, quel que soit le lieu de la plaie. La main doit être protégée, si possible, avec des gants, un sac plastique ou à défaut une épaisseur de tissu propre.
L'hémorragie interne est une urgence médicale grave qui peut souvent être fatale. Cela peut se produire à la suite d'une blessure, comme un accident de voiture, ou d'un problème de santé, comme une rupture de la rate. L'hémorragie externe est le type d'hémorragie le plus courant et est facile à reconnaître.
Même si les victimes réclament de l'eau, il est interdit de leur en donner, car cela peut provoquer des étouffements et si une opération est nécessaire, elles devront être à jeun.
Une perte de plus d'un litre de sang peut avoir une issue fatale. Lors d'une hémorragie, l'organisme remplace tout d'abord le sang perdu par de l'eau tirée des tissus. Ensuite, il active la production des globules sanguins.
Causes. Une hémorragie a pour cause un traumatisme, la lésion d'un organe (inflammation, ulcère, tumeur) ou une anomalie des vaisseaux (anévrysme, fragilité par hypertension artérielle).
Au contraire, lorsque le saignement est abondant (s'il peut imbiber un mouchoir de papier ou de tissu en quelques secondes), la perte de sang est en elle-même dangereuse, car le sang amène l'oxygène aux organes. S'il n'y a plus de sang pour les alimenter (ischémie), ces derniers meurent, entraînant la mort.
Saignement entraînant parfois une perte importante de sang. On distingue les hémorragies artérielles où le sang coule à flot par saccades, les hémorragies dites capillaires où le sang coule «en nappe» et les hémorragies veineuses où l'écoulement, qui peut être très important, n'est pas pulsé.
Le choc hémorragique est la conséquence d'un déséquilibre entre demande et apport d'oxygène. Le choc hémorragique est secondaire à une perte massive et brutale de sang. Les saignements d'origine digestive sont la première cause de choc hémorragique.
Une hémorragie grave provoque une baisse de la tension artérielle, ce qui rend les personnes faibles et leur donne des étourdissements. Les personnes peuvent s'évanouir en position debout ou même assise et, si la tension artérielle est très faible, elles peuvent perdre connaissance.
Par exemple, vous pouvez poser un glaçon sur l'entaille. C'est le froid qui va agir sur les vaisseaux sanguins en les resserrant rapidement ce qui limite l'écoulement de sang. De même, certaines personnes versent du poivre sur leurs plaies au lieu de laisser le sang couler.
Mouchez-vous très doucement (et une seule fois) pour faire sortir les plus gros caillots de sang. Ils pourraient en effet vous empêcher d'appliquer correctement une pression sur votre nez. Asseyez-vous et penchez légèrement la tête vers l'avant, en regardant vers le sol et en respirant par la bouche.
Lors d'une hémorragie artérielle, le sang s'écoule rapidement et en grande quantité, ce qui rend difficile son arrêt. Le sang est de couleur rouge clair, ce qui contraste avec la couleur rouge foncé du sang en cas d'hémorragie veineuse.
Quand un vaisseau sanguin est incisé, un caillot sanguin se forme : le vaisseau sanguin se rétrécit pour ralentir le débit du sang. les plaquettes adhèrent à la zone lésée du vaisseau sanguin. les plaquettes libèrent des substances qui activent les facteurs de coagulation.
Il faut également consulter un médecin immédiatement en cas de signes d'un trouble de la coagulation : Tendance aux ecchymoses. Saignements abondants lors du brossage des dents ou d'une petite coupure. Présence de minuscules points rouge-pourpre ou de taches plus grandes sur la peau.
palpitations ; maux de tête, étourdissements, vertiges, faiblesse en se levant d'une chaise, sensation de tête qui tourne ; difficultés à se concentrer, à se souvenir, à lire, manque de motivation, d'entrain et difficultés à mener ses activités habituelles ; baisse du désir sexuel (baisse de la libido ).
L'incorruptibilité peut d'ailleurs s'accompagner de phénomènes cités plus haut parmi les mouvements du cadavre : il arrive qu'ils saignent, qu'ils transpirent. Le facteur qui retient le plus l'attention est le lieu de l'inhumation.
Une étude randomisée permet de clore le débat sur la durée de conservation des globules rouges en montrant que le sang entreposé jusqu'à 42 jours est aussi efficace que le sang frais. Au Canada, depuis les années 1970, nous conservons les globules rouges dans des banques de sang pour une durée maximale de 42 jours.
Lorsque vous donnez du sang, la quantité recueillie est d'environ 450 ml, soit un peu moins d'un demi-litre ou 2 tasses. C'est peu si l'on considère que le corps d'un adulte moyen en contient environ 5 litres. Le processus complet ne dure qu'un peu plus d'une heure.