La principale source de gaz à effet de serre d'origine humaine est l'utilisation de l'énergie. En brûlant des énergies comme le charbon, le gaz ou le pétrole pour produire de l'énergie ou pour alimenter les moteurs de nos moyens de transport, on émet du CO2 qui contribue au réchauffement climatique.
L'effet de serre
La Terre reçoit en permanence de l'énergie du soleil. La partie de cette énergie qui n'est pas réfléchie par l'atmosphère, notamment les nuages, ou la surface terrestre est absorbée par la surface terrestre qui se réchauffe en l'absorbant.
Il s'agit principalement des éléments uranium, thorium et potassium. Par exemple, la désintégration du noyau de l'uranium 238 donne en moyenne 6 neutrinos en même temps qu'elle libère 52 méga-électron-volt d'énergie portée par les particules émises qui s'arrêteront dans la matière et déposeront de la chaleur.
L'augmentation du dioxyde de carbone dans l'atmosphère due aux activités humaines est la principale cause du réchauffement climatique, tandis que les émissions de méthane et de protoxyde d'azote, de puissants gaz à effet de serre, augmentent également dangereusement.
Les causes de la hausse des émissions
La combustion du charbon, du pétrole et du gaz produit du dioxyde de carbone et du protoxyde d'azote. L'abattage des forêts (déforestation). Les arbres contribuent à réguler le climat en absorbant le dioxyde de carbone (CO2) de l'atmosphère.
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
Selon une étude relayée par la Nasa, l'agence spatiale américaine, le réchauffement climatique pourrait rendre complètement inhabitables plusieurs zones géographiques sur la planète, et ce, dès 2050. Le niveau de stress thermique engendré par les fortes chaleurs peut en effet s'avérer mortel pour les êtres humains.
La hausse des émissions de gaz à effet de serre modifie cette composition, provoquant une augmentation de l'effet de serre. La chaleur est piégée à la surface de la Terre. Ce déséquilibre entraîne un réchauffement planétaire. Depuis le début du XXème siècle, la température de la planète a augmenté de 1,1°C.
Depuis 2006, la Chine a dépassé les États-Unis pour les émissions de gaz à effet de serre. Les émissions de dioxyde de carbone de la Chine sont de 1,8 milliard de tonnes par année, contre 1,59 milliard de tonnes pour les États-Unis, 432 millions de tonnes pour la Russie et 430 millions de tonnes pour l'Inde.
Le dioxyde de carbone est la cause principale des changements climatiques d'origine anthropique. Il est émis en grandes quantités puisqu'il provient de l'utilisation de combustibles fossiles. Sa très longue durée de vie lui permet de changer le système climatique durant son long séjour dans l'atmosphère.
Les émissions de gaz à effet de serre enveloppant la Terre, elles retiennent la chaleur du soleil. Cela entraîne un réchauffement climatique et un changement climatique. Le monde se réchauffe désormais à une vitesse jamais observée dans l'histoire documentée.
La fusion nucléaire crée de la chaleur et des photons (lumière). L'énergie du Soleil est produite par les réactions de fusion nucléaire qui convertissent dans son noyau l'hydrogène en hélium. La température à la surface du Soleil est d'environ 6 000 kelvins, soit 5 726 degrés Celsius.
Les filières de chaleur, la biomasse, la géothermie, le solaire passif et actif ainsi que la valorisation des rejets de chaleur ou de vapeur se révèlent des solutions énergétiques de premier choix tant sur le plan environnemental qu'économique.
Pour se limiter à 1,5°C, il faudrait diminuer nos émissions de 7 % chaque année jusqu'à 2030. En France, cela correspondrait à réduire le trafic routier de 25 %. Le problème, c'est qu'il faut s'y mettre tout de suite.
intensification des précipitations (fortes pluies et grêle) augmentation des cyclones tropicaux violents. augmentation des périodes d'aridité et de sécheresse. recul de la glace de la mer Arctique et de la couverture neigeuse.
La vapeur d'eau est le gaz qui contribue le plus à l'effet de serre. Cependant, la quasi-totalité de la vapeur d'eau présente dans l'atmosphère provient de processus naturels. Le dioxyde de carbone (CO2), le méthane et l'oxyde nitreux sont les principaux GES dont il faut se préoccuper.
Paris, ville lumière ? Ce n'est pas si sûr. En tête du classement des villes les plus polluées de France, la ville de Paris s'impose plutôt comme la capitale du smog (vous savez, cette espèce de brouillard grisâtre qui, en général, ne présage rien de bon).
Tenant la première position du classement des pays les plus propres au monde, la Suisse affiche une excellente note de 95,5. Réputée pour ses forêts, ses montagnes abritant une faune et flore variée et riche, la Suisse veille à maintenir une propreté impeccable. La propreté est une véritable culture en Suisse.
Après avoir analysé les données de 6 475 villes dans 117 pays selon leur taux de concentration en particules fines, il ressort que la Nouvelle-Calédonie est le territoire le moins pollué au monde (3,8 microgrammes de polluants/m³), rapportent les données relayées par Geo.
Sources Humaines
Les activités humaines, telles que la combustion de pétrole, de charbon et de gaz, ainsi que la déforestation, sont les causes principales de l'augmentation de la concentration de dioxyde de carbone dans l'atmosphère.
À des concentrations élevées, le dioxyde de carbone peut déplacer l'oxygène de l'air, privant ainsi le corps d'oxygène, ce qui peut causer une perte de conscience. Le dioxyde de carbone agit également comme un puissant dépresseur du système nerveux central.
Avec des villes comme Lyon ou Grenoble, la région Rhône-Alpes devrait en être la principale bénéficiaire : la croissance de sa population sera de 16,8 %. Elle sera, en 2030, la région la plus peuplée après l'Ile-de-France avec 6,9 millions d'habitants.
Selon les scientifiques, le nord de la France (Nord et Pas-de-Calais) serait la région la plus touchée, avec la submersion des villes de Dunkerque, Grande-Synthe, Calais et Saint-Omer. Une région, où près de 400.000 individus vivent sous le niveau de la mer.
Dans trente ans, il sera ainsi très difficile de vivre au sud de l'Asie ou dans le golfe Persique où se trouvent notamment l'Iran, le Koweït ou Oman, rapporte CNews. Idem pour les pays bordant la mer Rouge comme l'Egypte, l'Arabie saoudite, le Soudan, l'Ethiopie, la Somalie ou le Yémen.