Sur le plan hiérarchique, l'associé est soit l'un des fondateurs ou le fondateur du cabinet, soit un avocat ayant décidé de s'associer, avec l'accord des autres, dans le cadre de la structure (par apport de capital/clientèle…). L'avocat collaborateur est un avocat non associé, qui travaille pour le compte du cabinet.
Toute personne, morale ou physique, peut être actionnaire d'une SA. La responsabilité d'un actionnaire est limitée au montant de son apport.
Un cabinet d'avocat peut avoir un statut d'entreprise individuelle ou EIRL et toutes les formes de sociétés commerciales sauf la SCI et la SCA. De plus, des formes propres aux professions libérales telles que la SEL, SCP et AARPI vous sont possibles.
Qu'est-ce qu'un avocat associé ? Au sein d'un cabinet, l'avocat associé n'est pas un simple professionnel du droit, c'est aussi un vrai chef d'entreprise, qui codirige la structure avec d'autres confrères.
Il n'y a pas de parcours type pour devenir associé au sein d'un cabinet d'expertise-comptable. Néanmoins, une évolution classique passe par des postes juniors puis séniors, avant d'être chargé de clientèle, manager ou responsable de bureau pour enfin être nommé associé.
Pour être associé, il est primordial d'avoir la capacité juridique que vous soyez une personne morale (une entreprise) ou une personne physique (un particulier). Pour les particuliers, un majeur a la capacité juridique. Du coup, il lui suffit de faire son apport à la société pour acquérir la qualité d'associé.
Un avocat associé touche quant à lui une rémunération comprise entre 150 000 euros et plus de 500 000 euros annuels hors avantages.
Pour ce faire, le collaborateur doit d'abord travailler sur son propre projet – l'association au sein du cabinet. Il doit construire son « business case ». Le collaborateur doit avoir la même démarche que s'il s'installait : élaboration d'un « business plan », perspectives de développement de clientèle etc.
Le salaire médian pour les emplois avocat collaborateur en France est € 42 250 par an ou € 23.21 par heure. Les postes de niveau débutant commencent avec un salaire environnant € 35 000 par an, tandis que les travailleurs les plus expérimentés gagnent jusqu'à € 55 000 par an.
La qualité d'associé est reconnue à celui des époux qui fait l'apport ou réalise l'acquisition. La qualité d'associé est également reconnue, pour la moitié des parts souscrites ou acquises, au conjoint qui a notifié à la société son intention d'être personnellement associé.
Pour savoir qui peut être associé d'une SCI, sachez qu'il peut s'agir d'une personne physique ou d'une personne morale (une autre société). Les associés de la SCI peuvent être français ou étrangers.
Un avocat pourra ouvrir son cabinet sous la forme juridique qui lui conviendra le mieux parmi les suivantes : Entreprise Individuelle (EI), EIRL, société civile ou Société d'Exercice Libérale (SEL).
Le "Of Counsel" est, dans la majorité des cas, inscrit au barreau ( même s'il peut exister certaines exceptions, ex. : professeur d'université...). Il a un rôle de consultant/d'expertise sur des questions pointues et/ou d'apporteur d'affaires en raison du réseau qu'il a su tisser dans un secteur ou une industrie donné.
L'Ordre des avocats recommande d'évaluer un cabinet à 50 à 100% du chiffre d'affaire pondéré des trois dernières années. Les banques et cabinets de rapprochement s'intéressent plus au bénéfice, et valorisent l'activité de une à deux années de profit.
Le salaire d'un avocat fiscaliste
Les avocats fiscalistes touchent environ 70 000 € brut par an, c'est-à-dire 5 800 € brut par mois, avant d'en rétribuer une partie à l'État français en impôts.
Salaire d'un avocat en droit fiscal : de 2000 € à 2800 € net par mois. Salaire d'un avocat en droit pénal : de 1500 € à 2600 € net par mois. Salaire d'un avocat en droit social : de 1400 € à 2300 € net par mois. Salaire d'un avocat en droit des nouvelles technologies : de 1800 € à 2500 € net par mois.
Fidal, fleuron du cabinet français d'avocats d'affaires, reste largement en tête de tous les autres cabinets, avec un chiffre d'affaires de 324 millions d'euros.
Quelle est la différence entre un associé et un actionnaire ? En principe la distinction entre associé et actionnaire s'opère selon le type de société. On parle d'associé dans les sociétés de personnes et d'actionnaire dans les sociétés de capitaux.
Les obligations pécuniaires
L'obligation de réaliser un apport ; L'obligation de se conformer aux statuts (entreprise soumise à l'impôt sur les sociétés ou au revenu, embauche d'un commissaire aux apports, etc.) ; La contribution aux pertes ; La participation au paiement des dettes ou de répondre au passif social.
L'associé a donc pour rôle de participer activement à la vie de l'entreprise en se rendant aux assemblées générales ou en s'y faisant représenter par un autre associé (ou un tiers si les statuts autorisent la représentation par un tiers). L'associé peut prendre part à l'AG, y donner son avis et participer aux votes.
Un associé peut occuper plusieurs fonctions. Soit il est l'un des fondateurs du cabinet, soit c'est un avocat ayant décidé de s'associer avec l'accord du cabinet. En revanche, l'avocat collaborateur est un avocat non associé. Il travaille donc pour le compte du cabinet.
Processus de nomination
Selon une étude sur les Big 4 en France en 2017, les associés sont le plus souvent diplômés d'une école de commerce, plus rarement d'ingénieurs, et la grande majorité ont entre 37 et 43 ans au moment de leur nomination. Le passage au grade de Partner est souvent vu comme un processus éprouvant.