Le Temps compte des rédactions à Lausanne, Genève, Berne, Sion et Zurich. Depuis le 1er janvier 2021, il est détenu par la Fondation Aventinus.
Le groupe est contrôlé par la société Le Monde libre qui possède 72,5 % du capital, détenue elle-même à 80 % par Xavier Niel, Madison Cox et Le Nouveau Monde (Matthieu Pigasse et Daniel Kretinsky) et à 20 % par le groupe de presse espagnol Prisa.
Nous ne prenons pas position politiquement, nous laissons le lecteur se forger son opinion à partir des faits. » À sa création, en 2002, 20 Minutes compte 55 salariés, dont 26 journalistes. À partir de 2004, 20 Minutes est présent à Paris, Lille, Lyon, Marseille, Toulouse, Bordeaux.
C'est le seul journal du "soir" en France, daté du lendemain et qui paraît l'après-midi. Dans les années 80 et 90, Le Monde connait de graves difficultés financières et devient une société anonyme. Au début des années 2000, le quotidien est également agité par plusieurs crises, et.
Sa ligne éditoriale historique est de droite gaulliste, libérale et conservatrice, selon le spectre politique français habituellement utilisé. Il est principalement lu par des sympathisants de droite ou de centre droit.
Sa ligne éditoriale est parfois présentée comme étant de centre gauche, affirmation récusée par le journal lui-même, qui revendique un traitement non partisan.
Sa ligne éditoriale, souverainiste, antilibérale et laïque, emprunte à la fois à la gauche et à l'universalisme républicain.
Traditionnellement classé au centre-droit, le journal ouvre ses pages à toutes les opinions politiques (interviews, analyses, etc. ). C'est l'un des cinq magazines d'actualité hebdomadaires de dimension nationale en France.
À cette date, le ministère de l'Information troque son « contrôle » contre une simple « tutelle ». Le garant de la liberté de la presse : la troisième attribution concerne son rôle de tutelle de l'information privée, notamment de la presse écrite.
En 2004, le Groupe Dassault devient le propriétaire du Figaro, alors dirigé par Nicolas Beytout et Francis Morel.
Selon Le Figaro, Valeurs actuelles est tantôt décrit comme « classé à l'extrême droite », « réputé clairement à droite », ou « conservateur ». France Info qualifie le magazine d'extrême droite et également de conservateur.
L'Express est un magazine d'actualité hebdomadaire français, créé en 1953 par Jean-Jacques Servan-Schreiber et Françoise Giroud. Le magazine met en avant le néolibéralisme sur le plan économique, et est orienté politiquement à droite.
Radio : La tendance politique des auditeurs de France Inter est fortement ancrée à gauche, tandis que celle des auditeurs de RTL, d'Europe 1 et de BFM Business est orientée à droite.
Dans un article consacré à la chaîne en 2014, la BBC analyse le positionnement de BFM TV comme étant « favorable aux affaires, à la réforme, et opposé au vieux consensus ».
Cet auditorat correspond à la stratégie éditoriale de la station : pour Patrice Bertin qui en fut directeur de la rédaction, « il a été décidé que France Inter devait devenir la radio des intellos de gauche, puisqu'Europe 1 est à droite et RTL une radio populaire ».
Sa ligne éditoriale est orientée à gauche.
De ses débuts situés à l'extrême gauche, Libération évolue vers la gauche socialiste à la fin des années 1970 sous l'impulsion de Serge July, puis vers une ligne éditoriale présentée comme étant « libéral-libertaire » progressiste.
Depuis les années 1980, gauche et droite semblent se définir en France par consensus sur la devise nationale : la droite mettrait l'accent sur la liberté à qui elle donne priorité sur l'égalité, et la gauche donnerait priorité à l'égalité sur la liberté.
Sa ligne éditoriale est faite de neutralité politique et de proximité avec son lectorat. À cet égard, il ne doit pas servir les intérêts d'un homme, d'un parti politique, d'un clan ou d'une entreprise. »
Selon d'anciens journalistes de France-Soir et le fondateur de Conspiracy Watch, Rudy Reischtadt, la ligne éditoriale complotiste et « covido-sceptique » de FranceSoir n'a pas de visée politique mais est la seule conséquence d'un calcul « opportuniste » de son fondateur Xavier Azalbert.