La chasuble est un vêtement sacerdotal à deux pans et sans manche avec une ouverture pour la tête, que le prêtre revêt par-dessus l'aube et l'étole pour célébrer la messe, ou d'autres actions liturgiques précédant ou suivant immédiatement la messe.
La soutane intérieure (souvent appelée tout simplement soutane) est une robe portée par tous les clercs, moines, et souvent par des séminaristes. Les lecteurs et les sous-diacres la portent souvent quand ils sont à l'église, mais en général ils ne sont pas censés la porter au quotidien.
Les prêtres catholiques ont en France, depuis 1962, la permission de remplacer la soutane par une tenue de type "clergyman", de couleur grise ou noire (parfois bleu marine depuis les années 1980), qui comprend normalement : pantalon, veston et chemise à col romain (éventuellement plastron).
L'étole, dérivé du latin stola qui signifie longue robe, lui-même du grec στολη (stolē), est un morceau de tissu porté sur les épaules, dans son usage profane, et un ornement liturgique de l'évêque, du prêtre et du diacre. Elle est l'insigne par excellence de la prêtrise.
Quel est le genre du mot chasuble ? Chasuble est un nom féminin qui désigne à l'origine le vêtement religieux que le prêtre enfile par-dessus son aube, dont la couleur varie en fonction de la célébration. Mais ce sens est peu utilisé de nos jours.
jumper [noun] (American) a pinafore dress.
Toujours au féminin (des chips faites à l'huile). Le pluriel est habituel, mais pour parler d'une rondelle unique de pomme de terre frite, on peut dire : une chips.
L'aube est une tunique longue allant jusqu'aux pieds et de couleur blanche, à manches étroites, serrée à la taille par un cordon. Elle est portée par tous les clercs, de l'évêque à l'acolyte comme habit liturgique.
le violet pour les temps de préparation et de repentance, le noir pour le deuil.
L'adjectif qualifiant ce qui se rapporte au diaconat est « diaconal ». À des occasions formelles (dans la formule introductive d'une lettre ou alors qu'il faut présenter formellement un diacre), il convient de désigner un diacre comme « le révérend diacre [Jean Dupont] ».
Il est possible que votre prêtre exige que vos épaules soient couvertes afin de respecter la demeure de dieu et la cérémonie religieuse qui vous liera à votre bien-aimé.
La calotte est une coiffe ronde, portée par les ecclésiastiques dans la liturgie catholique. Elle est également en usage chez les Anglicans. Chez les catholiques, on la nomme parfois de son italien zucchetto (/dzukˈketto/).
La mitre est portée par les évêques, les archimandrites, et certains prêtres qui en ont le droit, les mitrophores.
Selon lui, elle « est la marque d'une frontière entre l'Église et le monde. Elle permet de témoigner, au sein de la cité, d'un choix de vie radicalement différente.
Chez les moines, chaque ordre a sa couleur : terre pour les franciscains, blanc pour les dominicains, noir et blanc pour les cisterciens et noir pour les bénédictins. Une autre sorte de robe, longue boutonnée devant, est la soutane, noire pour les prêtres, violette pour l'évêque et rouge pour le cardinal.
Cette interdiction est formulée en 1132 et plus encore en 1139 au moment du deuxième concile de Latran. Mais les premières incitations à ne pas se marier pour les prêtres remontent à bien plus loin. "Le premier concile qui recommande le célibat des prêtres est celui d'Elvire, en Espagne, vers 300", précise l'historien.
Michel Pastoureau. Les réformateurs protestants séparaient les couleurs en deux grands groupes : " honnêtes ", comme le noir, le blanc, le gris et le bleu ; " déshonnêtes ", surtout le rouge, le jaune et le vert.
Le pape porte une soutane de couleur blanche. C'est Saint Pie V, pape au XVIème siècle qui l'a instauré pour signifier son appartenance à l'ordre des Dominicains, eux-mêmes habillés en blanc.
Se couvrir la tête avec une kippa (littéralement, le terme hébreu signifie une voûte, ou encore un calot, morceau de tissu rond qu'on pose sur son chef) est une pratique courante chez les Juifs religieux.
Les coutumes vestimentaires liées au christianisme
La chasuble : grande robe ample portée par les prêtres catholiques et orthodoxes, lors de la messe. La robe noire ou tenue du quotidien pour le pasteur. Le foulard : porté par certaines femmes chrétiennes en Orient, selon certaines recommandations de la Bible.
La bénédictine porte une robe noire à larges manches, une tunique sous la robe, un scapulaire noir, une guimpe blanche, un bandeau blanc et un voile noir. Au chœur, la religieuse bénédictine porte la coule monastique noire mais sans capuchon.
(1782) D'une onomatopée. La forme actuelle n'est pas la première recensée. En effet, Alain Rey mentionne l'onomatopée dès le XII e siècle. À cette époque, une interjection aux graphies variées exprime le doute et le mépris : tprot , tproupt , tprout, etc.
Astérisque, alvéole, pétale sont tous au masculin.
Une IRM (imagerie par résonance magnétique) est un examen de radiologie qui utilise un appareil émettant des ondes électromagnétiques, grâce à un gros aimant.