Le harcèlement, c'est par exemple, la violence corporelle, le racket, les paroles insultantes, les fausses rumeurs, les surnoms dévalorisants, l'exclusion d'un groupe, les gestes déplacés, le contact physique sans consentement… Il y a différentes raisons qui poussent les gens à harceler.
"Vous pouvez être en proie à quelques symptômes : troubles du sommeil et/ ou de l'appétit, angoisses, vomissements, idées noires... Mais au-delà de ces signes, le harcèlement est difficile à définir. D'un point de vue étymologique, harceler c'est transpercer l'autre avec des pointes qui font très mal.
Car le harceleur n'est pas un véritable agressif : lui dire ce que vous pensez peut suffire à lui faire prendre conscience de son comportement, qui lui l'est. Enfin, il faut lui faire relativiser le problème qui l'obsède, pour « créer un électrochoc dans son mode de pensée ».
Le harceleur peut avoir peu conscience de la façon dont les gens interagissent ou se faire des idées sur l'opinion que les autres ont de lui. Le plus souvent, ces personnes ont une faible estime d'elles-mêmes et n'entretiennent pratiquement pas de relations personnelles.
Le harcèlement physique est la forme la plus fréquente dans la plupart des régions du monde - à l'exception de l'Amérique du Nord et de l'Europe, où le harcèlement psychologique est plus courant.
Le harcelé possède en général un fort niveau de compétence et un magnétisme qui suscite de la frustration dans son entourage. Dans le cadre de son travail, il est souvent sérieux et s'investi beaucoup dans son activité professionnelle. Ce charisme lui confère une certaine notoriété auprès du groupe.
Adopter l'indifférence
Comme dit le dicton "Le silence, c'est le mépris", l'indifférence peut être une arme efficace face à un harceleur. Une attitude froide et distante montre à votre agresseur qu'il n'a pas d'emprise sur vous, qu'il n'est finalement rien.
Il s'agit d'un individu qui rejette toutes vos demandes de cesser tout contact avec vous. La seule façon d'arrêter de subir un harceleur qui adopte un comportement indésirable, intrusif, injustifié ou menaçant, consiste à cesser immédiatement tout contact avec lui.
Le harcèlement se définit comme une violence répétée qui peut être verbale, physique ou psychologique. Cette violence se retrouve aussi au sein de l'école.
A l'issue de l'entretien avec le proviseur, plusieurs sanctions de la part de l'école sont envisageables pour condamner l'attitude d'un enfant harceleur : le blâme, l'avertissement de conduite, les mesures de responsabilisation, l'exclusion temporaire et définitive.
Il y a différentes raisons qui poussent les gens à harceler. Rabaisser quelqu'un te permet de te se sentir supérieur à lui, ou même plus fort. Ce sentiment de puissance te réconforte, te donne même du plaisir. Il permet de te rassurer toi-même.
La peur des différences
Ce n'est pas forcément un hasard si l'on choisit de harceler telle ou telle personne. Souvent, il s'agit de quelqu'un ayant une « différence » plus ou moins identifiée. Un trait physique, une manière de s'habiller ou de parler, une manière d'être …
I Les preuves du harcèlement moral:
Au vu des éléments présentés de part et d'autre, le Conseil retient ou non l'existence du harcèlement. Chaque fait évoqué doit être prouvé : écrit, photo, attestation d'un témoin direct, certificat médical, etc.
"Demandez-lui ce qu'il veut faire, même s'il n'a pas de réponse. Il faut aussi le prévenir qu'on ne sait pas comment ça va se passer, pour ne pas lui faire de faux espoirs, mais lui assurer que vous allez tout essayer". Avertir l'établissement pour que la situation soit prise en charge est la première étape.
Le harcèlement est la répétition de propos et de comportements ayant pour but ou effet une dégradation des conditions de vie de la victime. Cela se traduit par des conséquences sur la santé physique ou mentale de la personne harcelée.
Ça peut blesser la personne concernée et la bloquer dans ses apprentissages. C'est peut-être un jeu pour le(s) harceleur(s) mais pour la/les victime(s), ce n'est pas un jeu du tout. 1)Ne pas se défendre seul et le dire à un adulte (parents, enseignants, animateurs…)
L'emprise du harceleur passe par la culpabilisation de sa victime qu'il s'agit d'amener insidieusement à penser qu'elle est responsable de ce qui lui arrive, à considérer qu'elle est tout le moins pour quelque chose, qu'elle le mérite. La victime exprime sa souffrance tout en se sentant coupable intérieurement.
Pratiquer l'indifférence
Pour autant, lui montrer son indifférence ne veut pas dire accepter son comportement. Pour pratiquer une indifférence efficace, il est préférable de répondre de façon froide et détachée à toute ses remarques, menaces ou demandes.
L'une des stratégies pour faire face aux provocations consiste à faire semblant de ne pas entendre ce que les brutes disent, afin de pouvoir transformer cela en blague. S'ils se présentent devant vous et essayent de vous obliger à répliquer, mettez simplement la main à l'oreille et remuez la tête.
harcèlement / harceler / harceleur, harceleuse.
Une situation de harcèlement peut provoquer dans un premier temps des symptômes de stress : nervosité, irritabilité, anxiété, troubles du sommeil, brûlures d'estomac, hypertension artérielle, douleurs musculaires, hyper-vigilance ou hyperactivité, fatigue, consommation d'alcool ou de psychotropes (médicaments ou ...
Un processus de répétition
Les premières définitions du harcèlement scolaire sont proposées dans les années 1970 par deux psychologues scandinaves : Anatol Pikas et Dan Olweus.
Un individu qui est qualifié de harceleur passe son temps à poursuivre de ses assiduités de façon répétée et inopportune une autre personne, généralement de façon agressive et intrusive, parfois menaçante. Exemple : Après trois mois de terreur, son harceleur a enfin été arrêté par la police.
Sans intervention appropriée dans le milieu de travail, les conséquences du harcèlement psychologique peuvent dégénérer jusqu'à causer chez les individus concernés : des problèmes de santé physique ou psychologique, tels que l'anxiété, les difficultés d'adaptation, la dépression, le stress post-traumatique, le suicide.