« Pour faire simple, le féminisme est un mouvement qui vise à mettre fin au sexisme, à l'exploitation et à l'oppression sexistes. » Ainsi débute cette courte et accessible introduction à la théorie féministe, écrite par l'une de ses figures les plus influentes.
D'une manière générale, le féminisme peut être considéré comme un mouvement visant à mettre fin au sexisme, à l'exploitation et à l'oppression sexistes et à réaliser la pleine égalité de genre en droit et en pratique.
Le féminisme n'est pas inscrit dans les gènes des femmes (et encore moins dans ceux des hommes). L'origine sociale, l'éducation, les études, le vécu personnel peuvent conduire à l'activisme féministe ou, plus simplement, à se dire féministe.
Simone de Beauvoir est souvent considérée comme une théoricienne importante du féminisme, et a participé au mouvement de libération des femmes dans les années 1970. Son livre "Le deuxième sexe" est un des plus grands livres de la philosophie contemporaine sur le féminisme.
Personne appartenant à un mouvement politique qui prône l'égalité réelle entre les hommes et les femmes dans la vie privée et dans la vie publique. Au sens large, le féminisme inclut l'ensemble argumentaire qui dénonce les inégalités faites aux femmes et qui énonce des modalités de transformation de ces conditions.
Misogyne signifie : « a qui une aversion pour les femmes, du mépris pour elles ». Cet adjectif qualifie le plus souvent un homme.
Françoise Giroud (1916-2003) - journaliste, écrivaine et femme politique française. Olympe de Gouges (1748–1793) - femme de lettres française, devenue femme politique, autrice de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, en 1791. Gisèle Halimi (1927-2020) - avocate, grande figure du féminisme en France.
Olympe de Gouges est considérée comme une des pionnières du féminisme français. Elle est notamment la rédactrice de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne.
Ces hommes décrivent la société moderne féministe comme étant en leur défaveur au niveau économique aussi bien que sentimental. Ils ont décidé de bannir les femmes de leur vie pour se concentrer sur leur vie professionnelle qu'ils mettent en avant.
Les féministes luttent contre les inégalités entre les hommes et les femmes. Par exemple, c'est grâce aux féministes que les femmes ont eu le droit de vote. Leur combat n'est pas terminé, car même en France, les femmes ne sont pas toujours traitées à égalité avec les hommes.
Elle participe aux actions de l'association sur de nombreux sujets, comme la lutte contre les violences sexistes ou la valorisation des femmes. Elle développe maintenant des outils de sensibilisation à destination des jeunes.
Ailleurs, des femmes luttent encore pour des droits fondamentaux comme le respect de l'intégrité de leur corps, de leurs choix matrimoniaux, comme l'accès à l'emploi, à des droits familiaux qui ne les réduisent pas à l'état de mineures, à l'égalité dans l'héritage etc.
Le féminisme universaliste est notamment représenté par Elisabeth Badinter, Zineb El Rhazoui, Céline Pina, Caroline Fourest et Françoise Laborde, tandis que le féminisme intersectionnel est représenté par Rokhaya Diallo, Caroline de Haas, Fatima Benomar ou Françoise Vergès.
Delphine Gardey peut ainsi conclure en affirmant que les féminismes ont permis aux femmes de « devenir sujet de droit et sujet politique, devenir actrice de [leur] vie sexuelle et pouvoir la choisir, faire advenir des formes nouvelles de la subjectivité » (p. 118).
Yvette Cauchois (1908-1999) Physicienne, professeure des universités, très connue pour ses travaux en spectrosocopie et en optique. Edmée Chandon (1885-1944 ) Astronome. Elle devient en 1912 la première femme astronome professionnelle en poste en France, à l'Observatoire de Paris.
Surnommée Jeanne la Pucelle ou la Pucelle d'Orléans, Jeanne d'Arc (1412-1431) est une figure incontournable de l'histoire de France.
La loi du 13 juillet 1965 a autorisé les femmes mariées à travailler sans l'autorisation de leur époux et à ouvrir un compte en banque en leur nom propre. Retour sur une révolution rendue possible grâce à un vote presque "en catimini".
MISANDRE, , adj.
hostilité, de dédain qu? éprouvent certains individus à l'égard des femmes. La plupart du temps les misogynes sont des hommes, mais une femme peut aussi être misogyne.
La misandrie (du grec ancien μῖσος / mîsos (« haine ») et ἀνήρ / anếr (« homme ») est un terme désignant un sentiment de mépris ou d'hostilité à l'égard des hommes. Ce terme est sémantiquement le correspondant inverse de celui de misogynie (sentiment de mépris ou d'hostilité à l'égard d'une ou des femmes).
Pour la faire courte, c'est le look très propre et très faussement étudié d'un mannequin entre deux défilés ou entre deux avions ou entre deux capitales européennes. Le mannequin qui a un show dans quatre heures doit avoir la peau nette et hydratée et le visage bien dégagé pour se aller directement au maquillage.