C'est comme si on avait : Ils voulaient quelque chose […] qui puisse perdurer et affronter toutes les éventualités climatiques. La question qui se pose alors est celle de l'emploi de l'indicatif (y compris du conditionnel) ou du subjonctif dans une proposition relative (introduite ici par le pronom relatif qui).
Qui ou qu'il ? Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Dans pour que je puisse , on écrit puisse avec la terminaison -e . Ce verbe est conjugué au subjonctif présent, avec le sujet je . On écrit donc par exemple : pour que je puisse m'organiser , pour que je puisse vous les transmettre , pour que je puisse commencer .
Ce qu'il m'arrive. Avec un antécédent nominal, l'emploi personnel (la malchance qui m'arrive) est plus fréquent que l'emploi impersonnel (la malchance qu'il m'arrive). Avec le pronom ce comme antécédent, les deux emplois sont fréquents : ce qui m'arrive ou ce qu'il m'arrive.
Les deux sont possibles. Dans la première « qui » pronom relatif mis pour « main » est sujet de « reste », danns le seconde « qu' » ou « que » pronom relatif ms pour main est COD de « il reste ».
On écrit : « ce qui se passe » ou « ce qu'il se passe ». Les deux formes sont acceptées et elles sont interchangeables.
La conjonction "après que" est suivie d'un indicatif et non pas d'un subjonctif : Le médecin est reparti après qu'il a examiné le patient. Les verbes "décider" et "espérer" sont suivis d'un indicatif même s'ils expriment une opinion.
"Qui plus est" est une locution signifiant "de plus" ou "en outre". On l'utilise pour surenchérir. La proposition qui suit "qui plus est" est toujours en relation avec celle qui la précède et l'accentue.
Le subjonctif est utilisé quand l'action est supposée, douteuse, désirée ou dépend d'un sentiment, d'un ordre aussi. Remarquons la conjonction que qui introduit le subjonctif dans les 3 phrases. Le conditionnel est utilisé quand l'action est soumise à une condition, à une hypothèse.
Le subjonctif s'emploie quand la réalisation de l'action exprimée par le verbe est mise en doute, est incertaine ou rejetée. L'indicatif exprime la réalité, la certitude. - Moi, que j'aille travailler ! Il est exclu que je le fasse.
Pourquoi n'écrit-on pas « qu'il aie » ? Parce que la forme « qu'il a » n'existe pas. « aie » correspond à la première personne du singulier du subjonctif présent : que j'aie. Le meilleur de votre expression écrite.
Le subjonctif est utilisé dans la subordonnée quand le verbe de la principale est subjectif et exprime généralement un sentiment : le souhait, le désir, la peur, le regret, la volonté, la crainte, l'incertitude, le doute, Exemples: Je désire que tu viennes. Je crains qu'il ne comprenne pas.
C'est très simple: avec "Qu'est-ce qui..." le pronom interrogatif se rapporte à une chose et a la fonction de sujet; avec "Qu'est-ce que..." le pronom interrogatif se rapporte à une chose et a la fonction de COD; avec "Qui est-ce qui..." le pronom interrogatif se rapporte à une personne et a la fonction de sujet; avec ...
On utilise le subjonctif dans ce cas pour indiquer le doute. Par exemple: Je cherche une personne qui peut m'aider. (Il existe une personne qui est capable de m'aider.
Expression latine soutenue signifiant "à la fin" ou "au dernier moment". Plutôt littéraire, elle se place généralement en fin ou en début de phrase. Elle est souvent rattachée à la notion de "crédit in fine".
Sans avoir égard à ; en dépit de, malgré.
Puis est un adverbe que l'on emploie pour introduire un nouvel élément (l'action suivante) et marquer une succession dans un récit. Il est suivi d'une phrase (sujet - verbe - compléments) ou d'un nom.
Il y a quatre temps au subjonctif : le présent, le passé, l'imparfait et le plus que parfait. Seuls les deux premier sont couramment utilisés.
Les principaux verbes qui expriment une volonté pour sont : vouloir, exiger, commander, ordonner, prescrire, mander, demander, entendre, prétendre, désirer, aimer, approuver, permettre, souffrir, etc.
Jusqu'à ce que + subjonctif. Il recula un peu jusqu'à ce qu'il eût atteint le lit. Toutefois on trouve l'indicatif dans certains textes littéraires, si le fait à exprimer est certain, et surtout s'il se rapporte au passé.
La réponse simple. Les deux formes sont admises, la plus recommandée est « ce qu'il s'est passé », la plus familière est « ce qui s'est passé » .
Je sais qui l'appelle. REMARQUE : Souvent, "qu'il" ("qu'ils" au pluriel) s'écrit en deux mots quand on peut le remplacer par que lui-même (qu'eux-mêmes). Ex : La chanson qu'il a interprétée. = La chanson que lui-même a interprétée.
Dans les autres constructions (« ce qu'il lui reste [ne pèse pas lourd] », « ce qu'il lui prend », « ce qu'il en est résulté »…), le que du ce qu'il occupe la fonction de sujet réel du verbe impersonnel ; le pronom il en étant le sujet apparent.