La taille idéale d'une croix est petite. Après tout, dans le monde religieux, ce n'est pas un ornement; c'est un symbole de foi et de spiritualité. Par conséquent, il ne doit être ni grand ni clairement visible sous les vêtements. Seuls les prêtres sont autorisés à porter des croix sur les vêtements.
L'expression porter sa croix signifie « endurer, supporter, avec une forme de résignation, les épreuves ou les moments difficiles de la vie, qu'on ne peut ni prévoir ni éviter ». On trouve aussi une variante de cette expression sous la forme d'un proverbe : chacun porte sa croix .
La croix est le principal symbole du christianisme. Considérée de nos jours comme l'image du gibet de la Crucifixion du Christ, elle appartient à une symbolique plus ancienne.
Beaucoup de gens se posent la question : pourquoi certaines personnes non religieuses portent-elles une croix autour du cou ? La réponse est simple. Ces personnes recherchent un porte-bonheur qui les protégeraient. D'autres en porteraient comme un guide qui les aiderait à prendre de bonnes décisions.
Locution verbale
Traverser des épreuves pénibles ou des difficultés, en les supportant par obligation.
Selon les lois de l'église, il faut le porter constamment sans l'enlever. Dans le même temps, une croix est un élément plutôt intime, qui ne doit pas être affiché. Par conséquent, il est suggéré que les gens le portent sous les vêtements.
Il marque l'adhésion à la foi et au mystère de la sainte Trinité, c'est-à-dire l'unité de trois personnes en un seul Dieu : Père, Fils (Jésus-Christ) et Saint-Esprit rappelé par l'énoncée mais la symbolique des doigts utilisés l'évoque aussi : les trois doigts évoque la trinité et les deux doigts les deux natures ( ...
Elle symbolise bien entendu la mort, mais aussi l'ironie de la religion, et une certaine beauté. Ceux qui la portent à l'endroit la prennent simplement comme une "critique". Ceux qui la portent à l'envers sont à la base des "révoltés", les anti-religieux, ceux qui sont agressifs vis-a-vis des croyances chrétiennes.
Quel saint invoqué contre la peur ? saint Loup fait disparaître la peur des animaux sauvages ; saint Mammert guérit les ulcères du sein ; saint Aignan (avec la liaison) guérit de la teigne, etc.
Crucifix est un terme issu du latin ecclésiastique du XII e siècle crucifixus, participe passé du verbe crucifigere, qui signifie « fixer sur une croix ». Un crucifix est donc une croix supportant une statuette de Jésus-Christ dans la posture de la crucifixion.
Définition "renoncer à soi-même"
Cesser d'agir pour satisfaire ses intérêts égoïstes.
Qui aime sa vie la perd ; qui s'en détache en ce monde la gardera pour la vie éternelle. Si quelqu'un veut me servir, qu'il me suive ; et là où moi je suis, là aussi sera mon serviteur.
Cette expression a vu le jour au XIVème siècle : alors que le roi Philippe VI partait en guerre, il lança cette phrase aux barons afin qu'ils l'accompagnent au combat. L'expression sert à inciter d'autres à nous suivre.
Selon certains auteurs, croix de Lorraine ou double croix désigneraient historiquement une croix dont les deux traverses sont de même longueur, au contraire de la croix patriarcale dont la traverse supérieure est plus courte. De nos jours on appelle indifféremment croix de Lorraine toute croix à deux traverses.
La croix de Jérusalem portée sur les manteaux et au cou des chevaliers et dames du Saint-Sépulcre est leur insigne le plus important : elle est la marque du Salut, le signe de leur baptême et de leur engagement.
La croix devenue hampe de bannière est appelée croix de la résurrection ; c'est celle que le Christ aurait tenue en main, sortant du tombeau après son ensevelissement. Cette représentation exprime La Résurrection et la victoire de la vie sur la mort. La crosse singularise la sépulture d'un évêque.
Selon une tradition chrétienne qui remonte à la fin du IV e siècle, c'est la mère de l'empereur Constantin Ier , l'impératrice Hélène, qui aurait découvert la Croix de Jésus ainsi que celles des deux larrons, lors d'un pèlerinage en Palestine entrepris en 326.
L'origine du symbole vient de la tradition catholique selon laquelle Pierre l'apôtre aurait été crucifié à l'envers, d'après Origène d'Alexandrie. La tradition du martyre de saint Pierre, s'appuie sur un texte apocryphe, fragmenté, les Actes de Pierre, écrit vers la fin du II e ou le début du III e siècle.
Les fidèles laïcs aussi bénissent. Les autres laïcs, homme ou femmes, en vertu du sacerdoce commun dont ils ont reçu la charge à leur baptême et à leur confirmation, peuvent célébrer certaines bénédictions, avec les rites et les formules prévues pour eux, comme cela est indiqué dans le Livre des bénédictions.
Seul le prêtre, a fortiori l'évêque, à le pouvoir de bénir des objets et utiliser les prières de bénédiction approuvées par l'Eglise qui comportent toujours une aspersion d'eau bénite.
Pour les objets, apportez-les à la fin d'une messe ou d'un office. Apportez vous-même une bouteille remplie si vous voulez de l'eau bénite. Le prêtre vous demandera l'usage et priera avec vous avant de bénir les objets. Pour votre appartement, contactez la paroisse ou un prêtre pour organiser la cérémonie chez vous.
Il y a cette déplaisante qualification de Dieu comme notre « associé », comme si l'on était autorisé à traiter d'égal à égal avec Lui. Des abîmes séparent cette flagornerie de l'expérience des deux Testaments, l'Ancien ou le Nouveau. Jamais Jésus ne parle de « notre Père commun ».
Signification : Situation particulièrement longue et difficile. Origine : Expression française qui puise ses origines dans la bible où le calvaire est défini comme étant un lieu où s'effectuait les exécutions capitales et où Jésus a été crucifié. Le terme calvaire viendrait dit-on de l'hébreu Golgotha ou lieu du crâne.
« Qui veut sauver sa vie la perdra, qui perdra sa vie à cause de moi, celui-là la sauvera ». Que chaque être humain soit l'objet d'un appel de la part de Dieu, que cet appel fasse de chacun de nous une personne au plein sens du terme, cela, nous pouvons facilement l'entendre.