Qui distribue. (En particulier) Qualifie une justice qui rend à chacun ce qui lui est dû. (Grammaire, Logique) Par opposition à collectif. Sens distributif.
Qui... qui. .. est employé avec une valeur distributive au sens de « ceux-ci... ceux-là, les uns... les autres » : ils accouraient de toutes parts, qui avec un balai, qui avec un seau. Registre soutenu. Au Moyen Âge et jusqu'au XVIe s., qui avait aussi la valeur de « si l'on » ou de « si quelqu'un ».
– Qui est complément d'objet indirect, complément circonstanciel, complément d'agent, complément du nom ou de l'adjectif. Je parle à qui me plaît. Il est libre de travailler pour qui il a envie. Prenez la place de qui vous voudrez.
Qui remplace un nom sujet. Exemple : Il attend son ami qui rentre de Toulouse. Que remplace un mot complément d'objet direct. Exemple : Voici le reportage que je regarde en ce moment.
que, puisque, parce que, alors que, afin que, si bien que, etc. quand, comme, si.
Ils introduisent une phrase interrogative ou une interrogative indirecte : "Qui est venu ?" / "Je demande qui est venu". Ils ont une fonction (sujet, complément d'objet direct...) à l'intérieur de la proposition.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où et les formes composées : lequel, auquel, duquel, etc.). Le plus souvent, elle complète un nom ou un pronom (= son antécédent), sur lequel elle apporte des précisions. Sa fonction est alors épithète.
La conjonction de subordination est un mot invariable qui sert à introduire une proposition subordonnée. Ses parents sont très fiers qu'il ait réussi le concours (La conjonction qu' introduit la proposition il ait réussi). Les conjonctions à proprement parler sont : que, comme, lorsque, puisque, quand, quoique et si.
La proposition conjonctive est une subordonnée introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si et quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Nous avons exigé qu'il soit présent à notre prochaine rencontre.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
Rôle joué par un élément dans un ensemble, destination d'un appareil ; activité, rôle, destination de quelque chose : Quelle est, dans le moteur, la fonction des bougies ? 3. Rôle exercé par quelqu'un au sein d'un groupe, d'une activité : Remplir correctement sa fonction.
Les caractéristiques de l'attribut du sujet
Le verbe attributif est un verbe représentant un état, une manière d'être. L'attribut du sujet sert donc à donner une caractéristique (une propriété, un état, une manière d'être, etc.) au sujet dans une phrase.
Tout peut être un déterminant indéfini, un pronom indéfini, un adverbe. a) Il est déterminant indéfini, donc variable, lorsqu'il se rapporte à un nom ou à un pronom précédé ou non d'un autre déterminant.
Les déterminants interrogatifs et exclamatifs s'accordent en genre et en nombre avec le nom. Ils s'écrivent de la même manière : quel, quelle, quels, quelles. La seule différence est dans leur fonction syntaxique, c'est-à-dire leur rôle dans la phrase.
Les adjectifs interrogatifs (quel, quelle, quels, quelles) s'accordent en genre et en nombre avec le nom qu'ils introduisent.
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
Les conjonctions de coordination (mais, ou, et, donc, or, ni, car) relient deux mots ou deux propositions de même nature ; Les conjonctions de subordination (que, parce que, quand, si...) relient une proposition subordonnée à la proposition principale dont elle dépend.
Une subordonnée peut dépendre d'une autre subordonnée dans laquelle elle est enchâssée ; la première subordonnée joue alors le rôle de principale par rapport à la seconde : Je pense (principale) que tous les projets (1re subordonnée) qu'ils ont présentés (2e subordonnée, enchâssée) sont irréalistes.
On utilise les pronoms démonstratifs pour désigner la chose ou la personne dont on parle. Il en existe plusieurs formes : celui (au masculin singulier), celle (au féminin singulier), ceux (au masculin pluriel) et celles (au féminin pluriel). Il existe également des pronoms démonstratifs neutres : cela, ça, ce, ceci.
les adjectifs possessifs (mon, ton, son, ma, ta, sa, mes, tes, ses), les adjectifs démonstratifs (ce, cet, cette, ces), les adjectifs indéfinis (chaque, quelques, plusieurs...), les adjectifs numéraux (deux, cinq...).
Masculin pluriel: les miens, les tiens, les siens, les nôtres, les vôtres, les leurs. Féminin singulier: la mienne, la tienne, la sienne, la nôtre, la vôtre, la leur. Féminin pluriel: les miennes, les tiennes, les siennes, les nôtres, les vôtres, les leurs.