Les éléments les plus pollueurs sur la planète
En effet, les gaz émis par les voitures, les déchets quotidiens, les fumées des usines ainsi que les déchets dans les égouts et ceux abandonnés en pleine nature, constituent les principales causes de la pollution.
Généralement imputée aux activités humaines, cette concentration anormale peut être liée à l'utilisation d'engrais et de pesticides par l'agriculture, au passage d'engins lourds, aux rejets accidentels des industries ou à la multiplication des surfaces bétonnées. Parmi bien d'autres causes.
Les diverses activités humaines (de l'agriculture aux industries) ont appauvri les sols en matières organiques, en éléments minéraux, les ont transformés, pollués : les engrais et produits chimiques pour lutter contre les mauvaises herbes et les parasites contiennent des éléments qui ne sont pas tous dégradables.
Les transports, première source de gaz à effet de serre
Le dioxyde de carbone (CO2) est le principal gaz à effet de serre, mais pas le seul. Pour mesurer l'effet des différents polluants (méthane, dioxyde d'azote…), les spécialistes calculent un pouvoir de réchauffement global en « équivalent CO2 ».
Parmi les éléments polluants, on peut citer les gaz d'échappement des voitures et des camions, les déchets quotidiens (décharge), les fumées des usines et les déchets déversés dans les égouts, les détritus abandonnés dans la nature. Ces sources de pollution peuvent toucher différents milieux : le sol, l'eau, l'air.
L'utilisation des terres pour l'agriculture, l'exploitation forestière et l'exploitation directe des ressources par la pêche et la chasse sont unes des premières raisons de la situation actuelle et les causes de la pollution de la planète.
La contamination des sols par les pesticides
L'exploitation agricole peut contaminer les sols de manière diffuse. L'utilisation prolongée de polluants organiques persistants est à l'origine de pollutions diffuses qui peuvent toucher une grande partie du territoire.
L'érosion par l'eau qui provoque la perte de la partie supérieure du sol par ruissellement superficiel. La dégradation chimique : Perte des éléments nutritifs, pollution, acidification, salinisation ... La dégradation physique : Compaction, croute de batance, engorgement , aridification.
Gestion des déchets, industrie et situation transfrontalière
Les pratiques agricoles sont loin d'être la seule source de pollution des terres et des sols. Les déchets mal gérés, aussi bien municipaux qu'industriels, sont responsables de plus d'un tiers des contaminations locales, suivis par les activités industrielles.
Nous sommes tous responsables.
de l'agriculture, des industries et de la production d'énergie, du brûlage à l'air libre des déchets (déchets verts, du B.T.P. …). Ces activités émettent également des gaz à effet de serre : gaz carbonique, méthane, protoxyde d'azote, gaz fluorés…
Ainsi, selon les calculs de Lucas Chancel, une personne appartenant aux 0,01 % les plus riches de la population mondiale – environ 771 000 personnes –, émettait en moyenne 2 332 tonnes d'équivalents CO2 en 2019, quand une personne appartenant à la moitié la plus pauvre de l'humanité n'en a émis que 1,4.
limiter le lessivage et augmenter la biodiversité par la couverture des sols, valoriser l'eau de profondeur et limiter les apports d'eau par irrigation, limiter les apports en fertilisants minéraux en améliorant le fonctionnement racinaire, limiter au maximum le recours aux intrants non renouvelables et chimiques.
On peut les limiter au minimum en optimisant le pâturage tournant avec une diminution de la taille des parcelles et une accélération de la vitesse de rotation des pâtures. Au printemps, le temps de repos des pâtures sera de 9 à 18 jours et montera entre 16 et 36 jours en automne où la vitesse de pousse est plus lente.
La dégradation des sols dans le monde est principalement due aux activités humaines : agriculture intensive, irrigation, déforestation, surpâturage, pollutions industrielles.
Essentiel pour l'environnement, le sol est une ressource fragilisée par les activités humaines. L'agriculture intensive et l'étalement urbain contribuent à son appauvrissement. L'érosion et l'imperméabilité sont les principaux risques en France.
L'agriculture est la première utilisatrice des sols. Aujourd'hui, 12 % des terres émergées dans le monde sont cultivées. Pendant longtemps, les hommes se sont adaptés au sol et aux climats pour cultiver ce dont ils avaient besoin. Les cycles naturels des végétaux étaient respectés, ainsi que la qualité des sols.
L'activité humaine est à la base du développement de la technologie, la déforestation, les produits chimiques et pesticides, les déchets industriels et ménagers, les combustibles fossiles, la production et accumulation de déchets; ce qui constituent les principales causes de la pollution de l'environnement.
L'utilisation d'engins motorisés très lourds détruit la structure du sol. Les engrais et les pesticides non naturels polluent l'eau et le sol. La généralisation de la monoculture appauvrit la biodiversité. La pêche intensive décime les poissons et transforme certaines zones maritimes en désert écologique.
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
La pollution des sols provoque une réaction en chaîne. Elle altère la biodiversité des sols, réduit la matière organique du sol et la capacité des sols à agir comme un filtre. Elle contamine l'eau stockée dans les sols et les eaux souterraines, et provoque un déséquilibre des éléments nutritifs présents dans les sols.
Les polluants naturels
les volcans, qui envoient dans l'atmosphère d'énormes quantités de gaz et de particules ; les plantes qui produisent des pollens, dont certains peuvent entraîner des allergies ; la foudre qui émet des oxydes d'azote et de l'ozone ; l'érosion qui produit des poussières.
le chauffage (au bois, au fioul, etc.) responsable de plus de 90 % des émissions de particules fines du secteur résidentiel ; le brulage des déchets verts.
Ils permettent l'infiltration de l'eau, contribuent au stockage de l'eau et emmagasinent les éléments nutritifs pour les plantes. Ils résistent au compactage et offrent un environnement radiculaire sain et aéré.